White Jack Coffee : Différence entre versions
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Version actuelle en date du 25 juillet 2013 à 18:20
SIM-COMPAGNIE | |
White Jack Coffee | |
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PDG | Jack McKenna |
Début d'activité | 1er novembre 2009 |
Activité(s) | bars spécialisés dans la revente de marijuana |
Siège Social | Sun City, CM |
Topic dédié |
White Jack Coffee (White Jack Coffee, Original Comorean Coffee Shop), parfois appelé « WJC », est une chaîne de « coffee shops » basée à Sun City dans l'Etat des Comores. La marque a été fondée le 1er novembre 2009, le même jour de l'entrée en vigueur de la légalisation concernant l'usage et la revente de marijuana, aux Comores. Restreint à ne pas pouvoir se développer au-delà des frontières de l'Etat - la marijuana reste interdite dans 14 des 16 Etats Fédéraux que compte Simland - White Jack Coffee reste néanmoins célèbre dans tout le pays, et attire chaque jour des milliers de touristes venus de tous les Etats de Simland, et surtout des Etats voisins : les Apach, le Simland Méridional et le Grand Sud.
Au 1er août 2011, la sim-compagnie servait sept jours sur sept environ 10.000 clients, répartis dans les 8 établissements de Sun City et ses environs. Les bars sont ouverts non-stop de 11H00 du matin à 3H00 du matin.
Sommaire
Présentation
White Jack Coffee doit son nom à une célèbre variété de marijuana, la « White Jack ». C'est aussi un hommage à Jack Herer, un activiste américain décédé en 2010, qui a consacré sa vie à essayer de réhabiliter le chanvre dont la culture est totalement interdite aux États-Unis.
Bien que privée, la société a été fondée à l'origine avec le soutien de l'Etat des Comores, afin de pouvoir contrôler la commercialisation de marijuana, et ainsi tirer les bénéfices de cette manne touristique importante. On estime en effet à plus de 500 millions de Simleons, les bénéfices annuels de l'Etat, qui était avant même la légalisation de la marijuana, la première destination touristique de Simland. Les profits liés à ce commerce encadré seraient de plus en plus importants, d'années en années. Mais il ne faut pas confondre les coffee shops simlandais de leurs homologues néerlandais : la législation des Comores autorise seulement l'achat, la revente, et la consommation de marijuana « à l'intérieur de commerces homologués et encadrés par l'Etat des Comores ». Autrement dit, il n'est pas possible d'en acheter pour l'emporter et la consommer chez soit. Mais cette mesure a permis à White Jack Coffee de fidéliser ses clients en véhiculant une image de « lieu convivial et de rencontres ». Selon une étude menée en avril 2011, 60% des clients viennent au moins une fois par semaine dans l'un des bars de la chaîne, pour y consommer de la marijuana. Mais il est aussi possible de manger au White Jack Coffee, notamment son célèbre plat de nachos. En revanche, aucun coffee shop de la chaîne ne sert de boissons alcoolisées. La consommation de marijuana se fait par l'intermédiaire d'un inhalateur que l'on pourrait aussi appeller « bar à bulles ». Une séance d'inhalation dure 20 minutes, et peut coûter jusqu'à 5 Simleons.
Identité visuelle et ambiance musicale
L'ambiance de White Jack Coffee est très singulière, ce qui permet de différencier les bars de la chaîne des coffee shops concurrents et indépendants pour la plupart. L'environnement visuel est sans équivoque, avec ses papiers peints aux motifs de feuilles de cannabis. A l'instar du logo à dominance orange et bleue, les couleurs des bars priment sur les tons verts : la couleur de la marijuana. Le mobilier est très moderne, y compris les inhalateurs. White Jack Coffee revendique un univers « select », bien loin des clichés du coffee shop miteux et peu fréquentable.
L'ambiance musicale n'est pas en reste, avec le style reggae qui tourne en boucle. Le volume y est assez élevé. La chanson officielle de White Jack Coffee est « Cocain in my brain » écrite et composée par Dillinger en 1978. Elle est diffusée régulièrement dans les bars. Mais la playlist reprend aussi des titres célèbres, tels que « Concrete Jungle » et « One Love » de Bob Marley.
