Parc Naturel du Glacier de l'Hochsberg : Différence entre versions
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Version du 4 juillet 2016 à 22:22
| Parc Naturel National du Glacier de l'Hochsberg | |
 Localisation | |
| État/canton |  Whamphalie- Hochsberg
|
| Ville | aucune |
| Principaux attraits | |
|---|---|
| Énergétique | hydraulique, bois, montagne. |
| Culturel | Pas pour le moment. |
 Glacier du Mont Hochsberg | |
Sommaire
Présentation
Le Parc Naturel du Glacier de l'Hochsberg est un parc des Montagnes Rocheuses, dans le Massif Hochsberg, situé au nord de la Whamphalie. Il est particulièrement connu pour ses splendides montagnes recouvertes d'une épaisse calotte glaciaire. Le point culminant du massif et du parc est le Mont Hochsberg à 4898 mètres d'altitude. Parmi d'autres montagnes, on peut citer le Mont Frauhorn (4523 mètres) et le Mont Steilspitze (4442 mètres).
Histoire
La première tentative de création d'un parc naturel dans les environs date de 1978 où les dirigeants locaux émettent le désir de "protéger les milieux enneigés du réchauffement climatique". Un référendum a lieu et celui met en avant le "non". La majorité des gens estimant qu'il y avait beaucoup plus urgent que de protéger la Nature.
En 1987, un écoulement de glace fait 15 morts et 10 blessés dans la vallée. La fonte précoce et rapide des glaces est mise en cause dans cet accident mettant en avant une accélération du réchauffement climatique. Chose qui sera confirmée tout au long des années 90.
Dans les années 2000 avec l'intégration de la Whamphalie à Simland, les autorités locales retentent leur chance et obtiennent le statut de "Réserve Naturelle" en 2003. Il faudra attendra 2010 et la Présidence Jardas pour obtenir le statut officiel de "Parc Naturel National".
Le PNN du Glacier de l'Hochsberg est géré par la Fédération de Simland depuis ce jour. Son premier Directeur a été Eric Beller de 2010 à 2016. Son nouveau directeur est monsieur Richard Spitz depuis 2016 et une coopération entre l'Etat Fédéral et la Whamphalie est envisagé pour la suite.
Relief et hydrographie
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Article détaillé : Mont Steilspitze
- Article détaillé : Mont Frauhorn
- Article détaillé : Mont Hochsberg
- Article détaillé : Massif Hochsberg
- Article détaillé : Alm
- Article détaillé : Friedesbach
-
Relief et géologie
Formation des glaciers
Leur existence étant conditionnée par des données thermiques rigoureuses, les glaciers sont cantonnés dans les régions polaires ou localisés dans les massifs montagneux les plus élevés. La diagenèse, ou transformation de la neige en glace par expulsion de l'air qu'elle contient, n'est possible que si l'alimentation neigeuse excède l'ablation (par fusion ou sublimation). Cette condition n'est réalisée qu'au-dessus de la limite des neiges persistantes, qui s'élève des régions polaires (où elle se tient au voisinage de la mer) vers les régions chaudes (où elle culmine à 6 000 m sous les tropiques). Un glacier, masse de glace continentale en mouvement, se constitue par accumulation de neige en hiver. Celle-ci, ne parvenant pas à fondre d'une année sur l'autre, se transforme peu à peu en névé, puis en glace. Quand cette dernière atteint plusieurs dizaines de mètres d'épaisseur (par exemple, 40 m sur une pente de 7°), sa base devient plastique. Soumise à l'action conjuguée de la pesanteur et de la pression (d'autant plus forte que l'épaisseur de la glace accumulée en amont est importante), elle se met à fluer, descendant les pentes ou se répandant dans toutes les directions.
Glacier de montagne ou de vallée
Un glacier de montagne prend naissance sous la ligne de crête, dans un champ de névés(couche de neige et de glace) entouré d'abrupts rocheux appelés cirque glaciaire. C'est exactement le cas du glacier de l'Hochsberg qui regroupe l'ensemble du massif.
