Central Park (Ramur City) : Différence entre versions
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+ | La ville de Ramur City a une histoire compliquée à intégrer et, pour bien comprendre tous les aspects de la ville, il est nécessaire de maitriser plusieurs informations à la fois car rien n’est là par hasard. Aujourd’hui, je vous propose de découvrir les raisons de l’existence de Central Park, lieux de repos et de détende des 4 millions de centre-Ramuriens. | ||
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+ | Pour connaître les sources de l’existence de Central Park, il faut remonter plusieurs millénaires en arrière, à une époque où l’homme n’avait pas encore foulé le sol de la future Ramur City. En ce temps, le fleuve Saint Laurent se terminait en delta et se jetait dans l’océan plusieurs kilomètres en amont par rapport à la situation actuelle. Ramur City avait alors des aires de lagune, à l’image du Sahara avant qu’il ne devienne un désert. | ||
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+ | Les chercheurs du Musée d’Histoire Naturelle pensent que pour cette raison, le sol de Ramur City doit regorger de fossiles en tout genre datant d’un lointain passé. Il n’est d’ailleurs pas rare de retrouver dents de requin ou squelettes de singes lors de construction de bâtiments. L’inconvénient, c’est qu’ayant aucune trace concrète de la topographie passée et la ville s’étant tellement dévelopée avant que les recherches en la matière commencent, il n’est a présent pas possible de définir clairement le nombre d’artères que comptait le delta et sur quelle superficie ce dernier s’étendait. | ||
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+ | [[Image:http://www.arnnamur.be/DOSSIERS/STL001.jpg]] ''Représentation du delta du Saint-Laurent en ces temps reculés'' | ||
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+ | Ramur City était alors une baie paradisiaque, presque exotique alimenté d’une eau très riche en alluvions et par conséquent, produisant des berges très fertiles. Malheureusement, c’est justement cette richesse qui a causé la perte de la région. En effet, le fleuve riche en alluvion avait tendance apportait quotidiennement une quantité importante d’alluvions dont une partie restait sur les berges, comme tout fleuve en réalité. Cependant, le volume déposé était tel que petit à petit les différentes artères se sont bouchées donnait naissance à des étangs coupés de toute connexion avec le lit du fleuve. Au fil des années, les artères se sont bouchées les unes après les autres, faisant de Ramur City une zone clairsemée de points d’eau plus ou moins grand. On pense que c’est à cette période que s’est déroulée l’épisode de Shandora, la ville natale de Papoupunchu. | ||
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+ | En effet, d’après les mémoires du fondateur de la ville, Shandora se trouvait sur une île à proximité immédiate de la côte. Cette île devait en fait être un bout de terre situé entre deux bras du delta. N’ayant toujours pas retrouvé la trace de la dite ville, cela reste une supposition. Quand Papoupunchu est revenu, plusieurs années après l’incident, il n’a pas reconnu la région, peut être parce que la topographie de celle-ci avait changée notamment en vertu de l’assèchement de certains points d’eau ou la disparition de certaines artères du fleuve. Rien n’est moins sûr, mais cette hypothèse reste la plus probable. On pense même qu’en cette époque, le lac de Central Park était encore lié avec le lit principal du fleuve. Les années ont passé et la région a vu se succéder les fortuniwaens, les aztèques et les espagnols sans que ceux-ci ne se soucient des changements que subissaient la rive droite du Saint-Laurent, à savoir, l’isolement progressif de la dernière artère du fleuve. Quand les anglais arrivent en 1613, il découvre alors une rive droite complètement déserte et surtout très fertile en raison des alluvions tout frais qui composent le sol de la région. C’est entre autre pour cette raison qu’ils se sont installés rive droite au lieu de perpétuer la ville installer rive gauche. La nouvelle topographie dépourvue d’eau permettait aux Anglais de disposé d’un sol très plat, très fertile et assez large pour établir une ville correcte, et c’est ce qu’ils ont fait ! | ||
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+ | A mi-chemin entre leur centre ville et la côte, restait un vestige de ce bras de fleuve, encore alimenté par le Saint-Laurent quelques décennies auparavant. Il ne pose aucun doute que ce court d’eau était de l’eau bénite pour les Anglais puisqu’il était une source d’eau douce, et donc potable et dépourvu de la présence de beaucoup d’espèces d’animaux, présents eux dans le Saint-Laurent. Ce lac, nommé alors « Source de la ville » est alors devenu l’extrémité de Ramur Town au cours du 17e siècle. Pouvoir s’abreuver sans courrir le risque de croiser une troupe ennemie qui remonte le fleuve est déjà un énorme avantage, mais si aucun animal ne vient s’y ressourcer, c’est encore mieux. En effet, d’après les écrits du gouverneur du Ramur Town du 17e, le problème de cette source était que le gibier venait s’y restaurer, attirant par la même occasion les prédateurs tels que les Jaguars et les loups, ce qui n’avait pas pour rassurer la population. Pour palier cette gène, le gouverneur fît abattre tous les arbres dans un rayons de 5 kilomètres autour du lac et y construisit des tours de garde. Des « effrayeurs » positionnés dans ces tours avaient pour mission d’éloigner les troupeaux de gazelles et autres herbivores et par conséquent, de garder la ville à l’écart de la faune vivant aux alentours : Le lac du futur Central Park était devenu propriété humaine exclusive. | ||
