Réserve Naturelle des Hillands : Différence entre versions
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Fichier: Fougere-aigle 004 (plantes).jpg |''Fougère aigle.'' | Fichier: Fougere-aigle 004 (plantes).jpg |''Fougère aigle.'' | ||
Fichier: Ludwigia grandiflora MF (3).jpg |''Jussié.'' | Fichier: Ludwigia grandiflora MF (3).jpg |''Jussié.'' |
Version actuelle en date du 22 juin 2017 à 22:06
Réserve Naturelle des Hillands | |
| |
État | Hudson-Rétanie |
Ville | Green Hills |
Principaux attraits | |
---|---|
Énergétique | Champ éolien 12 unités |
Culturel | Musée des Hillands |
Successeur | En fonction |
Sommaire
Présentation
La Réserve Naturelle des Hillands est une zone de protection envrionnementale créée en 2010 par l'état d'Hudson-Rétanie sous l'impulsion de Ben Quo et de la ville de Green Hills situées juste à côté. C'est la seule réserve naturelle de l'Hudson-Rétanie à ce jour elle se situe dans le canton des Hillands. En 2017, le mode de fonctionnement de la réserve naturelle évolue: désormais ce sont les indiens Chilwaukans qui gérent en totalité la réserve naturelle, pour cela une réserve chilwaukan a été crée pour l'occasion.
Histoire
Alors la ville de Green Hills souhaite impulser une nouvelle dynamique dans la région pour compenser les pertes des emplois agricoles, celle-ci décide de créer une réserve naturelle gérée entièrement par l'agglomération. En 2010, face au succès , la ville décide de faire appel au tout nouvel Etat d'Hudson qui accepte de co-gérer la réserve naturelle avec la ville. En 2012 avec la réforme des cantons, c'est le canton des Hillands qui prend la responsabilité de la réserve naturelle au détriment de la ville. La réserve naturelle est donc une zone de protection environnementale sur lesquelles les activités humaines sont possibles mais sous une forte réglementation.
En 2017, suite à une demande des population chilwaukan, la réserve naturelle est gérée par l'association chilwaukan de la réserve de Green Hills.
L'idée de créer un parc naturel régional sous coupelle de l'Hudson-Rétanie fait son chemin mais ce n'est pas encore à l'ordre du jour. Entre 2009 et 2012, de nombreuses activités ont eu lieu autour de la réserve naturelle: la création d'un parc éolien et la construction du Musée des Hillanders qui fait office de "maison de la réserve" désormais.
En 2017, la gestion change et une réserve simérindienne est installée dans la partie sud permettant des ressources financières liée au tourisme culturel.
Plan de la Réserve
Description de la réserve
Réserve naturelle: Zone A
La Réserve Naturelle en tant que telle se situe dans la zone nord appelée "Zone A". Aucune activité humaine n'est possible ici excepté lorsqu'elle concerne la protection de la biodiversité. La chasse, la pêche sont donc réglementée et sont gérées par les population de la réserve indienne juste à côté. La lutte contre le braconnage, la surpêche ou encore la chasse illégale restent les priorités numéro 1 de la réserve naturelle sans oublier les traditionnelles activités concernant le repeuplement de certaines espèces, ou le maitien de celle-ci. A noter que la lutte contre les espaces exotique envahissantes prend de plus en plsu d'ampleur notamment en ce qui concerne les espacés aquatique et les animaux vivant près du lac de Green Hills.
Réserve Chilwaukan de Gren Hills:Zone B
La réserve Simérindienne Chilwaukans de Green Hills dite "zone B" se situe au sud de la réserve naturelle. Elle représente presque la moitié de la surface totale et se concentre autour d'un village traditionnelle chilwaukan et d'un immense ranch. La tribu Popotawk est chargée de surveiller, gérer et sensibiliser les touristes au lieu (éducation à l'environnement, sensibilisation à la tradition et à la culture ancestrale de la tribu). C'est une ressource financière et touristique non négligeable pour la région et pour la population simérindienne qui vit ici.
La gestion de la réserve naturelle leur est entièrement dédiée. Si la zone B peut autoriser les constructions, les aménagements humains en suivant des règles strictes , ce n'est pas le cas de la zone A. En tant qu'aménagement majeur, on peut noter la création d'un parc éolien qui permet à la tribu Popotawk d'être auto-suffisante en matière énergétique.
La création de cette réserve est née toutefois d'une revendication locale Chilwaukan à la suite de plusieurs jours de manifestations en 2012-2013.Leur revendication seront entendue qu'en 2017.
Le parc éolien
Le parc éolien Popotawk est un parc éolien de 12 éoliennes permettant l'autonomie énergétique de la tribu chilwaukan vivant dans les lieux. Ce parc est né d'une revendication majeure de la population simérindienne qui ne souhaitait plus dépendre de la "politique énergétique des blancs".
C'est désormais chose faite et le parc éolien est aussi l'occasion pour les Chilwaukan de montrer toute leur modernité face au monde d'aujourd'hui et face à leur image de "peuple arriéré" qui reste encore tenace dans la région.
Le musée des Hillanders
Le Musée des Hillanders est à la fois un musée retraçant l'histoire de la région mais aussi un "éco-musée" faisant office de "maison de la réserve". Il se situe à l'entrée de la réserve chilwaukan de Green Hills et possède undes registres naturels les plus complets de Simland retraçant le nombre d'especes floristiques et faunistiques présents dans la région, faisant de nombreuses statistiques sur le délin ou l'augmentation de certaines espéces etc.
C'est le lieu le plus touristique de la région voir même du nord de l'Hudson-Rétanie.
Programmes
Culture et patrimoine
La culture et le patrimoine Chilwaukan font l'objet de programme permettant la composition d'un village simérindien traditionnel aussi bien dans les méthodes de construction que dans la façon de vivre. Il s'agit du programme "Manitou".
Autre point culturel à protéger tout l'artisanat autour des forêts et la sylviculture de manière générale. Ainsi l'art du bois est la principale activité grpace au programme " Wood Art".
La patrimoine rural comme les puits , les chapelles ou les lavoirs sont également jalousement préservés.
Protection de la Nature
Concernant la protection d ela nature, les programmes sont nombreux et divers: cela concerne aussi bien les paysages que les espéces rares faunistiques et floristiques. Il existe un programme contre les espèces exoltiques envahissantes ou contre la surpopulation de certaines espéces comme le sanglier permettant des quotas de chasse.
Le programme " Yak du Whyalla" est un programme de pure protection pour permettre à cette espece emblématique et endémique de survivre et de se multiplier.
Ces programme sont financés par des dons participatifs privés généralement des grosses fortunes du coin voulant investir dans la région.
Faune et flore
Faune
La faune est commune aux espéces tempérées, on retrouve donc des animaux très communs comme l'écureuil, le cerf, le chevreuil ou encore le renard roux. Mais il existe quelques espéces endémique set très rares comme le Yak du Whyalla qui est considéré comme la dernier bovidé sauvage de Simland. On retrouve aussi les derniers galinacées sauvages comme la poule et le coq sauvage qui sont extrêmement rares aujourd'hui.
L’espèce emblématique des eaux reste l'anguille commune souvent confondu avec des couleuvres que l'on retrouve parfois.
Flore
La flore est commune aux zones tempérées et la réserve naturelle ne dispose pas d'especes endémiques ou spécifiques à la zone. Pour autant, les forêts d'arbres à feuilles caduques (chêne principalement) et les arbres sempervirents (les pinèdes) sont monnaie courante sans oublier les espèces floristiques issu des étangs comme la jussié ou les roseaux.