Au-delà de cette cuvette commence la langue glaciaire, qui se moule dans une vallée préexistante. Sa surface est rarement lisse. Des cassures béantes, les crevasses, résultent des tensions engendrées par l'inégale vitesse d'écoulement de la glace au milieu et sur les bords de la langue. D'une profondeur généralement inférieure à 35 m, les crevasses peuvent excéder 20 m de large et 100 m de long. Souvent dissimulées sous des ponts de neige en hiver, elles constituent un danger pour les alpinistes. Elles sont plus denses quand la vallée se resserre ou quand la pente s'accroît brusquement. Il en résulte un aspect chaotique, surtout lorsque leur entrecroisement isole des lames de glace, les séracs, qui souvent s'éboulent les uns sur les autres. Dès qu'elle franchit la limite des neiges permanentes, la langue glaciaire fond et s'amincit peu à peu, jusqu'à disparaître. Sa longueur dépend du bilan glaciaire (différence entre l'accumulation et l'ablation).
Les grands glaciers, issus de plusieurs cirques qui s'emboîtent les uns dans les autres, grossissent par la confluence de plusieurs langues. L'un des plus longs, le glacier Hubbard en Alaska, s'écoule sur 120 km, et beaucoup descendent bien au-dessous de la limite des neiges permanentes (de 1 500 à 1 300 m pour les glaciers du massif du Mont-Blanc). Lorsque la montagne est très élevée, et la limite des neiges basse, de puissantes langues de glace descendues de la montagne s'étalent sur l'avant-pays en lobes semi-circulaires; on parle alors de glaciers de piémont (de beaux exemples peuvent être observés en Patagonie et en Alaska).
Au contraire, dans les montagnes dont la ligne de crête dépasse à peine l'altitude des neiges permanentes, les glaciers n'ont pas de langue: ce sont des glaciers de calotte, qui encapuchonnent les sommets, des glaciers de cirque, qui se logent dans les creux, des glaciers de paroi, qui nappent les hauts versants. Ces glaciers élémentaires ne bénéficient pas d'une alimentation neigeuse suffisante (dans les régions sèches, par exemple) ou sont soumis à une forte ablation qui ne permet pas la constitution d'une langue glaciaire (dans les régions intertropicales).
Les glaciers de montagne alimentent de nombreux torrents dont le régime est caractérisé par de hautes eaux en saison chaude et de maigres eaux en hiver. Dans l'Hochsberg, les rivières de l'Alm au nord et de la Friedesbach au sud ouest du massif.
Relief
Le Mont Hochsberg est le point culminant du massif du même nom et du PNN. D'autres montagnes se sont développés aux alentours comme le Mont Steilspitze et le Mont Frauhorn. Il s'agit d'un relief très élevé et très escarpé qui a été façonné par les mouvements tectoniques entre la plaque eurasiatique et la plaque nord Américaine.
Les Montagnes Rocheuses dont fait parti le parc ont été formé par la partie occidentale de la Ceinture de Feu du Pacifique. Il existe donc de nombreux volcans aux alentours du parc. Il en existe quelques uns mais sont totalement inoffensifs.
C'est un relief relativement jeune et très actif sur le plan sismique et volcanique. Le parc est directement relié à ces causes.
Les hauteurs de l'Hochsberg permettent également une vue imprenable sur l'ensemble des Montagnes Rocheuses Simlandaise et même au delà.
Hydrographie
L'hydrographie est profondément marquée par la fonte des glaces et des neiges lors du printemps. les lacs terrestres et souterrains sont innombrables au même titre que les rivières et les torrents bien qu'il n'en existe pas de signifiatifs. On pourrait presque parler de glaciologie (étude des glaces) que d'hydrographie. Le Parc est une des sources d'eau douce les plus importante de Simland.
Au niveau des rivières l'Alm naît dans les glaciers de l'Hochsberg tandis que la rivière Friedesbrach frôle les frontières du parc à sa source.
Faune et flore
Faune
La faune varie en fonction des altitudes. Grosso modo en dessous de 1.000 mètres, les animaux de forêts et de moyenne altitude se côtoient comme les grands herbivores et les grands carnivores. Les loups, les ours, les élans, les sangliers ou encore les fameux écureuils volants sont autant d'espèce visibles dans l'ensemble des forêts du parc. En altitude vers les alpages entre 1000 et 1500 mètres d'altitude, les animaux se font un peu plus rares et cette fois ci ce sont les grands oiseaux, rapaces ou encore les marmottes qui font leur apparition. Au niveau de l'activité agricole, les vaches tarentaise ( directement importé des Alpes françaises) sont communes ainsi que les moutons ou autres caprins (chèvre). Encore au dessus, ce sont les chamois et les rapaces qui dominent les hauteurs du parc.
Écureuil volant de Whamphalie, très rare.
Meute de loup gris, animal redouté.
Ours brun près de la source de l'Alm.
Vaches tarentaises entretenant les alpages.
