Parti Social-Démocrate Génésien : Différence entre versions
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Le [[PSDG]] est le parti Social-Démocrate régional de [[Génésie]], fondé en 1967 par Johann Siegfried, futur président de [[Génésie]], alors indépendante. Longtemps premier parti de Simland, il commence à décliner en 2005, et devient, pour se sauver, en 2008, une antenne régionale du [[PSS]], ce qu'il est encore aujourd'hui. Son Président est [[Tomy Kentleprix]] depuis le 6 Juin 2012. Le parti est dans la majorité présidentielle Génésienne depuis le 31 Juillet 2013, date d'arrivée de [[Tomy Kentleprix]] au pouvoir en [[Génésie]]. | Le [[PSDG]] est le parti Social-Démocrate régional de [[Génésie]], fondé en 1967 par Johann Siegfried, futur président de [[Génésie]], alors indépendante. Longtemps premier parti de Simland, il commence à décliner en 2005, et devient, pour se sauver, en 2008, une antenne régionale du [[PSS]], ce qu'il est encore aujourd'hui. Son Président est [[Tomy Kentleprix]] depuis le 6 Juin 2012. Le parti est dans la majorité présidentielle Génésienne depuis le 31 Juillet 2013, date d'arrivée de [[Tomy Kentleprix]] au pouvoir en [[Génésie]]. | ||
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Version du 5 août 2013 à 04:51
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| Parti Social-Démocrate Génésien | |
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| Abréviation | PSDG |
| Tendance du parti | Centre-Gauche, Gauche. |
| Date de fondation | 13 Août 1967 |
| Derniers résultats | Mars 2013 : Parlement 91s./172 (52,91%, 1er parti) |
| Président | Anna Cahill |
| Siège | Oakdale (GE) |
Le PSDG est le parti Social-Démocrate régional de Génésie, fondé en 1967 par Johann Siegfried, futur président de Génésie, alors indépendante. Longtemps premier parti de Simland, il commence à décliner en 2005, et devient, pour se sauver, en 2008, une antenne régionale du PSS, ce qu'il est encore aujourd'hui. Son Président est Tomy Kentleprix depuis le 6 Juin 2012. Le parti est dans la majorité présidentielle Génésienne depuis le 31 Juillet 2013, date d'arrivée de Tomy Kentleprix au pouvoir en Génésie.
Le 8 Août 2013, il se scinde en deux, avec d'un côté le PSDG, de centre-gauche, et de l'autre le PTG, de gauche. Cette scission met en grande difficulté le PSDG, et plus largement le PSS, car la grande majorité des adhérents et des parlementaires rejoint le PTG, qui s'inscrit en tant qu'antenne locale du PTS. Cette scission aussi inattendue que destructrice, fait planer sur la Génésie un vent d'alternance politique vers la droite, qui n'avait pas vraiment soufflé depuis la fondation de l'État, en octobre 2011.
