Windhoek

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Windhoek
Gauche: Vue sur le rond-point des Loups, vers l'Est; même endroit, tour 'T'elecom; Windhoek, Elza et le fleuve Ptdr. Centre: Immeuble des opérateurs telediva/telefromage; Avenue Talagante à Elza. Droite: Conseil Provincial de la Méridionie; Avenue Talagante depuis le bord du Fleuve Ptdr; Windhoek-Forsthaus avec son stade de tennis et le Needle.
Pays	Simland
État	Génésie, GE | 07
Province	Méridionie
Code postal	7300-7315
Langue(s) reconnues(s)	Espagnol Français
Données statistiques et sociales
Entité	Chef-lieu (Méridionie, Génésie)
Maire	Thegrasshopper
Gentilé	Windhoekien, -ienne
Population (commune de Windhoek)	785'000 hab.
- Densité	39'250 hab. au km² (densité communale)
- Région métropolitaine	4'700'000 hab. (est. 2014)
Superficie	env. 20 km² (sup. communale)
Altitude	335 mètres
- Maximale	Pic Talagante 1252 m
- Minimale	Lac DuMont 250 m
Distances	Paname 115 km Oméga 346 km Oakdale 442 km Colomb City 1175 km
Situation géographique Génésie
Commune de Windhoek
Windhoek sur le forum

Windhoek, appelée aussi Windhoek de Simland est le chef-lieu de la province de la Méridionie (Génésie). C'est le principal pôle urbain du district méridionien, et c'est aussi un des plus importants de la Génésie. Son aire métropolitaine est connue officiellement comme Région Métropolitaine Lacustre, mais plus couramment appelé Grand Windhoek comportant entre autres les villes voisines de Lol, Wat, Peruvia et Cerati.

La ville est le siège des principaux pouvoirs administratifs et financiers du district, tels que le Congrès Provincial, le siège de l'Union Agraire Windhoekienne, le siège national d'Ikea Simland et le siège régional de dizaines d'entreprises plus ou moins importantes.

Même si la plupart du temps Windhoek est considérée comme une seule et unique entité urbaine, Windhoek est en fait constituée de 20 communes (qui sont le plus souvent appelées "quartiers"), dont certaines sont totalement intégrées à la couronne urbaine, telles comme Windhoek, Knowles, Talagante, alors que d'autres sont au-dehors de celle-ci, comme Chuchunco, Trois Croix, ou Providencia.

La métropole est dans une altitude moyenne de 335 mètres, avec comme points extrêmes le Lac DuMont, au nord (250 mètres), et le Pic Talagante qui culmine à 1252 mètres. En 2013, la conurbation s'étendait sur environ 347,4km² et a une population estimée entre 3,5 et 4,2 millions d'habitants. D'après l'Université Yolo sise à Peruvia, le territoire communal de Windhoek aurait environ 780'000 habitants, Windhoek (sans la région métropolitaine) compterait 3'703'329 habitants, et le Grand Windhoek aurait 4'692'234 habitants.

Windhoek est considérée comme l'unes des meilleures villes pour vivre à Simland, et l'une des plus sûres de la région. C'est aussi un haut lieu intellectuel, accueillant deux grandes universités qui ont une reconnaissance mondiale; l'Université Yolo et l'Université des Trois Chèvres. Ces deux dernières sont situées dans la ville universitaire de Peruvia, dans le nord du Grand Windhoek. Son PIB annuel total équivaut au 25,2% de la Génésie, soit près de 164'322 millions de § simlandais, et le PIB moyen par habitant est de 44'371,42 §, ce qui le place dans une place confortable dans le pays. Toutefois, ce chiffre n'est pas exhaustif, car il existe encore des dizaines de milliers d'habitants qui habitent dans des conditions parfois insalubres dans les communes les plus pauvres de la ville, souvent loin du centre et sous les autoroutes, telles comme Chuchunco et La Quebrada.

