Phalange du Lewsland : Différence entre versions
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Elle balaye par la même occasion l'image d'un groupement fermé tel que présenté par ses adversaires. C'est ainsi que les phalangiste appelle l''''État Lewslandais''' à renforcer « ''le rôle du christianisme dans la société, l'indépendance de la justice, la lutte contre la corruption, la centralisation et la verticale du pouvoir, et la préservation de toutes les libertés publiques. Il se prononce contre toute forme de partition du pays, y défend l’unité culturel. Il refuse toute forme d'implantation ou de naturalisation des simlandais non lewslandais».'' | Elle balaye par la même occasion l'image d'un groupement fermé tel que présenté par ses adversaires. C'est ainsi que les phalangiste appelle l''''État Lewslandais''' à renforcer « ''le rôle du christianisme dans la société, l'indépendance de la justice, la lutte contre la corruption, la centralisation et la verticale du pouvoir, et la préservation de toutes les libertés publiques. Il se prononce contre toute forme de partition du pays, y défend l’unité culturel. Il refuse toute forme d'implantation ou de naturalisation des simlandais non lewslandais».'' |
Version actuelle en date du 13 avril 2015 à 19:57
Phalange du Lewsland Fingerglied von Lewsland | |
Fondation | Février 2015 |
Branches | Commissariat du Peuple à la sécurité intérieure |
Commandement | |
---|---|
Phalangeo-Générale | Flîtz Flütz |
Main-d'œuvre | |
Ages militaires | 18-45 |
Actifs | 26000 |
Déployés hors de l'Etat | 900 |
Réservistes | 37000 |
Les Phalanges du Lewsland fondé en septembre 2013, mais révélé publiquement en février 2015, est un mouvement paramilitaire chrétien lewslandais . Il fut créé en réaction à la fin de la Confédération simlandaise et donc la fin de la souveraineté des états sur leur défense nationale, en s'appuyant sur un financement de l’état lewslandais.
Charte
Le 1er décembre 2013, Flîtz Flütz a rendu publique la nouvelle charte des phalanges du Lewsland. Cette charte remplace la charte initiale de septembre 2013
La charte recentre les objectifs et la vision du groupement à long terme. « La résistance face à la menace simlandaise reste sa priorité ».
Elle balaye par la même occasion l'image d'un groupement fermé tel que présenté par ses adversaires. C'est ainsi que les phalangiste appelle l'État Lewslandais à renforcer « le rôle du christianisme dans la société, l'indépendance de la justice, la lutte contre la corruption, la centralisation et la verticale du pouvoir, et la préservation de toutes les libertés publiques. Il se prononce contre toute forme de partition du pays, y défend l’unité culturel. Il refuse toute forme d'implantation ou de naturalisation des simlandais non lewslandais».
Cette charte marque un glissement sémantique : Les phalanges du Lewsland passant de la revendication initiale d'un État Chrétien à un programme politique applicable dans un « État moderne » avec des références aux normes du droit international. Les phalangistes continue aussi son immersion dans le cadre lewslandais en utilisant le mot « nation ».
Plusieurs des principes évoqués dans la charte (non-discrimination des autres religion, démocratie) sont toutefois peu appliqués en réalité.
Elle stipule au sujet de Simland que les phalangistes « s'oppose catégoriquement à tout compromis avec Simland ou à reconnaître sa légitimité » soulignant que « cette position est définitive, même si tout le monde reconnaît Simland ».
Organisation
Selon des recoupements effectués sur la base d'informations émanant de sources simlandaise et chrétiennes lewslandaise, leur force est composée de cents bataillons d'infanterie de 250 combattants dont une cinquantaine motorisé.
L'organisation des phalanges est inspirée par la structure de l’ancienne armée mayenne, bien adaptée à la population du Lewsland. Le niveau standard de l'organisation des forces d'infanterie est le bataillon, qui à son tour est divisé en compagnie sous le commandement d'un capitaine. Les compagnies sont à leur tour divisé en sections, par exemple un lieutenant qui est en charge d'un peloton qui appartient à la 1ère Compagnie, 5e Bataillon. Ils sont parfois divisés en escouades (créé à la discrétion du commandant) et sont généralement dirigés par un sergent ou un autre sous-officier.
Autres branches séparée des phalanges du Lewsland, les unités de reconnaissances, et les bataillons lourds, seul à être équiper de chars, qui sont sous le commandement direct du Phalangeo-Générale , Flîtz Flütz .
Les bases militaires de l'armée, généralement appelés camps, sont toujours sous le commandement d'un officier Les camps les plus importants qui forment les recrues, comme Valik , auront également sergents instructeurs.