L' « Underground » est l'une des caractéristiques des bars White Jack Coffee. C'est un lieu qu'affectionnent particulièrement les clients habitués qui aiment s'y retrouver, lors d'une séance d'inhalation. Avec sa lumière noire et son ambiance psychédélique, l' « Underground » est très souvent aménagé au sous-sol du coffee shop. On y trouve des tables et des canapés pour se détendre, et les inhalateurs de marijuana.
Logo
Le logo de White Jack Coffee n'est pas sans rappeler celui de chaînes de fast-food célèbres. Il est à l'effigie de Djay, ancien Président de Simland et ancien Gouverneur des Comores. Contrairement aux idées reçues, Djay n'est pas le fondateur de White Jack Coffee et n'a aucune part dans la société. A l'époque Gouverneur des Comores et instigateur de la légalisation de la marijuana dans son Etat, il avait prêté son image dans le cadre d'une campagne de promotion pour le compte de White Jack Coffee. Finalement, le logo deviendra définitif et sera utilisé par tous les coffee shops de la chaîne. Dans une interview donnée en juillet 2010 à un journal local comoréan, Djay, encore Gouverneur des Comores à ce moment là, avait déclaré, non sans humour, être allé « une fois dans un White Jack Coffee, afin d'y goûter les vertues dont tout le monde fait les louanges ». L'ancien Gouverneur des Comores s'était en effet rendu dans un White Jack Coffee de Sun City, devant les caméras de télévision, pour une campagne de promotion, et défendre dans le même temps sa nouvelle loi sujette à des polémiques récurrentes.
White Jack Coffee à Simland
Limité à une législation très stricte, White Jack Coffee ne peut s'implanter qu'aux Comores et en Simland Méridional, les deux seuls Etats de Simland où la consommation de marijuana est légale. Elle reste strictement interdite dans tous les autres Etats.
En 2011, White Jack Coffee comptait 8 bars à Sun City et ses environs : 5 dans la capitale capitale des Comores, 3 dans sa banlieue. Il faut retenir le White Jack Coffee de Studio City, en plein coeur du quartier des studios de cinéma de Sun City, très fréquenté par les célébrités du show-business, qui ne cachent plus aux journalistes leur accoutumance à la marijuana ! Mais l'actuel patron de la sim-compagnie, Jack McKenna, un entrepreneur installé aux Comores, admet avoir du mal à se développer, du fait de la réticence des maires de son Etat à faire venir des coffee shops dans leur ville.
Cela dit, White Jack Coffee n'envisage toujours pas d'implantation en Simland Méridional, malgré l'appel de nombreux maires de cet Etat. Mais la chaîne compte sur l'année 2011 pour faire décoller son développement, d'abord aux Comores, et peut-être plus tard en Simland Méridional. Un coffee shop doit notamment ouvrir à Snaskila, Comores, en été 2011.
Année | fin 2009 | début 2010 | fin 2010 | début 2011 | fin 2011 | 2012 | 2013 |
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Nombre de coffee shops | 1 | 2 | 4 | 5 | 8 | 10 | 12 |
Respect de la législation comoréane en vigueur
White Jack Coffee s'engage à respecter au maximum la législation en vigueur aux Comores, qui autorise l'accès aux coffee shops seulement aux personnes majeures, qu'elles soient résidentes de cet Etat ou de n'importe quel autre. Les touristes étrangers (non simlandais) sont aussi autorisés d'accès aux coffee shops sous condition qu'ils soient eux-mêmes majeurs. Pour pouvoir entrer dans un coffee shop, il faut présenter sa carte d'identité, qui est numérisée et mémorisée pendant 24 heures dans une base de données. Cette législation unique à Simland permet ainsi aux Comores d'accueillir quotidiennement des milliers de touristes, au profit des professionnels du secteur et des autorités d'Etat. En outre, la législation comoréane autorise l'accès aux coffee shops au maximum deux heures par jour et par personne. Si cette mesure est avant tout sanitaire, elle permet néanmoins aux bars de canaliser le flot incessant de clients.
Depuis la législation sur le commerce légal de marijuana, les activitées criminelles liées à la drogue auraient chuté de 40% aux Comores, selon une étude menée fin 2010 par les autorités d'Etat. Si ces chiffres sont encourageants, ils restent en deçà des estimations faites avant la légalisation.