Histoire

Fondation

Windhoek est une des premières villes à être fondées en Génésie; son acte de fondation serait dans les années 1370 d'après de nombreux histoiriens.

Pedro de Lolisoin fondant la ville de Windhoek.

Ce que les histoiriens en sont sûrs, c'est bien que Pedro de Lolisoin a bel et bien fondé la ville, en y laissant environ 300 personnes pour peupler et "civiliser cet endroit" qu'il a qualifé de "Don de Dieu" mais "peuplé par des indiens aussi flemmards que sa mâchoire supérieure" (texte tiré du journal du biographe de Pedro de Lolisoin). C'est ainsi que, parti de rien, le royaume Lolisoin est né. Il aurait vécu, selon de nombreuses estimations, près de 450 ans, et a gouverné jusqu'aux confins des Terres de Divana jusqu'aux profondeurs près de le bourg de Paname. Soit un empire qui aujourd'hui fait la taille de la Méridionie. En effet, c'est le "dernier reste impérial" qui est resté de cet immense empire dont la quasi-totalité était dans le territoire du district où Windhoek est sis aujourd'hui.

Lolisoin, l'apogée (1500-1800)

Les Lolisoin se sont très rapidement illustrés pour leur courage et leur manque de pitié totale contre les envahisseurs de la ville. C'est en 1503 que le premier chef Lolisoin eut l'idée de commencer à conquérir les territoires qui entouraient la ville: le territoire intitial de la ville (aujourd'hui entièrement dans la commune de La Vieille) a été multiplié par deux en seulement cinq ans.

Territoire actuel de la commune de la Vieille, contenant la totalité de la vielle ville

Et les descendants du chef ont perpétré l'idée originale du premier chef, agrandir leur territoire, annexer des territoires, souvent par la force, et éventuellement torturer les habitants des contrées s'ils s'avéraient trop coriaces. A son apogée, l'Empire Lolisoin comptait 39 millions d'habitants répartis sur près de 50'000 km², à peu près l'équivalent du territoire actuel méridionien. Bientôt les Lolisoin eurent une renommée internationale, siégeant avec grand succès des villes aussi importantes que Outschy, ou Wil, situées à des jours de cheval de Windhoek. C'est ainsi que la ville a vécu bel et bien 300 ans d'âge "de diamant" comme se plaiesent à dire les professeurs d'histoire.

Lolisoin, la chute (1801-1820)

Malgré ces années de "diamant", le gouvernement Lolisoin commençait déjà à vaciller dans les années 1770, avec un mouvement révolutionnaire parti de la tête de Nard Pivo, un fervent et précoce anarchiste. Un coup d'état, manqué de peu, a failli changer le cours de l'histoire de Windhoek. Heureusement pour le chef des Lolisoin, le poison que l'anarchiste voulait donner au chef pour qu'il s'intoxique s'est perdu dans le fleuve Yolo, laissant pendant des dizaines d'années des paysages de désolation au bord du fleuve, avec des centaines de poissons morts flottant sur le fleuve. Des affaires de corruption auraient bientôt été révélées au public, provoquant l'ire des couches plus populaires et le désarroi des classes bourgeoises qui n'ont pas tardé à plier bagage pour s'isoler dans le lieu-dit de Providencia, aujourd'hui l'une des communes avec le plus de milliardaires en Génésie. En 1818, produit du déversement de poison, les rats pullulant dans la ville très peuplée mais avec un niveau d'hygiène très bas ont fini par transmettre très rapidement la peste bubonique, qui auraient causé entre 90% et 98% (Université Trois Chèvres - Université Yolo) de morts au sein de la population de Windhoek. C'est ainsi qu'en 1820, le fils du chef des Lolisoin meurt, laissant l'empire sans futur empereur.

