Chilwaukans : Différence entre versions
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− | ===Le peuple Chilwaukan à son apogée(-800 à | + | ===Le peuple Chilwaukan à son apogée(-800 à 1744)=== |
+ | Le peuple Chilwaukan va connaitre des siècles d'apogée grâce au commerce avec les tribus voisines des [[Inupiaks]] et , des [[Alamans]] et des [[Kaspiens]]. Il y aura très peu de guerres externes et internes entre ces peuples qui se ressemblent énormément. Le commerce de fourrure, de poterie et d'instruments de chasse va prendre tout son sens dans les alentours de l'an 1000. | ||
+ | Le [[Lac Rétropolis]] sera l'occasion pour les Chilwaukans de parfaire leur technique de pêche en construisant des embarcations pour pouvoir naviguer. Les villages deviendront importants ( le plus gros village aura 200 habitations). | ||
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+ | Les Chilwaukans commerçaient grâce au système du troc et créait des sortes d'alliances commerciales grâces aux différentes alliances selon les villages. | ||
− | + | La culture et la tradition chilwaukan vont se renforcer durant cette époque. | |
+ | C'est également durant cette période là que les Chilwaukans vont dominer les autres peuplades de la région qui vont s'assimiler à la culture Chilwaukans notamment à partir du 15ème siècle. Au 17ème siècle les Inupiaks et les Alamans n'ont pratiquemenr plus de culture et se sont tellement assimilés aux Chilwaukans qu'ils se considérent comme telle. Seuls les Kaspiens ont encore une culture qui résistent aux Chilwaukans bien qu'ils aient d'autres chats à fouetter comme les Hollandais ou les Russes qui arrivent dans la région. | ||
− | + | Au 18ème siècle, l'exploration de Vitus Béring est la première exploration européenne à découvrir les Chilwaukans à partir de 1738. | |
+ | ===Premières explorations et colonisation russe=== | ||
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+ | [[Fichier:Iroquois-hiawatha-6.jpg|thumb|right|400px|''Indiens Chilwaukans autour d'un feu.'']] | ||
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+ | A partir du 18ème siècle les Européens découvrent la région à travers les Russes dans leur expansions vers l'Alaska. Vitus Béring est le premier explorateur européen a avoir découvert la terre Chilwaukan. Très vite de la méfiance apparaît et quelques tensions également mais les tribus Chilwaukans globalement pacifiques décident de commercer avec les Russes notamment pour le commerce de la fourrure. | ||
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+ | Les russes tentent de coloniser l'endroit jusq'après la mort de Bérin en 1741 en fondant un village du nom de Rétropoliskaïa. La colonie ne durera pas plus que 5 ans car les Russes étaient bien trop nombreux pour coloniser durablement les terres. | ||
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+ | Dans les années 1750 il y aura plusieurs tentatives russes de coloniser la région jusqu'à leur retrait de l'Alaska en 1754 et leur perte d'influence dans le nord de Simland. Ces mouvements récurrents de population entraîneront l'apparition de maladies totalement inconnue des Chilwaukans qui vont commencer à décliner: la peste et la tuberculose feront des ravages parmis leur population. | ||
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+ | A partir de 1750, c'est le déclin des Chilwaukans et le début d'autres explorations. | ||
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+ | ===Les explorations génésiennes, laytonnaises, hollandaises et suèdoises ( 1754 à 1817)=== | ||
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+ | De 1754 à 1790, il n'existera aucune tentatives de colonisations de la part des Européens en territoire Chilwaukans. Toutefois en 1790, les Anglais de la colonie de Layton ( au centre) tentent des explorations par le sud ouest ainsi que les Hollandais de la Houde par l'ouest. Ces derniers arriveront à conquérir des territoires Chilwaukans par avantage technologique et par dissémination des populations chilwaukans dans les plaines de l'ouest. | ||
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+ | Les anglophones du [[Queens]] tenteront également des explorations en traversant l'Hudson et jusqu'au [[Lac Rétropolis]], très vite, les Anglais comprennent qu'il faut s'installer rapidement sur ses terres autrefois russes. A partir de 1790, les Anglais commencent à coloniser les rives du Lac Rétropolis et le sud ouest de la région avec les villes de [[Toadstone]] et [[Colomb City.]]. Rétropolis , ancien village russe, est également fondé dans ses années là. La colonie Laytonnaise de l'Uluru est née. | ||
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+ | D'autres explorations auront lieu mais cette fois ci plus au nord et au centre de l'Etat: les Génésiens francophones issus du centre du sous continent simlandais ( Actuel [[Maxisland]]) font également des expéditions et rencontrent les Chilwaukans. De la même manière qu'avec les Russes, le commerce sera intense entre les Génésiens et les Chilwaukans.Ces derniers vont commencer à se convertir au catholicisme et à s'assimiler à la socièté génésienne. En 1801, la colonie génésienne du Whyalla est créée en créant plusieurs villages dans les [[Monts Uluru]] et en fondant [[Balronde]]. | ||
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+ | Les Chilwaukans sont donc complètement intégrés aux deux colonies. | ||