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+ | Plusieurs dizaines d’années plus tard, en 1882 exactement, la ville s’est étendue, reliant le quartier de la future gare TGV à l’océan et, par conséquent, enjambant le lac et ses kilomètres de zone tampon. La ville était devenue si importante, qu’elle entourait radicalement le lac qui gardait son utilité première. Il était donc impossible à toute espèce animale de s’y rendre, pour quelque raison que ce soit. Il a alors été décidé d’aménager cette vaste partie de la ville en une zone verte, un poumon, un lieu de repos pour les habitants. Le projet Central Park était né. | ||
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+ | En réalité, ce projet n’a rien de novateur pour les Anglais puisqu’ils réalisent ce genre de parcs, un peu partout à travers ses colonies. New Amsterdam et New York avaient également vu naitre un parc central, 10 ans plus tôt dans l’enceinte de leurs murs. Ramur City ne fait alors que suivre la tendance pour le plus grand bonheur de ses citoyens et, sans surprise, le parc aménagé au centre de la ville pris le nom de « Central Park » et le garda malgré le développement de la ville et le passage à la rive gauche qui, par extension, dépositionna le Parc par rapport au centre de la ville. | ||
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+ | '''LE PARC D'AUJOURD'HUI''' | ||
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+ | Aujourd’hui, Central Park garde son visage, bien sûr, la zone a été un peu agrandie et aménagée pour que les citoyens puissent en jouir au maximum. Il est aujourd’hui interdit de construire quelque bâtiment que ce soit à l’exception du siège social de l’AES (parti écologique) qui a pu s’installer à l’orée du parc. Cet endroit est très prisé de la population qui s’y arrête tant pour déjeuner, que pour se balader ou encore faire son jogging dominical. A l’image du Central Park de New York, celui de Ramur City est aussi un berceau de rencontre malgré le fait qu’aucun aménagement particulier n’y est réalisé (comme un zoo ou autres). Seuls les balades en amoureux sur le lac et les promenades en calèche autour du point d’eau sont infirment cette règle. Aujourd’hui, avec la forêt Papoupunchu, Central Park est un poumon de la ville, un lieu où le temps s’arrête et on le ramurien peut découvrir son voisin, aussi différent soit-il. | ||
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Version du 2 avril 2010 à 08:05
INTRODUCTION
La ville de Ramur City a une histoire compliquée à intégrer et, pour bien comprendre tous les aspects de la ville, il est nécessaire de maitriser plusieurs informations à la fois car rien n’est là par hasard. Aujourd’hui, je vous propose de découvrir les raisons de l’existence de Central Park, lieux de repos et de détende des 4 millions de centre-Ramuriens.
PRESENTATION DE CENTRAL PARK
Pour connaître les sources de l’existence de Central Park, il faut remonter plusieurs millénaires en arrière, à une époque où l’homme n’avait pas encore foulé le sol de la future Ramur City. En ce temps, le fleuve Saint Laurent se terminait en delta et se jetait dans l’océan plusieurs kilomètres en amont par rapport à la situation actuelle. Ramur City avait alors des aires de lagune, à l’image du Sahara avant qu’il ne devienne un désert.
Les chercheurs du Musée d’Histoire Naturelle pensent que pour cette raison, le sol de Ramur City doit regorger de fossiles en tout genre datant d’un lointain passé. Il n’est d’ailleurs pas rare de retrouver dents de requin ou squelettes de singes lors de construction de bâtiments. L’inconvénient, c’est qu’ayant aucune trace concrète de la topographie passée et la ville s’étant tellement dévelopée avant que les recherches en la matière commencent, il n’est a présent pas possible de définir clairement le nombre d’artères que comptait le delta et sur quelle superficie ce dernier s’étendait.
Fichier:Http://www.arnnamur.be/DOSSIERS/STL001.jpg Représentation du delta du Saint-Laurent en ces temps reculés
Ramur City était alors une baie paradisiaque, presque exotique alimenté d’une eau très riche en alluvions et par conséquent, produisant des berges très fertiles. Malheureusement, c’est justement cette richesse qui a causé la perte de la région. En effet, le fleuve riche en alluvion avait tendance apportait quotidiennement une quantité importante d’alluvions dont une partie restait sur les berges, comme tout fleuve en réalité. Cependant, le volume déposé était tel que petit à petit les différentes artères se sont bouchées donnait naissance à des étangs coupés de toute connexion avec le lit du fleuve. Au fil des années, les artères se sont bouchées les unes après les autres, faisant de Ramur City une zone clairsemée de points d’eau plus ou moins grand. On pense que c’est à cette période que s’est déroulée l’épisode de Shandora, la ville natale de Papoupunchu.
