Freyja Simtsjér

Un article de WikiSimland 3.0.
Aller à : navigation, rechercher
Les Personalités Historiques de Simland
Les Personalités Historiques
Freyja Simtsjer.jpg
Nom : Freyja Simtsjér
Surnom : La Skaldmö
Date de naissance : 13 octobre 1905
Décès : 8 avril 1945
Nationalité : Drapeaumao.jpg Mayenne
Profession : Chef du gouvernement de l'Empire mayen
Actions historiques : Fondation du Rëgnarökk
Déclenchement de la Seconde Guerre mondiale à Simland

Freyja Gudrunsdottir Simtsjér (prononcé en mayen [ˈfreiːja simˈt͡ʃ.ɛr]), née le 13 octobre 1905 au Væl Hatla, morte le 8 avril 1945 sur le glacier de Nax (Middle West), est une espionne, aventurière et femme d'État mayenne, figure centrale de la militarisation de l'Empire mayen et instauratrice de la dictature connue sous le nom de Rëgnarökk (1936–1945). Laissée orpheline par la Première Guerre mondiale, elle usurpe la place d'une aristocrate à l'académie de Bæd Ðolz et en ressort avec le grade de colonelle.

Au milieu des années 1930, elle utilise sa position dans la haute société harmenoise pour rencontrer l'empereur Rëgnar XI Kalmar, qui la nomme Première ministre. Sous sa direction, le Mao connaît une importante concentration de pouvoirs politiques et économique au niveau gouvernemental, ainsi qu'un développement démographique et culturel sans précédent. Elle parvient à obtenir l'arrestation des principaux chefs de famille capitalistes ainsi que des principaux syndicats, selon la méthode dite du « viol politique ».

En 1939, elle amène son pays dans la Seconde Guerre mondiale en incitant la plupart des pays du continent simlandais à lui déclarer la guerre. Les victoires obtenues par le Mao lui permettent d'envisager l'obtention d'un débouché maritime avec New Amsterdam en 1942. Malgré les revers militaires, elle maintient une supériorité militaire et diplomatique sur les Alliés qui lui permet encore, pour une courte période, de conquérir l'ensemble du continent. Après avoir fait assassiner la famille impériale, elle est renversée par sa garde personnelle et meurt en fuite dans les montagnes du Middle West.

Sa vie ainsi que sa mort restent des objets de fascination pour les arts et la littérature. Veuve à 23 ans, utilisant publiquement le titre de Skaldmö, sa sexualité et sa vin intime font l'objet de spéculations intenses au XXIe siècle.

Jeunes années

Origines

Freyja Gudrunsdottir est l'enfant illégitime de Gudrun Nióbskarl, une riche héritière d'une famille industrielle, et d'un jeune médecin des environs, Þórbrandr Njördson, jeune homme un peu fantasque qui se tue dans un accident d'aéroplane trois mois après le début de cette grossesse. Le grand-père maternel est un célèbre financier harmenois, Úlfr Nióbskarl, sous la pression duquel Gudrun va confier sa fille au grand-prêtre de la paroisse, Mÿm Mÿmsson, veuf respecté, mais particulièrement conservateur, autoritaire et froid.

Freyja grandit dans le foyer des Mÿmsson sous la garde de la vieille grand'mère Ragnhildr, privée de la plupart des jeux des camarades de son âge, soumise à plusieurs sévices comme un long enfermement de quatre mois, en 1912, en punition de ses fugues répétées. En 1913, pour son anniversaire, elle reçoit un couteau hudsonois à lame de bronze, qu'elle conservera précieusement toute sa vie. Quelques mois plus tard, son père a la surprise de découvrir tout un village de figurines de bois qu'elle a taillé à partir des bûches qu'elle trouvait dans l'établi où, souvent, il la punissait. Lors de la Première Guerre mondiale, Mÿmsson trouve la mort dans une altercation avec un groupe d'ouvriers séditieux, à la sortie du Temple. Fascinée par la guerre, souvent punie par son père adoptif pour son caractère querelleur et son apparence un peu garçon manqué, Freyja utilise alors sa silhouette mature (à 14 ans, elle en paraît 18) pour s'engager dans l'armée en tant que cantinière et est affectée à la 12e armée, dans le nord du front oulatarais.

Captivité et misère

Au cours d'un engagement meurtrier et mal planifié dans la vallée de l'Avalon, Freyja perd le contact avec son régiment et glisse accidentellement dans un marécage, d'où elle est secourue par des estafettes de l'armée continentale. Livrée aux autorités continentales comme prisonnière de guerre et espionne potentielle, elle impressionne l'officier ennemi en refusant de parler : elle se saisit d'un clou qu'elle plante dans sa propre main, et déclare, « Ainsi que ce clou a percé ma main, ainsi les Mayens enfonceront les positions oulataraises ! » Saisie de vertiges, elle est immédiatement transportée à l'hôpital militaire où, étonnamment, on constate la bonne cicatrisation de sa main, malgré les risques élevés d'infection pour l'époque. Trop faible pour marcher, elle se rapproche du médecin en chef de la garnison, le Dr van der Meulen, et apprend les rudiments de la langue néerlandaise.

Controverses

Sexualité