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+ | Un autre pays tentera des expéditions dans la région pour y fonder une colonie: la Suède qui s'installe sur les bords est du Lac Rétropolis en fondant [[Ny Falun]] et en expulsant les populations chilwaukans et anglaises déjà présentes dans la région. Contrairement aux deux autres puissances, les Chilwaukans n'apprécient pas les Suèdois et vont rentrer en guerre contre eux à partie de 1813, c'est le début de la Guerre de Nouvelle Suède. Opportunistes, les Anglophones laytonnais vont se joindre à eux pour expulser les Suèdois de la région. ça sera chose faite dès 1817 qui marque la fin de cette guerre. | ||
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+ | La Guerre de Nouvelle Suède met en évidence l'alliance des Chilwaukans avec les Laytonnais mais afin de ne pas provoquer la colère des colons génésiens, ils décident de signer un traité de coopération avec la colonie du Whyalla. | ||
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+ | ===Les Chilwaukans dans les colonies européennes=== | ||
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+ | Que ce soit la colonie du génésienne du Whyalla et la colonie laytonnaise de l'Uluru, les Chilwaukans ont toujours gardé de bonnes relations avec les Européeens estimant que le commerce était un prétexte pour maintenir la Paix dans la région. Beaucoup d'entre eux ont abandonné leur culture et leur tradition en se convertissant au chritianisme ( soit le catholicisme soit l'anglicanisme). Très vite des réserves Chilwaukans voient le jour pour ceux qui souhaitent conserver leur culture ancestrale. | ||
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+ | Le commerce de la fourrure puis de l'or reste le principal atout des Chilwaukans qui restent persuadé qu'un jour ou l'autre sles Européeens finiront par s'en aller tout en laissant leur technologie. ça ne sera jamais chose faite et la population Chilwaukan sera de plus en plus métissée. En 1810 à l'aube de la Guerre de la Nouvelle Suède, il n'y a pratiquement plus de Chilwaukans "pur souche". | ||
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+ | La Suède sera l'ennemi numéro 1 dans la région pour les Chilwaukans car elle va pratiquer les expulsions et l'esclavage sur les populations. Chassés ou bien humiliés, les Chilwaukans ne vont pas bien s'assimiler à la société néo-suèdoise. | ||
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+ | Malgrè le pacifisme volontariste qui règnait dans la région, les populations Chilwaukans ne seront pas très intégrés dans les sociétés coloniales: la population va chuter à cause des maladies ou de l'alcoolisme. | ||
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+ | ===Les Chilwaukans au 20ème siècle: le siècle des revendications=== | ||
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+ | [[Fichier:Manif.JPG|thumb|right|400px|''Manifestation chilwaukan''.]] | ||
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+ | Tout au long du 19ème siècle, les populations Chilwaukans seront parqués dans des quartiers spécifiques ou des réserves dans les zones rurales. l'anglais comme le français deviennent les langues dominantes. La langue simallemande de la Régence de Phénix fait aussi beaucoup d'émule dans le nord ouest de la colonie francophone du Whyalla. Par contestation , les Chilwaukans adopteront cette langue qui se développera. | ||
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+ | Au 20ème siècle, il faut attendre la Seconde Guerre Mondiale pour voir des Chilwaukans entrainer dans les différentes divisions pour combattre la Méridionie et le Japon en Génésie et dans le sud du Queens. | ||
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+ | Après la guerre, l'Ulruru et le Whyalla décident de fusionner pour former la confédération Hudsonoise ( une partie d ela Houde sera donné à cette confédération). Les Chilwaukans espèrent alors devenir des citoyens dans cette nouvelle entité mais il n'en sera rien. | ||
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+ | Dans les années 60 et 70, les populations Chilwaukans contestent, manifestent parfois de manières vioilentes pour devenir des citoyens à part entière dans la société hudonoises. En 1978, la confédération hudsonoise accepte d'en faire des citoyens hudonois avec les mêmes droits que les blancs. | ||
===Les Chilwaukans aujourd'hui=== | ===Les Chilwaukans aujourd'hui=== | ||
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+ | [[Fichier:Indienaujourdhui.jpg|thumb|right|400px|''Chilwaukans aujourd'hui.'']] | ||
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+ | Depuis les années 80 jusqu'à aujourd'hui, les Chilwaukans ont appris à s'intégrer comme des citoyens normaux. Leur culture ancestrale refait surface dans les années 80 et 90, des musées, des recherches scientifiques sont lancés pour retrouver des traces de civilisations ancestrales. D enombreuses découvertes vont avoir lieu et de nombreux travaux vont se spécialiser dans l'archéologie Chilwaukan. | ||
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+ | Une association va voir le jour en 1998: l'Association des Chilwaukans de l'Hudson. | ||
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+ | Ces années semblent beaucoup plus apaisées que les précédentes. | ||
