Elections Génésiennes d'Avril 2014 : Différence entre versions
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Version actuelle en date du 24 janvier 2015 à 09:25
ÉLECTIONS GÉNÉSIENNES | |
Elections Génésiennes d'Avril 2014 | |
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Président sortant | Kentleprix (PTG) |
Candidat(s) à la Présidence | Kentleprix (PTG) Alexander L. Davis (UDG) |
Résultats | |
Législatives | |
MAJORITÉ- 141 sièges - 70.5% PTG (PTS) - 61 sièges - 30,5%
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Résultats (Présidentielles) | Kentleprix (PTG) - 70.5% non-rp: 75% |
Composition du Parlement Élu | |
Les Élections Génésiennes d'avril 2014 ont eu lieu du 19 au 24 avril 2013. Elles ont pourvu au remplacement de la VIème législature du Parlement de Génésie.
Campagne
La campagne s'est surtout orientée autour de deux figures majeures : T. Kentleprix, président sortant, et Alexander L. Davis, arrivé à Simland quelques mois plus tôt, soutenu par deux des trois grands partis de Simland, le RPD et l'UDS. Les sujets de campagnes d'Alexander L.Davis (La Génésie, un art de vie)] et de T. Kentleprix (l'Homme de la Génésie) ont été suivis par tout le sous-continent. C'est la campagne la plus dure qui aie eu lieu à des élections génésiennes depuis la réunification, avec la campagne de juin 2012. Raphaël Proust a été annoncé comme colistier du candidat UDG, alors le candidat sortant lui a choisi de ne pas en introduire. La campagne d'Alexander L. Davis était centrée sur la jeunesse, et sur la fraîcheur du candidat ("Monsieur Kentleprix, merci pour tous ce que vous avez fait pour la Génésie, nous vous en sommes très reconnaissants. Monsieur Kentleprix à écrit l'histoire de la Génésie. C'est maintenant à la jeunesse d'écrire l'avenir."), et celle de T. Kentleprix était plutôt axée sur la pérennité du changement ("Sous ma gouvernance, la Génésie a évolué, avancé, et j'ai avancé avec elle. [...] Au cours de ce mandat, je m'attacherai particulièrement à former la nouvelle génération de génésiens, afin d'avoir la meilleure transition politique possible, et d'avoir un changement de Présidence pour le mieux, et non pas, comme cela est proposé actuellement par mon rival, pour l'inexpérience et la perte de qualité. Ce mandat s'appuiera sur les propositions de l'ensemble des citoyens génésiens, sur la coopération entre tous, sur cette formation de la nouvelle génération").
À l'issue de cette campagne, personne ne connait les résultats possibles du vote. En effet, tout paraît extrêmement serré.
Législatives
La soirée des Élections Législatives a eu lieu sur GenesiaTV. Elle a été présentée, comme les élections précédentes, par Charles O'Malley et Jane Dawson, éditorialistes politiques respectivement à GenesiaTV et GUATV, et réalisée par Tomy Kentleprix.
Ces élections ont été les premières élections pour un parlement à 200 sièges, dans le cadre de la réforme des comtés orchestrée par T. Kentleprix, passant le nombre de comtés de 43 à 50. Le résultat de ces élections, en terme de rapports droite-gauche, était plus qu'incertain lors de ces élections, l'on s'attendait en effet à une égalité parfaite. Au cours de la soirée, après que la droite et la gauche aient pris tour à tour une légère avance, on a en effet 42% des sièges accordés à la gauche et 42% à la droite. Le centre et centre-droit obtiennent alors 11.5% des sièges, l'extrême gauche 4% et l'extrême droite seulement 0.5%. C'est donc le centre et les extrêmes qui vont permettre de trancher.
Charles O'Malley, co-présentateur de l'émission, analysera cette carte ainsi : "La Columbia est très divisée, avec un nord très ancré à gauche et un sud plus à droite, même si le MLD emporte beaucoup plus de sièges en Méridionie que ce que prédisaient les sondages. C'est beaucoup plus disparate dans le Bassin de Simland. On remarque que les extrêmes ont perdu énormément de sièges, ainsi que l'UDG qui passe de 4è parti à 6è parti du parlement. Tout se jouera demain !"
Dans les faits, les négociations à huis-clos pour former la majorité parlementaire et présidentielle prendront, fait inédit, 5 jours.
Cette nouvelle session élective marque le début de la VIIème législature du Parlement de Génésie.
Présidentielles
Les négociations des groupes parlementaires aboutissent finalement à une coalition très large. Le MLD et les écologistes refusent alors en effet une coalition avec le PDG et avec la LRG, imposant donc au RDG et au PTG une alliance "contre-nature". L'UDG refuse de s'allier avec le PTG et rejoint alors l'opposition. Kentleprix l'emporte finalement avec 70.5% des voix des parlementaires, soit le soutien des membres de la majorité. Il forme alors un collège des secrétaires très large, avec un Premier Ministre de droite (Raphaël Proust, RDG) et des secrétaires également issus de toute la majorité.
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