Instabilité politique (1821-1840)

S'ensuivirent ainsi près de vingt ans d'instabilité politique, qui ont mené à la guerre civile, fort heureusement courte mais tristement célèbre pour avoir tué la quasi totalité des gens qui avaient survécu à la peste bubonique. Les survivants, au nombre de 1'400, ont décidé de rédiger une constitution, inspirée des pays français et américain, pour éviter de répéter des batailles "futiles et meurtières". L'empire des Lolisoin fut disloqué en une série de "communes", qui deviendront avec le fil du temps la Méridionie. Windhoek fut tout de suite proposé comme capitale, étant donné sa centralité par rapport aux autres villes, et au fait que de nombreuses industries ont peu à peu commencé à envahir le paysage windhoekien.

Révolution industrielle, Windhoek capitale de la Méridionie (1841-1935)

Pendant la débacle politique qui rongeait Windhoek durant les années 1830, les villes indépendantes d'Outschy (aujourd'hui Ouchy), de Vil/Viliard (aujourd'hui Wil/Villars) ont entamé leur révolution industrielle et décidèrent en 1843, communément avec la ville de Windhoek d'entamer la construction du chemin de fer Ouchy-Windhoek-Vil/Viliard-Frederiksen. Cette brutale arrivée du progrès a fait que la ville dut se développer, étant donné sa position stratégique entre les deux grands pôles industriels que sont Ouchy et Wil/Villars. La ville passe de 1'300 habitants en 1824 à environ 145'400 habitants seulement 20 ans plus tard, puis atteint le million en 1925. Cette arrivée massive d'habitants a provoqué l'agrandissement incontrôlable de la ville, venant à investir toute la vallée de Freaka, dépression située entre le fleuve Ptdr et l'Estuaire Pierre Sandow et causant les premiers problèmes des villes modernes, tels que le smog et les cancers des voies respiratoires toujours plus fréquents au sein de la capitale qui explose tant démographiquement qu'en superficie. Bien sûr, les bourgeois de Providencia, les patrons des usines, ont main-mise sur l'ensemble de la population windhoekienne; il est estimé que le 79% de la population d'alors était prolétaire, vivant difficilement avec un salaire souvent très en deçà de la réalité des choses. Après de maintes manifestations, de nombreuses grèves, les ouvriers ont commencé à mieux gagner leur vie: en 1910, seul les riches bourgeois, soit une petite minorité de la population, pouvaient se permettre de s'acheter une voiture. En 1925, près du 65% des habitants possédaient une voiture, et près du 80% en aurait les moyens. Les gens partaient de plus en plus loin lors de leurs dimanches de libre, et les "congés payés" étaient dans toutes les bouches.

Intégration à Simland (1936)

Les pays voisins de Windhoek ont commencé à intégrer une union, comme les Etats-Unis l'ont fait, et ayant étudié le cas de nombreuses fois, les autorités Windhoekiennes ont accepté le texte d'intégration à Simland, qui garantissait les mêmes libertés qu'étant indépendant, tout en étant protégés et avec une monnaie stable. De plus en plus d'immigrants vinrent s'installer à Windhoek, qui ne fit que d'augmenter de population. La ville est alors en proie à une urbanisation accélérée, les urbanistes et architechtes ne peuvent rien faire face aux dizaines de milliers d'habitants qui s'installent dans des logements toujours plus insalubres.

Windhoek se réorganise (1937-1969)

