Plantation de coton des Moais : Différence entre versions
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Version actuelle en date du 4 février 2015 à 06:45
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| Catégorie | Agricole | ||||
| Activités | Exploitation de coton | ||||
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| Localisation | Bahia Moais | ||||
| Adresse | A24 | ||||
| Transports |  Covoiturage
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| Autres infrastructures | |||||
Origines
L'industrialisation de la fabrication des tissus à partir de 1770 créé un boom de la consommation de coton
Cette forte consommation en Angleterre et dans l'Etat du Queens créé une forte spéculation sur cette matière première.
Les grands propriétaires terriens y voient une opportunité de s'enrichir en se diversifiant de l'élevage du bétail pratiqué dans les Haciendas.
Nombreux sont ceux qui se lance dans l'exploitation intensive du coton Sea Island dans les zones fertiles mais non inondables de Bahia Moais.
Cette variété (Gossypium barbadense) était encore considéré en 1845 par les industriels comme le « roi des cotons connus », tant « par sa longueur et sa finesse que par sa force, sa propreté et sa blancheur argentée, brillante » car il était très adapté aux machine de tissage.
Problématique esclavagiste
Ces riches propriétaires font appel aux esclaves pour avoir de la main d'oeuvre bon marché.
Le travail dans les plantations de sucre était réservé à une minorité de jeunes esclaves, qui mouraient vite.
Dans ces exploitations de sucre la gestion de la main d'œuvre ultra violente, la traite négrière permettant un rapide turn-over.
Dans les exploitations de coton les progrès technologiques des industriels entretiennent une demande structurelle de coton brut et une expansion régulière
La main d'oeuvre est souvent rachetée à bas prix aux propriétaires des exploitations de sucre.
Ces esclaves une fois formés sont plus rentable. Il faut donc en prendre soin pour améliorer la productivité de l'exploitation.
La Guerre du coton mis fin a l'esclavagisme dans le Papaya le 1er décembre 1967.
Aujourd'hui
Les exploitations sont mécanisées. La plaine de Bahia Moais est couverte de plusieurs milliers d'hectares de coton.
L'autoroute A24 et les éoliennes viennent casser la monotonie de ce pays de l'or blanc
Esclaves
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