**Parcs Naturels de Simland**
Principaux attraits
Parc National de l'Arctique Simlandais
localisation
État	Grand Nord- Lewsland
Ville
Énergétique	hydraulique
Culturel	Source et traversée du Léonard

Sommaire

1 Présentation
2 Climat
3 Relief , hydrographie, géologie
4 Faune et flore
- 4.1 Faune
- 4.2 Flore

Présentation

Le Parc Naturel National de l'Arctique Simlandais est le plus septentrional des parcs naturels. Il regroupe la banquise Simlandaise ainsi que toute sa flore et sa faune si atypique. Il est le seul parc naturel représentant le milieu polaire et arctique. Les lobbying pétroliers et militaires revendiquent une partie du territoire mais les écologistes sont attachés à cette partie là du Lewsland. Le Léonard, rivière la plus au nord y prend sa source avant de se jeter sur le Lac Titan plus au Sud. C'est un des endroits naturels et sauvages les plus fragiles et les plus dangereux de la Fédération au même titre que les parcs naturels de la Forêt Opikanoba ou encore du Désert des Grandes Plaines, d'autres parcs atypiques de la Fédération. Il se situe dans le Canton des Plaines Nordiques au Lewsland.

Climat

Le climat qui règne dans ce parc est particulièrement propice au climat polaire. Les températures sont extrêmement basses ( entre moins 30 et moins 50 par endroits). Les vents froids et secs en provenance de Sibérie ou encore du pôle nord font de cet endroit la partie la plus froide de la Fédération.

Enfin les tempêtes de neige et les blizzards sont très fréquents lors de la période hivernale. Le climat se caractérise par des hivers polaires et très rigoureux souvent très neigeux et venteux tandis que les étés sont froids et secs. Les périodes intermédiaires ( printemps et automne) sont plutôt humides et neigeux avec des alternances de période froide et séche.

Relief , hydrographie, géologie

Le relief du Parc Naturel est plat et est constitué de plaines arctiques à perte de vue. Il n'est pas significatif. Au niveau de la géologie, on retrouvera essentiellement des roches nues ( le sol étant érodé par le gel et les vents) dures. Les roches sédimentaires ne sont pas présentes dans la région. Au niveau du sol, on retrouve du pergélisol surtout près des rivières mais celui-ci a tendance à disparaître avec le réchauffement climatique et a causé de gros dégâts. La glace , la neige sont les principaux éléments géologiques du Parc. de gros blocs de glace datant de plusieurs milliers d'années se sont accumulés sur le sol laissant parfois apparaître des squelettes de dinosaures ou encore de mammouths rappelant la grande période glaciaire.

Au niveau de l'hydrologie, la rivière Léonard est la principale source d'eau de la région et s'écoule tout doucement en direction du Sud vers le Lac Titan. Elle est gelée 10 mois sur 12 voir pendant toute une année selon les périodes. l'accumulation de glace, la fonte du pergélisol font de la rivière un endroit très dangereux et très propice aux inondations de grandes ampleur. Ces inondations sont comparables à celles de l'Ob ou du Ienissei en Sibérie. Le Léonard est donc une rivière typique des régions polaires et subarctiques avec leur débit très fort et leur navigation impossible.

Banquise près de l'Océan Arctique.
Rivière Léonard au sud du Parc en été.
Iceberg.
Plaine polaire en été au centre du parc.

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Faune et flore

Faune

On pourrait penser que la faune n'est pas développée dans les parages mais en réalité, elle est assez nombreuse et a su s'adapter aux conditions climatiques très rudes. La faune la plus emblématique du Parc reste l'ours blanc, le manchot empereur qui sont devenus des symboles du Lewsland. On retrouvera également le renard arctique, le lapin arctique et quelques espèces d'oiseaux au sud du parc. Dans les rivières la vie est développée avec les poissons comme les saumons et les truites qui remontent la rivière Léonard pour se reproduire en période estivale. L'adaptation est la priorité absolue des espéces qui ont adopté des comportements spécifiques comme l'accumulation de graisses, l'hibernation, le camouflage avec le pelage et le plumage blanc. D'ailleurs le camouflage gris, blanc et noir reste les meilleures armes de défense et de protection des espèces qui leur permet de se confondre avec les conditions climatiques ou les paysages.

Dans la partie de l'Océan Arctique, le Parc offre les plus belles observations de cétacés comme le narval, les baleines ou encore les grands poissons comme l'espadon. On retrouve des crustacés comme le crill qui est la source première de nombreuses espéces marines.

Malheureusement, l'activité humaine, le réchauffement climatique change la donne et empêchent certaines espèces de prospérer. Les espéces ne trouvant plus de nourritures meurent ou ont tendance à migrer vers le sud, tout en s'adaptant aux nouvelles conditions de vie à auxquelles elles ne sont pas forcément habitués. Les ours blancs adoptent cette méthode de survie par exemple.

Flore

La flore n'est pas significative dans les régions polaires. On retrouve quelques herbacées dans le sud du Parc et quelques graminées utiles à certains herbivores. En effet, le climat rude empêche toute progression de la végétation. Toutefois, la végétation a tendance à remonter avec le réchauffement climatique. On a retrouvé des espéces de graminées le long de la rivière Léonard au nord du Parc, du jamais vu jusque là.