A partir de 1937, la mairie a ordonné la réorganisation complète de la ville, le traçage de nouvelles avenues, le rasage complet des anciennes habitations complètement insalubres pour progressivement entamer une verticalisation de la ville, qui hébergera le premier gratte-ciel de la ville en 1950. Les premières barres d'immeubles apparaissent, pour héberger une population toujours croissante. Les "autoroutes", invention importée d'Allemagne par les émigrants allemands fuyant la répression nazie de l'époque, ont commencé à contourner la ville. La première connexion autoroutière entre Outschy (devenue Ouchy) et Windhoek est fonctionnelle dés 1945; des nouvelles autoroutes sont planifiées entre Windhoek et Wil, Windhoek et les villes du nord du Lac DuMont, et Windhoek et le reste de Simland. En 1949, la première voiture fait la première liaison autoroutière entre Ouchy et Peruvia, ville bientôt rattrapée par le Grand Windhoek, qui grandissait chaque jour un peu plus. Les industries déménagent du centre-ville: elles s'établissent dans une plaine encore jamais touchée par l'Homme, en 1950, elles s'établissent à quelques centaines de mètres du petit village de Lol, aujourd'hui inexistant. Suivant l'exemple des pays développés, la mairie étudie des plans dés 1938 afin de construire la première ligne de la "métropolitaine", l'un des premiers métros de Simland. La quatrième ligne, effectuant la liaison entre Greenwald et le centre-ville fut inaugurée en 1948, suivie de la deuxième (1955) et la première (1957). Les lignes 3 et 5 sont actuellement en construction, après un arrêt de 30 ans, à cause des protecteurs de la vie des taupes souterraines, aujourd'hui tous morts. La ville est lentement en train de dépasser les limites du vallon au pied de la colline qui hébergeait la vieille ville. Dans les années '40, la mairie a pu débloquer un budget colossal pour l'époque pour permettre le rasage de la forêt et l'aplanissement du territoire autrefois inhabité de Freaka-Amazônia. Les meilleurs urbanistes ont été séléctionnés pour peupler cette nouvelle terre de la ville, et c'est en 1957 que le quartier de Windhoek-Les Tours a été inauguré en grande pompe par le président de l'époque et des éminences de nombreux pays du monde. D'autres quartiers au nord de la ville suivirent: Windhoek-Extrême Nord (qui deviendra sucessivement Windhoek-Stimoli, puis Windhoek-Marques, et enfin Windhoek-Knowles/Beba), Windhoek-Théâtre, Windhoek-Les Sept Soeurs (premier quartier depuis le renommage de la cité en 1989), Windhoek-Malley et enfin Windhoek-Port.

Mort de l'industrie des nitrates, arrivée massive de chômeurs du nitrate (1947)

A la fin de la guerre, les ingénieurs allemands ont trouvé une solution face à la demande toujours plus grande de nitrates, fertilisant naturel permettant de booster les cultures de matières premières. En effet, depuis toujours le nitrate était importé des Reliefs du Sud-Ouest et du nord du Chili. La veille de la 2ème Guerre Mondiale, la production des Reliefs du Sud-Ouest était la deuxième en importance mondiale, seulement dépassée par celle du Chili. Mais l'invention allemande, le "nitrate artificiel", porta un énorme coup de massue à l'industrie nitrifère; le prix du nitrate s'effondre, et le principal employeur de la région finit par déposer le bilan en l'an 1947. C'est ainsi que près de 200'000 personnes sont brutalement mis au chômage forcé. Mais c'est sans compter sur la découverte quelques jours après la fermeture de la fabrique de nitrates qu'une réserve gigantesque de pétrole était située sous la ville de Windhoek. La commune de Lol, industrielle par excellence, commence à installer des raffineries: les chômeurs du nitrate ne resteront pas longtemps chômeurs. Malgré cela, il eut quand même des dizaines de milliers de personnes restèrent sans emploi, et pour chercher un avenir meilleur, décidèrent de partir à la ville, à Windhoek, s'installer là où c'était possible. Chuchunco et La Quebrada furent fondés en 1949, produit de l'exode rural massif et du manque de place dans les régions de plaine. Les populations pauvres s'entassèrent entre les collines et montagnes, dans des vallons parfois avec que quelques heures d'électricité, et sont souvent victimes de pannes d'électricité.