En effet, d’après les mémoires du fondateur de la ville, Shandora se trouvait sur une île à proximité immédiate de la côte. Cette île devait en fait être un bout de terre situé entre deux bras du delta. N’ayant toujours pas retrouvé la trace de la dite ville, cela reste une supposition. Quand Papoupunchu est revenu, plusieurs années après l’incident, il n’a pas reconnu la région, peut être parce que la topographie de celle-ci avait changée notamment en vertu de l’assèchement de certains points d’eau ou la disparition de certaines artères du fleuve. Rien n’est moins sûr, mais cette hypothèse reste la plus probable. On pense même qu’en cette époque, le lac de Central Park était encore lié avec le lit principal du fleuve. Les années ont passé et la région a vu se succéder les fortuniwaens, les aztèques et les espagnols sans que ceux-ci ne se soucient des changements que subissaient la rive droite du Saint-Laurent, à savoir, l’isolement progressif de la dernière artère du fleuve. Quand les anglais arrivent en 1613, il découvre alors une rive droite complètement déserte et surtout très fertile en raison des alluvions tout frais qui composent le sol de la région. C’est entre autre pour cette raison qu’ils se sont installés rive droite au lieu de perpétuer la ville installer rive gauche. La nouvelle topographie dépourvue d’eau permettait aux Anglais de disposé d’un sol très plat, très fertile et assez large pour établir une ville correcte, et c’est ce qu’ils ont fait !
A mi-chemin entre leur centre ville et la côte, restait un vestige de ce bras de fleuve, encore alimenté par le Saint-Laurent quelques décennies auparavant. Il ne pose aucun doute que ce court d’eau était de l’eau bénite pour les Anglais puisqu’il était une source d’eau douce, et donc potable et dépourvu de la présence de beaucoup d’espèces d’animaux, présents eux dans le Saint-Laurent. Ce lac, nommé alors « Source de la ville » est alors devenu l’extrémité de Ramur Town au cours du 17e siècle. Pouvoir s’abreuver sans courrir le risque de croiser une troupe ennemie qui remonte le fleuve est déjà un énorme avantage, mais si aucun animal ne vient s’y ressourcer, c’est encore mieux. En effet, d’après les écrits du gouverneur du Ramur Town du 17e, le problème de cette source était que le gibier venait s’y restaurer, attirant par la même occasion les prédateurs tels que les Jaguars et les loups, ce qui n’avait pas pour rassurer la population. Pour palier cette gène, le gouverneur fît abattre tous les arbres dans un rayons de 5 kilomètres autour du lac et y construisit des tours de garde. Des « effrayeurs » positionnés dans ces tours avaient pour mission d’éloigner les troupeaux de gazelles et autres herbivores et par conséquent, de garder la ville à l’écart de la faune vivant aux alentours : Le lac du futur Central Park était devenu propriété humaine exclusive.
Plusieurs dizaines d’années plus tard, en 1882 exactement, la ville s’est étendue, reliant le quartier de la future gare TGV à l’océan et, par conséquent, enjambant le lac et ses kilomètres de zone tampon. La ville était devenue si importante, qu’elle entourait radicalement le lac qui gardait son utilité première. Il était donc impossible à toute espèce animale de s’y rendre, pour quelque raison que ce soit. Il a alors été décidé d’aménager cette vaste partie de la ville en une zone verte, un poumon, un lieu de repos pour les habitants. Le projet Central Park était né.
En réalité, ce projet n’a rien de novateur pour les Anglais puisqu’ils réalisent ce genre de parcs, un peu partout à travers ses colonies. New Amsterdam et New York avaient également vu naitre un parc central, 10 ans plus tôt dans l’enceinte de leurs murs. Ramur City ne fait alors que suivre la tendance pour le plus grand bonheur de ses citoyens et, sans surprise, le parc aménagé au centre de la ville pris le nom de « Central Park » et le garda malgré le développement de la ville et le passage à la rive gauche qui, par extension, dépositionna le Parc par rapport au centre de la ville.
LE PARC D'AUJOURD'HUI
Aujourd’hui, Central Park garde son visage, bien sûr, la zone a été un peu agrandie et aménagée pour que les citoyens puissent en jouir au maximum. Il est aujourd’hui interdit de construire quelque bâtiment que ce soit à l’exception du siège social de l’AES (parti écologique) qui a pu s’installer à l’orée du parc. Cet endroit est très prisé de la population qui s’y arrête tant pour déjeuner, que pour se balader ou encore faire son jogging dominical. A l’image du Central Park de New York, celui de Ramur City est aussi un berceau de rencontre malgré le fait qu’aucun aménagement particulier n’y est réalisé (comme un zoo ou autres). Seuls les balades en amoureux sur le lac et les promenades en calèche autour du point d’eau sont infirment cette règle. Aujourd’hui, avec la forêt Papoupunchu, Central Park est un poumon de la ville, un lieu où le temps s’arrête et on le ramurien peut découvrir son voisin, aussi différent soit-il.