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+ | En 2003 lorsque la confédération hudsonoise accepte d'intégrer la Fédération de Simland, les Chilwaukans votent majoritairement en faveur de la fédération et place tout leur espoir dans l'état fédéré d'Uluru. | ||
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+ | En 2007, ils s'opposent à la division de l'Etat et militent pour la fusion Uluru-Whyalla. Depuis la fusion de 2010 suite au traité de Lyonnance, les Chilwaukans ne revendiquent plus grand chose et sont totalement assimilés au reste de la population après 3 siècles de tentatives. | ||
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+ | =Culture, patrimoine= | ||
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+ | ==Culture== | ||
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+ | ===l'artisanat=== | ||
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+ | L'artisanat est une culture à part entière chez les Chilwaukans, non seulement c'est un moyen d'échange important ( jusqu'à l'arrivée des Européeens , les Chilwaukans utilisaient le système du troc et ne connaissaient pas l'argent et le système monétaire) mais c'est aussi un moyen pour chaque tribu de montrer sa puissance et ses capacité à commercer. Les tribus qui n'ont pas eu d'artisanats développé ont peu à peu disparu au fil des siècles. | ||
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+ | La tapisserie, la conception de vêtements, la poterie, la création des armes de guerres ou l'artisanat du bois sont autant de domaines dans lesquels les Chilwaukans étaient compétent, encore aujourd'hui d'ailleurs. Les meilleurs entreprises d'artisanat sont détenu par des Chilwaukans ou des gens d'origine chilwaukan. | ||
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+ | Dans la Réserve Naturelle des Hillands, il existe une forêt où de nombreuses sculptures en bois sont réalisés faisant le bonheur des touristes et des historiens qui cherchent à en savoir plus sur le rôle de l'artisanat dans la société chilwaukan. | ||
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+ | ===l'influence amérindienne=== | ||
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+ | Les Chilwaukans peuvent déjà être considérés comme des amérindiens tant leur culture reflète de nombreuses autres en Amérique du Nord. les rites religieux, les rites guerriers ou encore les techniques de chasse et de pêche sont des domaines hérités et communs à l'ensemble des populations amérindiennes qui ont hérité elle même de ces apprentissages issues de la culture chilwaukan. | ||
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+ | L'influence inuit au nord du territoire est forte et les amérindiens de l'Alaska et du Canada sont très proches culturellement des Chilwaukans. Une rumeur court sur le fait que les Iroquois et la majorité des populations amérindiennes des Grands Lacs américains seraient en faite des Chilwaukans qui ont migré lors de la période glaciaire mais aucune preuve n'a conclu cette thèse. | ||
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+ | l'influence chilwaukan sur les peuples amérindiens est sujet à polémique dans de nombreuses tribus amérindiennes du Canada et également au sein de l'extrême droite hudosnoise qui considère les Européens comme leur véritable ancêtre. | ||
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+ | ==Patrimoine== | ||
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+ | ===La langue Chilwaukan=== | ||
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+ | La langue chilwaukan est sans doute le patrimoine le plus "visible" et le plus important. Traditionnellement orale, la langue se transmettait par l'intermédiaire du chef de la tribu ou du shaman. De grands discours avaient lieu au centre du village où la langue était apprise à l'ensemble de la communauté. | ||
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+ | Dans les familles les grands discours étaient repris et transmis via le bouche à oreille. Cette tradition a perduré jusqu'à l'arrivée des Russes au 18ème siècle qui ont imposé l'écriture. Les Chilwaukans ont du s'adapter et utiliser des signes pour pouvoir se comprendre de manière écrite sans que les Russes puissent comprendre quoique ce soit. | ||
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+ | Toutefois, il faudra attendre les années 1970 pour que la langue Chilwaukan soit reconnue comme telle et en tant que langue vivante. Cette avancée intervient au même moment où l'Hudson considère les Chilwaukans comme des citoyens à part entière en leur accordant le droit de vote. | ||
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+ | En 2017, la langue Chilwaukan peut être parlée partout dans l'Etat et est enseignée dans les écoles, elle est même reconnue comme une langue officielle à la même place que les langues occidentales. | ||
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+ | La langue chilwaukan a permis un certain patois dans les campagnes mélangeant langue européenne et langue chilwaukan. Ce patois est farouchement gardé et conservé par les habitants de certains cantons (ceux du centre notamment). La langue chilwaukan en tant que telle tend à disparaître au profit de ce patois mais reste vivace dans les réserves simérindiennes. | ||
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+ | Du 16ème au 18ème siècle, la langue chilwaukan était parlé dans l'ensemble du territoire hudsonois actuel. | ||