Verticalisation de la ville, tertiarisation (1970-1993)

Windhoek a lentement commencé à se verticaliser, le territoire communal étant de plus en plus plein de bâtiments. La première tour à être construite, la tour Bankia, est aujourd'hui submergée par des dizaines d'autres immeubles qui l'ont très rapidement dépassé. En 1973, quelques jours avant le premier choc pétrolier des années '70, la tour FBC (Freakan Broadcasting Company) est inaugurée, en présence de grandes personnalités. Cette tour, de près de 300 mètres, est le symbole de la ville, et aussi la plus haute tour du Sud Génésien. Depuis, de nombreuses autres oeuvres de plus de 200 mètres ont été construites: les tours P et k et le Needle dans le quartier de Ouest City, le Talagante T, à Elza, le Titanum City à Talagante la Tour Bleue à Knowles et la tour 'T'elecom dans la commune de Windhoek. Windhoek se prépare à entrer dans le XXIème siècle, et devient toujours de plus en plus importante au sein de la Méridionie.

Miracle économique windhoekien (1994-2012)

Windhoek a continué à grandir en population, atteignant des niveaux encore jamais vu dans la région. De nombreuses entreprises s'installent dans Windhoek, ainsi que de nombreux immigrés voulant tenter leur chance dans un autre pays que le leur. Les trois principaux pôles de développement dans les années du décollage énconomique à Windhoek sont le centre ville (Windhoek commune), Talagante et Knowles, qui ont à eux seuls près des trois quarts des emplois. Durant cette époque, Windhoek avait des taux de chômage très en deçà des standards régionaux, affichant un 0,9% de chômeurs, soit environ 33'000 personnes. Le théâtre Molière, sis au centre de la ville est construit en 2002 et fini l'année suivante est l'un des principaux symboles de cette période faste où le PIB a augmenté de près de 35% en seulement 18 ans. Autre symbole de la renaissance économique windhoekienne: la construction du 'T'elecom Building, ancien opérateur téléphonique racheté par l'opérateur telediva, un immeuble qui sera le deuxième plus haut immeuble de la ville jusqu'en 2010. Les nouveaux riches, ou la "jet-set" comme disent les windhoekiens, sont de plus en plus nombreux, qui gambadent dans leur rues avec des bijoux de grande valeur achetés dans des magasins de marques contraste avec la pauvreté parfois extrême des communes du sud-ouest, loin de l'agitation de la ville mais si près des problèmes endémiques aux gens pauvres. Effectivement, le miracle économique n'a pas profité à tous. Le fossé entre les plus riches et les plus pauvres se creusent; il est estimé que la richesse actuelle de Windhoek est partagée de façon très inéquitable entre riches et pauvres: le 10% plus pauvre a produit le 1,5% du produit intérieur brut de la cité; alors que le 10% le plus riche a produit l'équivalent du 35%. Autre produit inattendu de ce miracle économique: le prix des objets du quotidien a explosé, fruit d'une forte demande à cause de l'enrichissement de la population d'alors. C'est ce qui fait qu'aujourd'hui plusieurs économistes estiment que Windhoek est une des villes les plus chères de Simland, étant donné les salaires élevés que perçoit la population.

Windhoek en 2000

Le tremblement de terre de 2013

Le 2 avril 2013, à 11h45 du matin, un tremblement de terre d'une intensité de 7 dans l'échelle de Richter s'est fait ressentir dans toute la ville. L'épicentre était situé à 77km sous l'embouchure de la rivière Peruvia, entre les communes de Wat et de Peruvia. L'ensemble de la commune péruvienne, qui était encore à l'époque en construction, s'est effondrée, mais ne laissant aucun mort, la commune de Wat ayant mieux résisté, avec ses constructions parasismiques. La secousse, qui a duré environ 1 minute, a causé de dégâts modérés dans la ville, brisant quelques fenêtres et causant la chute du drapeau situé dans le rond-point des Loups, un drapeau soutenu par un mât d'une hauteur de 70 mètres, causant de nombreux blessés entre les passants. L'hôpital de Knowles était débordé d'appels provenant des communes du sud-ouest, les plus démunies. Là-bas, le bilan est lourd: près de 300 victimes et environ 50'000 damnifiés, habitant dans des bâtisses vétustes souvent sans règles parasismisques. Le maire décida donc d'organiser un concert de soutien aux victimes, invitant notamment à Beyoncé, Coldplay et Robbie Williams à chanter au théâtre Molière, agrandi pour l'occasion. L'ensemble des recettes iraient aux damnifiés du tremblement de terre; étant donné le nombre de damnifiés, le maire a mandaté une équipe d'architectes et de constructeurs qui construiront dans les mois qui viennent des "logements sociaux" dans les communes de Chuchunco et La Quebrada, les plus touchées par le séisme. Ces logements sociaux seront entièrement financés par le concert de charité, qui a très bien marché: c'est en effet la première fois que Beyoncé Knowles s'est produite dans la Génésie, faisant venir des dizaines de milliers de fans des quatre coins de la région; le concert a si bien marché que Beyoncé s'est proposé pour deux nouvelles dates, la première qui en faveur des damnifiés, et la deuxième en sa faveur.