Couple de marmotte, très rare.
Colonie de vautours près du Mont Hochsberg.
Troupeau de chamois sur les hauteurs du Mont Frauhorn.
Flore
La flore des montagnes dépend une fois encore de l'altitude. L'étage nival l'étage le plus haut) sera quasiment dépourvu de végétation, tandis que l'étage alpin sera rempli d'herbes de petits buissons idéale pour l'agriculture d'élevage ou encore la faune des alpages. L'étage subalpin sera un intermédiaire avec quelques bosquets , des petits buissons et des prairies. L'étage montagnard sera bordée par les forêts de conifères et l'étage collineen sera une alternance de forêt de feuillus caduques et de conifère sempervirent ( qui ne perd pas les feuilles en hiver). Le Parc Naturel du glacier de l'Hochsberg dispose de tous ces étages et donc d'une diversité remarquable au niveau floristique.
Parmis les espéces connus du parc, on retrouve le sequoia, la renoncule des glaciers ou encore l'arnica très utilisé à des fins médicinales. Bizarrement le melèze très répandu dans les Rocheuses est quasiment absent du parc. Les espèces de pins sont très nombreuses et les feuillus caduques ont une place certaines dans les forêts de basse et moyenne altitude.
Etages altitudinaux de la flore montagnarde.
Grande primprenelle de l'étage subalpin et alpin.
Arnica de l'étage alpin..
Renoncule des glaciers de l'étage nival.
Sequoia dans une forêt de l'étage montagnard.
Pin flexilis de l'étage collinéen.
Cercocarpe à feuilles ondulées dans l'étage collinéen.
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Paysages
Paysages de montagnes
Le Parc se démarque par son paysage de montagne qui change en fonction des saisons. Au niveau local il est appelé le "paysage des hauteurs". Il s'agit principalement de grandes prairies d'alpage au dessus de 1500 mètres d'altitude et au delà d'un paysage rocailleux et neigeux avec les neiges persistantes. Le climat montagnard y est particulièrement rude et le vent a façonné de nombreux sommets plus ou moins connus. La vue est imprenable et paraît vertigineuse. Cependant certains sommets sont très escarpé et nécessite la présence d'un guide ou est réservé à des alpinistes confirmés. Le paysage de montagne n'est pas seulement beau , il est aussi très dangereux et très changeant.
Paysage de forêt
Bien plus bas en dessous de 1000 mètres d'altitudes, on retrouve des forêts de conifères qui font la réputation des paysages montagnards. Les epicea, les mélezes façonne ce paysage plutôt renfermé. C'est également dans cette zone que l'on retrouve les grands animaux comme les ours, les grands herbivores. Ce paysage a donné l'inspiration a de nombreux artistes qui font régulièrement le déplacement.
Ce paysage paraît paisible , reposant et se démarque des hauteurs avec son climat beaucoup plus calme.
Administration
Direction et Conseil d'Administration
Le PNN est dirigé par un Président ou encore appelé Directeur. Celui ci est le décisionnaire principal du parc. Il est élu suite à un vote du Conseil d'Administration qui est chargé de la bonne gestion du Parc par le Directeur.
Le Conseil d'Administration est composé de représentants d'association agricoles, environnementales, scientifique, de représentants d'artisans et commerçants, de représentants d'habitants, de politique locaux. Il y a en tout 39 membres.
Le C.A siège dans le chef lieu du canton et les bureaux de la Direction également.
Il existe un Directeur adjoint pour suppléer le Directeur.
Conseil scientifique
Comme son nom l'indique, le Conseil scientifique est principalement composé de scientifiques spécialisés dans un ou plusieurs domaines ( glaciologues, géologues, géographes etc...). Il est chargé de mener à bien des expéditions au sein du parc, d'analyser des données scientifiques sur un ou plusieurs domaines et d'élaborer des programmes de protection.
Il est composé de 22 membres et il est dirigé par le Directeur. Le Conseil scientifique n'a qu'un avis consultatif et ne fait que proposer. La décision revient toujours au Conseil d'Administration.
Conseil Economique et social
Le Conseil Economique et Social est majoritairement composé de représentants de commerçants, artisans, de petits patrons ou encore d'associations en tout genre. Il est chargé d'élaborer un programme économique et social pour les habitants du parc ou pour améliorer le tourisme et l'adapter à la particularité du Parc.
Il a un avis purement consultatif, la décision revient au Conseil d'Administration. Il est dirigé par le Directeur du Parc.
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