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+ | ===les réserves villages simérindiennes=== | ||
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+ | [[Fichier:GASPÉSIE 2012 374.JPG|right|thumb|300px|''Village traditionnel dans la réserve de Green Hills.'']] | ||
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+ | Les réserves simérindiennes actuelles sont des vestiges laissés par les Chilwaukans, on retrouve dans l'ensemble du territoire près des zones de protection naturelle de manière générale. On y apprend la culture chilwaukan, la langue et sont sources de revenus touristiques importants. Autrefois , elle était délimité par des grillages, aujourd'hui ces grillages ont été complètement aboli ( depuis les années 1970). | ||
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+ | Certaines réserves qui ne sont pas reconnues par l'Etat reconstitue un village mais par pur intérêt financier et touristique ce qui les rend pauvre en culture et en richesse humaine. | ||
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+ | Aujourd'hui, il est très rare de voir un village Chilwaukan tel qu'il était à l'époque car les populations se sont fortemetn sédentarisés. Toutefois il existe une minorité qui respecte les présages nomades, ils sont considérés comme des voyageurs mais ils restent très anecdotiques. | ||
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+ | ===Autres patrimoine=== | ||
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+ | Le patrimoine Chilwaukan se démarquent par son artisanat et notamment les sculptures en bois très présentes dans les forêts ou près des lacs. Ce sont des totems pour la plupart représentant les ancêtres ou les esprits des lieux mais il existe d'autres formes de sculpture qui avaient un interêt plutôt guerrier et territorial. | ||
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+ | l'artisanat autour du textile a été conservé pour les besoins de la mode et en devoir de mémoire pour les Chilwaukans. Quelques fabriques de vêtements sont encore tenus par des Chilwaukans dans certaines campagnes du centre de l'Etat. Ce patrimoine artisanale voir industrielle est une des preuves que les Chilwaukans se sont adaptés à la présence des Européeens en adoptant leur façon de produire. | ||
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+ | [[Fichier:Carte hudson-Rétanie chilwaukan.jpg|thumb|right|400px|]] | ||
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+ | =Revendications principales= | ||
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+ | Les revendications principales tournent autour de la protection de l'environnement et sur la conservation de la culture chilwaukan. Il existe de grands mouvements sociaux chilwaukans qui se sont crées à partir des années 50. Si de nombreux efforts ont été accompli en 45 ans, les Chilwaukans se sentent encore persécutés et à l'écart du reste de la population. Il sont souvent ghetoïsé dans les grandes villes ce qui les amène à rester dans les campagnes. | ||
+ | la protection de leur terre et la valeur sacrée de leur ancêtre est une revendication très forte souvent peu respectée par le reste de la population. De grandes manifestations sont intervenues dans les années 2010 contre des projets d'oléoducs ou de gazoducs, les manifestants prétextant une "violation des terres sacrées des ancêtres". | ||
+ | Malgrè les lois, les Chilwaukans sont peu considérés chez les Hudsonois et sont vus comme des marginaux. Dans les villes, de nombreux quartiers se sont soulevés pour protester contre les conditions de vie et les percutions dont était victimes les Chilwaukans. | ||
+ | Enfin, le sida , l'alcoolisme et plus généralement la santé reste un gros problème chez les Chilwaukans qui revendiquent régulièrement le droit d'accéder aux services de santé et à une dignité humaine décente. Les services de santé étant payant en Hudson-Rétanie et étant peu accessibles aux personnes pauvres et marginalisées. | ||
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{{Modèle:Simérindiens}} | {{Modèle:Simérindiens}} | ||
[[Catégorie:Nation indigène]] | [[Catégorie:Nation indigène]] | ||
+ | [[Catégorie: Hudson-Rétanie]] |
Version actuelle en date du 8 juillet 2017 à 12:03
Chilwaukans | |
[[Image:|280px]] | |
Drapeau de la nation Chilwaukan | |
Population totale | 400.000 |
Période | de - 800 avant J.C à aujourd'hui |
Ethnie | Simérindien |
Langue(s) | le Chilwaukan |
Religion/coutumes | Animisme et chamanisme chilwaukan |
Villes principales | Chilwaukee |
Région d'origine | Sous-continent simlandais |
Région actuelle | Hudson-Rétanie |
Peuples voisins | Inupiaks,Kaspiens,Alamans, Mossos et Coalition des Chapiyamahas |
zone des Chilwaukans(autrement appelés Chilwaukee) |
Le peuple simérindiens des Chilwaukans (aussi appelés Chilwaukees) est un peuple indigène appartenant à aux Premières Nations Simlandaises. Ils se sont sédentarisés il y a presque 3.000 ans pour former la principale ethnie de l'actuel Hudson-Rétanie. Peuple pacifique et n'ayant pratiquement pas connu la guerre, leur idéologie était basée sur le commerce avec les peuples voisins mais aussi avec les Européens pendant les explorations ou les colonisations. C'est un peuple encore existant car la région fut colonisées tardivement(au 18ème siècle). On estime leur nombre à 400.000 du Lac Rétropolis jusqu'au Monts Uluru.