Windhoek aujourd'hui

Windhoek est une ville en constante croissance, qui accueille chaque année entre 100'000 et 500'000 habitants selon les Universités des Trois Chèvres et l'Université Yolo; l'économie, longtemps basée sur les matières premières (nitrates et pétrole notamment), se diversifie en se tertiarisant. De nombreux projets à l'échelle métropolitaine sont engagés, dans une ville qui veut réellement marquer son empreinte dans l'histoire de Simland et du monde. La ville se veut ambitieuse dans le plan national: la région a débloqué pour la ville des fonds pour une valeur totale de 334 millions de § pour l'exécution d'un évènement à Windhoek qui puisse rayonner dans l'entièreté du pays. C'est ainsi que le 23 avril la mairie a donné le coup d'envoi à la construction d'une exposition nationale, la wE 2014 (Windhoek Expo 14) qui durera du mois de juillet 2014 au mois de novembre 2014. cette exposition se veut avant tout d'être une vitrine de la ville.

Géographie

Windhoek est située entre le Système Montagneux des Montagnes à l'est et les Plaines Campagnardes à l'ouest. Au sud, les Monts Kellal délimitent la frontière physique. Au nord s'étend un lac, le Lac DuMont, situé à 40 kilomètres du Lac Montgoméry. Au nord-ouest, une étroite bande de terre, la bande de terre Lolienne, est situé entre le désert des Trois, et le lac DuMont. Au nord-ouest, la commune des Marais est situé au même niveau que le lac, provoquant par le passé des inondations, mais aujourd'hui, grâce aux digues construites dans les années '80, le développement des îles anciennement marécageuses est possible. Windhoek est aussi traversé par deux fleuves: le fleuve Ptdr et la rivière Lol, qui se rejoignent à l'est de la commune de Talagante. Ensuite, le fleuve Ptdr poursuit sa route dans le lac DuMont, ressort entre les communes de Wat et Peruvia, et finit dans le fleuve Oméga.

Risque sismique

La Génésie est un territoire à haut risque sismique. En effet, une série de failles traversent la Génésie du nord au sud, où une zone de subduction entre la plaque Eurasienne et la plaque Américaine se rencontrent. Il y a des millions d'années, la Génésie n'était qu'un plateau océanique, qui a lentement commencé à s'élever il y a environ 150 millions d'années. Aujourd'hui, l'ouest de la Génésie est l'une des zones les plus montagneuses du pays, les montagnes Rocheuses passant à l'ouest de la région. La conurbation windhoekienne a vécu 3 grands séismes de grande ampleur; celui de 2013 en fut le plus récent, avec une magnitude de 7 laissant 300 victimes et près de 50'000 damnifiés. Celui de 1993 a laissé sans vie 7 personnes et ne causant que des dégâts matériels mineurs, malgré une magnitude de 7,3. Le tremblement de terre de 1899 a laissé de gros dégâts sur la vieille ville, qui a dû être complètement restaurée pour éviter de perdre des joyaux du passé tels que l'Eglise Sainte Ricarda. La magnitude de ce séisme a été estimée entre 7 et 7,9 degrés Richter, et les dégâts dans l'échelle de Mercalli ont atteint jusqu'à X (désastreux) dans la commune de la Vieille, en cause, l'effondrement de nombreuses bâtisses vieilles de plus de 500 ans. Ces séismes, quoique rares, ont conduit la mairie à imposer des règles parasismiques très rigoureuses dés les années 1970; les bâtiments de plus de 50 mètres doivent être dans des matériaux très légers et flexibles, tels que l'acier, et les bâtiments moins imposants doivent être certifiés par l'office Sismologique de l'Université des Trois Chèvres et de l'Université National de Simland. Les maisons individuelles en armature de bois tels que le chêne et le pin, très résistantes, respectent également les normes parasismiques.

