Partis politiques en Génésie : Différence entre versions

Version du 4 mars 2016 à 12:32

Comme dans toute élection, les partis ont une importance capitale aux élections générales génésiennes. Les principaux partis présents en Génésie sont (de la gauche vers la droite) :

Partis Actuels

• Le parti national est un parti d'extrême gauche. Il est léniniste. Il est entré pour la première fois au Parlement en novembre 2013, et dispose d'un seul siège à celui-ci. Il s'appelait, jusqu'en octobre 2015, "front antilibéral". Après une traversée du désert, il obtient

• La ligue républicaine génésienne est un parti social-patriotique de gauche. Il s'agit de l'ancienne antenne locale de la LPR pour la Génésie.

• Le parti travailliste génésien est un parti social-libéral de gauche. Il s'agit de l'ancienne antenne locale du parti travailliste simlandais pour la Génésie. Malgré la dissolution du PTS, le parti travailliste génésien est aujourd'hui encore en activité et est aujourd'hui le parti présidentiel, leader de la coalition.

• Le parti social-démocrate génésien est l'ancienne antenne génésienne du parti socialiste simlandais. Après avoir gagné en puissance depuis la dissolution du parti républicain simlandais et du nouveau parti violettiste, il se fissure à l'été 2013 avant d'exploser le 8 août de cette même année. Il est désormais minoritaire et n'est plus qu'un petit parti de centre-gauche.

• Sevaha yatupek est un parti indépendantiste yatupek de centre-gauche. Il a pour principal combat l'entente entre l'homme et la nature. Son nom veut dire "notre peuple" (yatupek) "libre" (sevaha). Sur son logo, le nom est écrit en alphabet latin et en alphabet yatupek.

• Le mouvement libéral-démocrate est un parti vert-libéral du centre. Il s'agit d'un parti allié avec la ldI pour la Génésie.

• Le mouvement écologiste génésien a pour principale doctrine l'écologisme. Il a longtemps été le parti charnière des élections, faisant pencher la balance pour la droite ou la gauche en cas de difficultés à former une coalition. Après une passe plus à gauche entre 2013 et 2015, ils reprennent cette position entre gauche et droite peu avant les élections générales d'octobre 2015.

• L'union démocrate génésienne est un parti du centre-droit. Il est démocrate. Il s'agit de l'antenne locale de l'UDS pour la Génésie. Il fut le parti présidentiel en Génésie pendant 2 ans, sous les présidences de The Venger et Maitre-Voltaire. Le parti subit une traversée du désert depuis la destitution de ce dernier.

• Le parti conservateur génésien est un parti chrétien-démocrate de droite. Son programme est avant tout basé sur le respect des valeurs familiales traditionnelles. Son dirigeant, Mark Leboeuf, a d'ailleurs fait scandale en novembre 2013 lorsqu'il a parlé de "démarier les homos", ce qui a valu la fin du statut d'antenne locale du PCS pour la Génésie à ce parti. Il tente de se refaire une image depuis, mais n'est influent qu'autour de Sonoma.

• Puissance de la Génésie est un parti de droite. Capitaliste et libéral, ce parti est l'ancienne antenne de l'UDL pour la Génésie. C'est actuellement le troisième parti en nombre d'élus au Parlement de Génésie, bien que tous les sondages annoncent une chute vertigineuse de l'influence de ce parti aux prochaines élections, à cause d'une campagne trop ancrée, d'après les observateurs, à la limite de l'extrême-droite.

• Monarchistes génésiens unis est un parti monarchiste modéré de droite. Il prône la mise en place d'une monarchie parlementaire, sur le modèle queensien. Son dirigeant charismatique, Olivier de la Morandais, est très populaire dans la région historique du Bassin de Simland.

• Le parti grisotiste est un parti d'extrême-droite. Il est basé sur la personnalité de Philippe Grisot, ancien dictateur de la Génésie, sous lequel celle-ci a atteint son apogée territoriale.

• Le parti nationaliste simlandais est le parti d’extrême droite simlandais le plus en vogue, plus présent en Génésie que partout ailleurs. C'est le seul parti qui a le même nom au niveau fédéral et au niveau étatique.

Anciens Partis de Génésie

• La section génésienne de l'internationale ouvrière (ex-UGG) est un parti de gauche radicale. Il est marxiste. Il s'agit de l'ancienne antenne locale de la SSIO. Elle fusionne avec le Parti National en février 2016.

• Le parti violettiste génésien était un parti d’extrême gauche, très puissant entre fin 2010 et début 2012, affaibli depuis le début du Mandat Fololilalimb, et fermé le 30 août 2012 avec l'ouverture de l'UGG.

• L'union de la gauche génésienne était le parti de la gauche radicale génésienne. Plus au centre que le PVG, il prend toutefois sa succession le 30 août 2012, s'imposant comme les restes d'une gauche radicale forte dans la région. Il devient la SGIO le 29 décembre 2012 lorsqu'il devient une antenne locale de la SSIO.

• Le parti chrétien-démocrate Génésien fut fondé en même temps que la CDU allemande ou le CSV luxembourgeois. Il prônait la démocratie, la décentralisation, le capitalisme et à une époque, la religion. Il a été le seul parti de droite de Génésie et l'un des plus importants, mais, suite à une crise du nombre de membres, il a rejoint l'UDL en août 2012. En juin 2013, il est remplacé par le PDG.

• Le rassemblement démocrate génésien était un parti de droite et de centre-droit. Il s'agissait de l'antenne locale du RPD pour la Génésie. Il a été à de nombreuses reprises le premier parti de la Génésie en nombre de sièges au parlement. Il a d'abord survécu à la dissolution du RPD, mais perd presque tous ses sièges au Parlement en octobre 2015, après une campagne de décrédibilisation, qui le plaçait comme une marionnette de l'UDG. Il fusionne en janvier 2016 avec le PDG.

• Le Mouvement Indépendantiste Hispanique Génésien était un parti indépendantiste de toute la Génésie Hispanique (Salendrie, Carolie, et Méridionie). Il défendait l'indépendance de cette partie de la Génésie. Son idéologie, en dehors de cette idée principale, était souvent affiliée à la droite radicale. Ce parti était très puissant dans les environs de Markane et sur les côtes sud et ouest du Grand Lac Salé, mais les voix électorales données à ce parti dans le reste de la Génésie restaient anecdotiques. Ce parti fut interdit en octobre 2013 à la suite de suspicions d'implication dans la guerre de Génésie.