Sommaire
- 1 Histoire
- 1.1 Les premiers Chilwaukans (de -1.000 à -800 av J.C)
- 1.2 Le peuple Chilwaukan à son apogée(-800 à 1744)
- 1.3 Premières explorations et colonisation russe
- 1.4 Les explorations génésiennes, laytonnaises, hollandaises et suèdoises ( 1754 à 1817)
- 1.5 Les Chilwaukans dans les colonies européennes
- 1.6 Les Chilwaukans au 20ème siècle: le siècle des revendications
- 1.7 Les Chilwaukans aujourd'hui
- 2 Culture, patrimoine
- 3 Revendications principales
Histoire
Les premiers Chilwaukans (de -1.000 à -800 av J.C)
Les scientifiques sont désormais unanimes sur le peuple Chilwaukan, il s'agit d'un groupe de Mossos et de Kaspiens qui se sont complètement mis à l'écart du reste pour former une peuplade à part plus à l'Est dans les alentours de -800 av J.C.
Entre -1000 et -800 av J.C, cette peuplade a tenté de se sédentariser dans la région tout d'abord vers les piémonts des Monts Uluru puis vers les bords du Lac Rétropolis par la suite. Les premiers villages était très petits et tournaient autour d'une importante zone de chasse, d'une zone forestière et un point d'eau. Ces élements indispensables pour la vie ont crée 2 foyers "proto-chilwaukan", l'un à l'ouest et l'autre à l'est.
A cette époque les conditions de vie sont optimales pour permettre le développement de ces foyers qui prospèrent et se développent pour former une seule entité vers -800 av J.C. A cette époque, on retrouve des traces de civilisation dans les dessins muraux de certaines grottes ou encore par le développement des armes et de la poterie. Les Chilwaukans deviennent d'excellents montagnards et pêcheurs.
en -800 le peuple s'étale de la Vallée de l'Hudson au nord jusqu' à la plaine de la Houde au sud-ouest.
Le peuple Chilwaukan à son apogée(-800 à 1744)
Le peuple Chilwaukan va connaitre des siècles d'apogée grâce au commerce avec les tribus voisines des Inupiaks et , des Alamans et des Kaspiens. Il y aura très peu de guerres externes et internes entre ces peuples qui se ressemblent énormément. Le commerce de fourrure, de poterie et d'instruments de chasse va prendre tout son sens dans les alentours de l'an 1000.
Le Lac Rétropolis sera l'occasion pour les Chilwaukans de parfaire leur technique de pêche en construisant des embarcations pour pouvoir naviguer. Les villages deviendront importants ( le plus gros village aura 200 habitations).
Les Chilwaukans commerçaient grâce au système du troc et créait des sortes d'alliances commerciales grâces aux différentes alliances selon les villages.
La culture et la tradition chilwaukan vont se renforcer durant cette époque.
C'est également durant cette période là que les Chilwaukans vont dominer les autres peuplades de la région qui vont s'assimiler à la culture Chilwaukans notamment à partir du 15ème siècle. Au 17ème siècle les Inupiaks et les Alamans n'ont pratiquemenr plus de culture et se sont tellement assimilés aux Chilwaukans qu'ils se considérent comme telle. Seuls les Kaspiens ont encore une culture qui résistent aux Chilwaukans bien qu'ils aient d'autres chats à fouetter comme les Hollandais ou les Russes qui arrivent dans la région.
Au 18ème siècle, l'exploration de Vitus Béring est la première exploration européenne à découvrir les Chilwaukans à partir de 1738.
Premières explorations et colonisation russe
A partir du 18ème siècle les Européens découvrent la région à travers les Russes dans leur expansions vers l'Alaska. Vitus Béring est le premier explorateur européen a avoir découvert la terre Chilwaukan. Très vite de la méfiance apparaît et quelques tensions également mais les tribus Chilwaukans globalement pacifiques décident de commercer avec les Russes notamment pour le commerce de la fourrure.
Les russes tentent de coloniser l'endroit jusq'après la mort de Bérin en 1741 en fondant un village du nom de Rétropoliskaïa. La colonie ne durera pas plus que 5 ans car les Russes étaient bien trop nombreux pour coloniser durablement les terres.