Démographie

Windhoek est devenu la ville du sud de la Génésie ayant le plus d'habitants (Université Yolo, 2013). En effet, le Grand Windhoek héberge environ 4,7 millions d'habitants, dont environ le 95% habitent en ville et seulement le 5% habitent dans des régions rurales (Trois Croix notamment). Près du 95% de la population âgée de plus de 5 ans est alphabétisée; le 25% de la population active a suivi des carrières universitaires, dont la moitié a suivi un doctorat; Windhoek est l'une des villes les plus intelligentes du pays. Sur les 4'692'234 habitants que compte Windhoek d'après l'Université Yolo, il y aurait 2'350'322 de femmes et 2'341'912 d'hommes. La ville a connu un fort pic de croissance démographique pendant les années '50, lors du babyboom et de l'exode rural presque massif, produit des chômeurs de l'industrie des nitrates du sud-ouest, dont les prix se sont effondrés quelques années plus tôt. En effet, en province, le chômage atteignait 20%; dans la capitale seulement le 9,5%; une aubaine pour les licenciés du nitrate, qui espéraient trouver un travail dans l'industrie pétrolière, florissante depuis la découverte d'un puits pétrolier à Frederiksen, un village longtemps isolé de la civilisation. Mais malgré l'industrie pétrolière, pas tous n'ont trouvé du travail et des meilleures conditions de vie. C'est ainsi que les nouveaux arrivants s'installaient dans des "villas callampas" (villes champignons) comme s'amusent à dire les Windhoekiens. Encore aujourd'hui les séquelles sont visibles; les communes de Chuchunco et La Quebrada ont les niveaux de pauvreté les plus élevés de la région, et l'Université des Trois Chèvres estimerait le nombre d'établissements illégaux à environ 3'200 pour la seule commune de Chuchunco, soit le 75% des constructions chuchunquiennes. D'après l'Université des Trois Chèvres, la population windhoekienne devrait arriver à 5 millions en 2015, vu les politiques migratoires favorables à l'établissement dans la ville de Windhoek.

Evolution démographique

Windhoek a depuis toujours eu un rôle important dans l'histoire de la Méridionie. Selon certaines estimations, durant l'apogée de l'empire Lolisoin, Windhoek aurait eu entre 500'000 et 1,5 million d'habitants qui vivaient dans un des empires les plus puissants du continent. Vu sa centralité, les pouvoirs et les entreprises ont choisi s'installer dans la ville, au détriment de villes plus éloignées; les habitants des villes sont en quelque sorte partis avec les entreprises. Il n'existe aucune donnée démographique avant 1880, étant donnée l'inexistance des recensements sur dix ans; les relevés des morts et des naissances dans les églises n'ayant jamais été vraiment exacts. Malgré l'inexistence du recensement avant les années 1840, le nombre des habitants dans la commune de Windhoek est connu avec beaucoup de précision jusqu'en 1800; à cause de la peste bubonique, le nombre d'habitants était très souvent facile à compter. Les années 1860 et 1870 n'ont en outre pas été ajoutés dans le tableau suivant; la population ayant très peu augmenté durant cette période.