Heiwashima : Différence entre versions
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* '''En 1197''', le chef du pouvoir civil et militaire prend le nom de ''shogûn'' (au dépit du terme ''Nikku'') comme leurs homologues japonais, sûrement influencés par les nouveaux migrants. | * '''En 1197''', le chef du pouvoir civil et militaire prend le nom de ''shogûn'' (au dépit du terme ''Nikku'') comme leurs homologues japonais, sûrement influencés par les nouveaux migrants. | ||
* Le bouddhisme perd de son influence courant le début du XIIIe siècle et laisse part au premier quartier dédié à une autre religion qu'est le shintoïsme, instauré en 1317 par Hakuba Takazami | * Le bouddhisme perd de son influence courant le début du XIIIe siècle et laisse part au premier quartier dédié à une autre religion qu'est le shintoïsme, instauré en 1317 par Hakuba Takazami | ||
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Version du 21 décembre 2011 à 18:39
Villes de Simland | |
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Hankagai, le "Shibuya" heiwashiman. | |
Drapeau de la Municapilé d'Heiwashima-Shi | |
Heiwashima-Shi 市平和島 L'île de la paix | |
Pays | Simland |
État | Comores |
Département | Iztachuatl |
Maire | William S. Poznanski |
Géographie | |
Île | Île de Los Corozos |
Superficie | 80,4 km² |
Altitude | 0 - 177 m (Iztachuatl) |
Démographie (20 octobre 2010) | |
Population | 600.000 |
Densité | 7463 habitants/km |
Districts | 8 |
Code Postal | 12 300 |
Symboles municipaux | |
Fleur | Fleur du cerisier (Sakura) |
Arbre | Cerisier oriental (Prunus serrulata) |
Oiseau | Ibis nippon (Nipponia nippon) |
Topic de la ville | |
Heiwashima-Shi, (市平和島 en japonais, littéralement "Île de la paix"), souvent dénommée Heiwashima est une métropole simlandaise de l'état des Comores, anciennement capitale de la préfecture du même nom sous le gouvernement japonais.
Riche culturellement et historiquement de son passé nippon, la ville a su préserver ses coutumes et entretient des liens évidents avec le Pays de Soleil Levant en matière économique.
Réputée pour son aspect alliant modernité et tradition, elle est caractérisée par ses gratte-ciels, ses magasins de produits électroniques et de haute technologie.
Par ces liens évidents avec la capitale japonaise, elle est souvent surnommée le Tokyô simlandais ou Little Tokyo.
La ville est aussi réputée par son port donnant sur l'Océan Pacifique, jouissant de l'activité des autres ports asiatiques.
Sommaire
Histoire
Période de Nikku (VI/VIIe siècle)
La ville aurait été fondée à la fin du VIè siècle par des missionnaires bouddhistes arrivés du Japon. L'île était inhabitée mais d'après quelques écrits, ce qui aurait frappé ces "colons" serait la grande présence d'Ibis nippon, oiseau des marais de l'Extrême-Orient: c'est la raison pour laquelle cet oiseau apparaît comme symoble municipal.
L'autre particularité de cette île est l'Iztachualt (nom actuel du point culminant de l'île), qui a l'époque était un volcan actif. Le nom donné à ce volcan, adopté à toute l'île sera Nikku (にっこう) signifiant "rayon du soleil" (car d'après la légende, la lave qu'il dégageait aveuglait tout ceux qui osait la regarder.)
En 645, un sanglant coup d'état frappe l'archipel japonais (l'Etat du Yamato à l'époque), et le clan Soga laisse le pouvoir au profit de la famille Mononobe. De ce fait, quelques alliés de la famille Soga serait partis s'exiler sur l'île Nikku et étant bouddhistes, leur accueil aurait été plutôt pacifique entre les immigrants et les populations déjà présentes sur l'île.
De ce fait, Nikku fut renommée Heiwashima (Île de la paix) en 695.
Période d'Heiwashima ancienne (VIII/XIe siècle)
Le premier véritable temple bouddhiste est construit en 701 et portera le nom de Soga-Ji (曽我-チ), toujours existante à ce jour, devenant le symbole d'une nouvelle nation menée par Ken'ichi, (qui aurait été un ancien proche de la famille Soga), au titre de Nikku Ier (titre crée en l'honneur des premiers colons de l'île de la paix).
Le terme de Nikku, peut être comparable à celui de Shogun car le Nikku a le pouvoir civil et militaire.
Ken'ichi aurait eu l'accord d'une majorité suprême pour diriger le territoire insulaire et instaura dès lors un pouvoir établi autour des valeurs bouddhistes qui sont l'impersonnalité, l'impermanence et l'insatisfaction.
Ce type de fonctionnement pacifique sera conservé pendant trois siècles environ, le peuple heiwashiman n'ayant jamais eu d'affrontements contre d'autres populations pendant cette période.
En 1067, Hiroshi Masakawa, originaire de Heian Kyô (Kyoto, capitale du Yamato à l'époque) fit le voyage entre le Japon actuel et Heiwashima et y publiera les premiers manyoshu (poésies). Jusque là, seul des ouvrages sur les principes du bouddhisme rassemblait les foules. Les premiers manyoshu provenant d'Heiwashima seront publiés cinq ans (1072) après par Eimi Ueno, femme écrivaine très reconnue à l'époque, et celle-ci imposa son style jusque dans la capitale du Yamato.
Periode d'Aoyama
La période d'Aoyama sera marqué par un flux d'immigration record, regroupant près de 50 000 habitants sur l'île, pratiquement 20 fois plus qu'en fin du XIe siècle. Ces flux, très majoritairement japonais, sont expliqués de manière simple et brève:
- En 1185, guerre entre les familles Minamoto et Taira au Japon: quelques protégés des Taira viennent se réfugier sur l'île de la paix comme l'on fait les Soga auparavant.
- Entre 1192 et 1333, près des trois cinquièmes des flux migratoires important de l'époque y sont réalisés.
- Entre 1335 et la fin du XIVe siècle, le nombre d'immigrant se fait plus de plus faible, malgré le changement de pouvoir constant au Japon.
Remarque:
- En 1197, le chef du pouvoir civil et militaire prend le nom de shogûn (au dépit du terme Nikku) comme leurs homologues japonais, sûrement influencés par les nouveaux migrants.
- Le bouddhisme perd de son influence courant le début du XIIIe siècle et laisse part au premier quartier dédié à une autre religion qu'est le shintoïsme, instauré en 1317 par Hakuba Takazami
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