Dans les années 1750 il y aura plusieurs tentatives russes de coloniser la région jusqu'à leur retrait de l'Alaska en 1754 et leur perte d'influence dans le nord de Simland. Ces mouvements récurrents de population entraîneront l'apparition de maladies totalement inconnue des Chilwaukans qui vont commencer à décliner: la peste et la tuberculose feront des ravages parmis leur population.
A partir de 1750, c'est le déclin des Chilwaukans et le début d'autres explorations.
Les explorations génésiennes, laytonnaises, hollandaises et suèdoises ( 1754 à 1817)
De 1754 à 1790, il n'existera aucune tentatives de colonisations de la part des Européens en territoire Chilwaukans. Toutefois en 1790, les Anglais de la colonie de Layton ( au centre) tentent des explorations par le sud ouest ainsi que les Hollandais de la Houde par l'ouest. Ces derniers arriveront à conquérir des territoires Chilwaukans par avantage technologique et par dissémination des populations chilwaukans dans les plaines de l'ouest.
Les anglophones du Queens tenteront également des explorations en traversant l'Hudson et jusqu'au Lac Rétropolis, très vite, les Anglais comprennent qu'il faut s'installer rapidement sur ses terres autrefois russes. A partir de 1790, les Anglais commencent à coloniser les rives du Lac Rétropolis et le sud ouest de la région avec les villes de Toadstone et Colomb City.. Rétropolis , ancien village russe, est également fondé dans ses années là. La colonie Laytonnaise de l'Uluru est née.
D'autres explorations auront lieu mais cette fois ci plus au nord et au centre de l'Etat: les Génésiens francophones issus du centre du sous continent simlandais ( Actuel Maxisland) font également des expéditions et rencontrent les Chilwaukans. De la même manière qu'avec les Russes, le commerce sera intense entre les Génésiens et les Chilwaukans.Ces derniers vont commencer à se convertir au catholicisme et à s'assimiler à la socièté génésienne. En 1801, la colonie génésienne du Whyalla est créée en créant plusieurs villages dans les Monts Uluru et en fondant Balronde.
Les Chilwaukans sont donc complètement intégrés aux deux colonies.
Un autre pays tentera des expéditions dans la région pour y fonder une colonie: la Suède qui s'installe sur les bords est du Lac Rétropolis en fondant Ny Falun et en expulsant les populations chilwaukans et anglaises déjà présentes dans la région. Contrairement aux deux autres puissances, les Chilwaukans n'apprécient pas les Suèdois et vont rentrer en guerre contre eux à partie de 1813, c'est le début de la Guerre de Nouvelle Suède. Opportunistes, les Anglophones laytonnais vont se joindre à eux pour expulser les Suèdois de la région. ça sera chose faite dès 1817 qui marque la fin de cette guerre.
La Guerre de Nouvelle Suède met en évidence l'alliance des Chilwaukans avec les Laytonnais mais afin de ne pas provoquer la colère des colons génésiens, ils décident de signer un traité de coopération avec la colonie du Whyalla.
Les Chilwaukans dans les colonies européennes
Que ce soit la colonie du génésienne du Whyalla et la colonie laytonnaise de l'Uluru, les Chilwaukans ont toujours gardé de bonnes relations avec les Européeens estimant que le commerce était un prétexte pour maintenir la Paix dans la région. Beaucoup d'entre eux ont abandonné leur culture et leur tradition en se convertissant au chritianisme ( soit le catholicisme soit l'anglicanisme). Très vite des réserves Chilwaukans voient le jour pour ceux qui souhaitent conserver leur culture ancestrale.
Le commerce de la fourrure puis de l'or reste le principal atout des Chilwaukans qui restent persuadé qu'un jour ou l'autre sles Européeens finiront par s'en aller tout en laissant leur technologie. ça ne sera jamais chose faite et la population Chilwaukan sera de plus en plus métissée. En 1810 à l'aube de la Guerre de la Nouvelle Suède, il n'y a pratiquement plus de Chilwaukans "pur souche".
La Suède sera l'ennemi numéro 1 dans la région pour les Chilwaukans car elle va pratiquer les expulsions et l'esclavage sur les populations. Chassés ou bien humiliés, les Chilwaukans ne vont pas bien s'assimiler à la société néo-suèdoise.
Malgrè le pacifisme volontariste qui règnait dans la région, les populations Chilwaukans ne seront pas très intégrés dans les sociétés coloniales: la population va chuter à cause des maladies ou de l'alcoolisme.
Les Chilwaukans au 20ème siècle: le siècle des revendications
Tout au long du 19ème siècle, les populations Chilwaukans seront parqués dans des quartiers spécifiques ou des réserves dans les zones rurales. l'anglais comme le français deviennent les langues dominantes. La langue simallemande de la Régence de Phénix fait aussi beaucoup d'émule dans le nord ouest de la colonie francophone du Whyalla. Par contestation , les Chilwaukans adopteront cette langue qui se développera.
Au 20ème siècle, il faut attendre la Seconde Guerre Mondiale pour voir des Chilwaukans entrainer dans les différentes divisions pour combattre la Méridionie et le Japon en Génésie et dans le sud du Queens.
Après la guerre, l'Ulruru et le Whyalla décident de fusionner pour former la confédération Hudsonoise ( une partie d ela Houde sera donné à cette confédération). Les Chilwaukans espèrent alors devenir des citoyens dans cette nouvelle entité mais il n'en sera rien.
Dans les années 60 et 70, les populations Chilwaukans contestent, manifestent parfois de manières vioilentes pour devenir des citoyens à part entière dans la société hudonoises. En 1978, la confédération hudsonoise accepte d'en faire des citoyens hudonois avec les mêmes droits que les blancs.
Les Chilwaukans aujourd'hui
Depuis les années 80 jusqu'à aujourd'hui, les Chilwaukans ont appris à s'intégrer comme des citoyens normaux. Leur culture ancestrale refait surface dans les années 80 et 90, des musées, des recherches scientifiques sont lancés pour retrouver des traces de civilisations ancestrales. D enombreuses découvertes vont avoir lieu et de nombreux travaux vont se spécialiser dans l'archéologie Chilwaukan.
Une association va voir le jour en 1998: l'Association des Chilwaukans de l'Hudson.
Ces années semblent beaucoup plus apaisées que les précédentes.
En 2003 lorsque la confédération hudsonoise accepte d'intégrer la Fédération de Simland, les Chilwaukans votent majoritairement en faveur de la fédération et place tout leur espoir dans l'état fédéré d'Uluru.
En 2007, ils s'opposent à la division de l'Etat et militent pour la fusion Uluru-Whyalla. Depuis la fusion de 2010 suite au traité de Lyonnance, les Chilwaukans ne revendiquent plus grand chose et sont totalement assimilés au reste de la population après 3 siècles de tentatives.
Culture, patrimoine
Culture
l'artisanat
L'artisanat est une culture à part entière chez les Chilwaukans, non seulement c'est un moyen d'échange important ( jusqu'à l'arrivée des Européeens , les Chilwaukans utilisaient le système du troc et ne connaissaient pas l'argent et le système monétaire) mais c'est aussi un moyen pour chaque tribu de montrer sa puissance et ses capacité à commercer. Les tribus qui n'ont pas eu d'artisanats développé ont peu à peu disparu au fil des siècles.
La tapisserie, la conception de vêtements, la poterie, la création des armes de guerres ou l'artisanat du bois sont autant de domaines dans lesquels les Chilwaukans étaient compétent, encore aujourd'hui d'ailleurs. Les meilleurs entreprises d'artisanat sont détenu par des Chilwaukans ou des gens d'origine chilwaukan.
Dans la Réserve Naturelle des Hillands, il existe une forêt où de nombreuses sculptures en bois sont réalisés faisant le bonheur des touristes et des historiens qui cherchent à en savoir plus sur le rôle de l'artisanat dans la société chilwaukan.
l'influence amérindienne
Les Chilwaukans peuvent déjà être considérés comme des amérindiens tant leur culture reflète de nombreuses autres en Amérique du Nord. les rites religieux, les rites guerriers ou encore les techniques de chasse et de pêche sont des domaines hérités et communs à l'ensemble des populations amérindiennes qui ont hérité elle même de ces apprentissages issues de la culture chilwaukan.
L'influence inuit au nord du territoire est forte et les amérindiens de l'Alaska et du Canada sont très proches culturellement des Chilwaukans. Une rumeur court sur le fait que les Iroquois et la majorité des populations amérindiennes des Grands Lacs américains seraient en faite des Chilwaukans qui ont migré lors de la période glaciaire mais aucune preuve n'a conclu cette thèse.
l'influence chilwaukan sur les peuples amérindiens est sujet à polémique dans de nombreuses tribus amérindiennes du Canada et également au sein de l'extrême droite hudosnoise qui considère les Européens comme leur véritable ancêtre.
Patrimoine
La langue Chilwaukan
La langue chilwaukan est sans doute le patrimoine le plus "visible" et le plus important. Traditionnellement orale, la langue se transmettait par l'intermédiaire du chef de la tribu ou du shaman. De grands discours avaient lieu au centre du village où la langue était apprise à l'ensemble de la communauté.
Dans les familles les grands discours étaient repris et transmis via le bouche à oreille. Cette tradition a perduré jusqu'à l'arrivée des Russes au 18ème siècle qui ont imposé l'écriture. Les Chilwaukans ont du s'adapter et utiliser des signes pour pouvoir se comprendre de manière écrite sans que les Russes puissent comprendre quoique ce soit.
Toutefois, il faudra attendre les années 1970 pour que la langue Chilwaukan soit reconnue comme telle et en tant que langue vivante. Cette avancée intervient au même moment où l'Hudson considère les Chilwaukans comme des citoyens à part entière en leur accordant le droit de vote.
En 2017, la langue Chilwaukan peut être parlée partout dans l'Etat et est enseignée dans les écoles, elle est même reconnue comme une langue officielle à la même place que les langues occidentales.
La langue chilwaukan a permis un certain patois dans les campagnes mélangeant langue européenne et langue chilwaukan. Ce patois est farouchement gardé et conservé par les habitants de certains cantons (ceux du centre notamment). La langue chilwaukan en tant que telle tend à disparaître au profit de ce patois mais reste vivace dans les réserves simérindiennes.
Du 16ème au 18ème siècle, la langue chilwaukan était parlé dans l'ensemble du territoire hudsonois actuel.
les réserves villages simérindiennes
Les réserves simérindiennes actuelles sont des vestiges laissés par les Chilwaukans, on retrouve dans l'ensemble du territoire près des zones de protection naturelle de manière générale. On y apprend la culture chilwaukan, la langue et sont sources de revenus touristiques importants. Autrefois , elle était délimité par des grillages, aujourd'hui ces grillages ont été complètement aboli ( depuis les années 1970).
Certaines réserves qui ne sont pas reconnues par l'Etat reconstitue un village mais par pur intérêt financier et touristique ce qui les rend pauvre en culture et en richesse humaine.
Aujourd'hui, il est très rare de voir un village Chilwaukan tel qu'il était à l'époque car les populations se sont fortemetn sédentarisés. Toutefois il existe une minorité qui respecte les présages nomades, ils sont considérés comme des voyageurs mais ils restent très anecdotiques.
Autres patrimoine
Le patrimoine Chilwaukan se démarquent par son artisanat et notamment les sculptures en bois très présentes dans les forêts ou près des lacs. Ce sont des totems pour la plupart représentant les ancêtres ou les esprits des lieux mais il existe d'autres formes de sculpture qui avaient un interêt plutôt guerrier et territorial.
l'artisanat autour du textile a été conservé pour les besoins de la mode et en devoir de mémoire pour les Chilwaukans. Quelques fabriques de vêtements sont encore tenus par des Chilwaukans dans certaines campagnes du centre de l'Etat. Ce patrimoine artisanale voir industrielle est une des preuves que les Chilwaukans se sont adaptés à la présence des Européeens en adoptant leur façon de produire.
Revendications principales
Les revendications principales tournent autour de la protection de l'environnement et sur la conservation de la culture chilwaukan. Il existe de grands mouvements sociaux chilwaukans qui se sont crées à partir des années 50. Si de nombreux efforts ont été accompli en 45 ans, les Chilwaukans se sentent encore persécutés et à l'écart du reste de la population. Il sont souvent ghetoïsé dans les grandes villes ce qui les amène à rester dans les campagnes.
la protection de leur terre et la valeur sacrée de leur ancêtre est une revendication très forte souvent peu respectée par le reste de la population. De grandes manifestations sont intervenues dans les années 2010 contre des projets d'oléoducs ou de gazoducs, les manifestants prétextant une "violation des terres sacrées des ancêtres".
Malgrè les lois, les Chilwaukans sont peu considérés chez les Hudsonois et sont vus comme des marginaux. Dans les villes, de nombreux quartiers se sont soulevés pour protester contre les conditions de vie et les percutions dont était victimes les Chilwaukans.
Enfin, le sida , l'alcoolisme et plus généralement la santé reste un gros problème chez les Chilwaukans qui revendiquent régulièrement le droit d'accéder aux services de santé et à une dignité humaine décente. Les services de santé étant payant en Hudson-Rétanie et étant peu accessibles aux personnes pauvres et marginalisées.
Nations indigènes de Simland. | |
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Peuples du Nord Alamans | Empire Mayen | Mossos,Kaspiens, Inuits, Régence de Phénix, Qalis,Soweks, Woldas, Talwiks,Chilwaukans, Tgaliyaks, Kalioukte,Inupiaks | |
Peuples du Centre Vorflingars |Hanovlingars | Katsankatpejaw | Chapmahas | Coalition des Kivaparlas | Kitawarlos | Chapuwas | Coalition des Chapiyamahas | Thorglings|Cayucos | Yatupek | Lenapes | |
Peuples du Sud Qcristoquain | Honéguas | Tabeuneck | Astydcaves | Simtèques | Marulows | Aïnous | Wa | |