Maslograd
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| Maslograd маслоград (ru) | |
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| Place du Prolétaire | |
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| Drapeau & Armoiries | |
| Administration | |
| Pays | Simland 
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|---|---|
| Etat | Thoulak 
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| Commune | Maslograd 
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| Oblast | Oblast de Maslograd 
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| Géographie | |
| Population | 2 391 402 (Ville) 8 142 950 (Aire Urbaine) |
| Superficie | 324,42 km² |
| Densité | 25 100 hab/km² |
| Economie | |
| Taux de chômage | 8,14% |
| Revenu annuel moyen | 16 154 §/an |
| Politique | |
| Maire actuel | Yeskiomach (UDP) |
| Majorité | Union des Prolétaires |
| Sièges | 200 |
| Union des Prolétaires | 117 200 |
| Parti Capitaliste Républicain | 62 200 |
| Parti Socio-écologiste | 15 200 |
| L'Ultra-Centre | 4 200 |
| Ligue Nationale Socialiste | 2 200 |
| Autres informations | |
| Gentilé (FR) | Maslogradois,oise |
| Langue | Russe, français, et dialecte local |
| Aéroport civil | Aéroport International Y. Maslograd-Thoulak |
| Port de plaisance | Port de Maslograd |
| Altitude | 592m |
| Topic de la ville | [1] |
| Localisation | |
| 250px | |
Fondée en 1921, Maslograd (маслоград en russe) est la capitale administrative du Thoulak depuis 2015, et une ville industrialo-militaire datant de l'époque soviétique, qui a su évoluer avec le temps. Longtemps en autarcie, la ville à su s'allier avec l'URSS sans pour autant en dépendre, ses frontières étant fermées : ce n'est qu'en 1993 que ces dernières ce sont totalement ouvertes. La ville a longtemps été dirigée par une même famille.
Jusqu'au XXIe Siècle, Maslograd vivait quasi-uniquement grâce aux bénéfices du pétrole, seule ressource exportée. L'industrie pétrolière de la ville employait 81% de la population dans les années 1980, à savoir approximativement 1 000 000 d'ouvriers.
Sommaire
Histoire
1921 : Fondation de la ville
Historiquement fondée sous le nom d'Anatorus (Dérivé du nom de famille son fondateur, la dynastie Anator). A cette époque, la ville adopte le style soviétique en vigueur, et se développe très lentement.
1939-1945 : Seconde Guerre Mondiale
Pendant la Seconde Guerre Mondiale, la ville naît réellement. Malgré les pertes énormes que subit Maslograd en allant se battre sur le front Russe (Notamment fin 1942 à Stalingrad), la ville devient utile à l'Union Soviétique, et se transformera suite à cette reconnaissance, en une cité industrielle soviétique. La guerre fut dramatique pour le ville, malgré le faible nombre de pertes (1 057 camarades), à l'époque cela représente près de 30% de la ville qui fut décimée en très peu de temps.
1950-1990 : Ère pétrolière
La ville est nommée Maslograd en 1949 suite à la découverte du pétrole dans ses nappes souterraines. A cette époque, personne ne se doute que cette ville alors uniquement basée sur l'industrie de l'armement Soviétique deviendra très vite une des plus riches villes de l'est Soviétique, déplaisant ainsi à ses voisins. La ville s'axe principalement sur l'exploitation massive des ressources présentes, au détriment de la qualité de vie de ses habitants. Ainsi, près de 83% de la population travaille dans le secteur de l'industrie, et plus de 90% d'entre eux sont liés au secteur du pétrole. Dès les années 1980, la tendance industrielle commence peu à peu à diminuer, notamment à cause de l'épuisement de la ressource dans les nappes facilement exploitables. L'année 1986 marque la fin de l'exploitation industrielle massive à Maslograd, suite aux incidents ayant eut lieu à Tchernobyl. Entre 1986 et 1995, la majorité des usines ferment, la ville peine à combler cette source de revenus facile.
1991-2000 : Ère post-soviétique
Nuit Noire
Le chaos règne à Maslograd depuis le début de l'année 1991, les révolutions musclées explosent entre les soviétiques et les anarchistes. Un soulèvement massif sort du lot la nuit du 25 au 26 octobre, surnommée depuis la Nuit Noire. Dès le 25 octobre ont lieu des manifestations anarchistes en plein quartier industriel visant à sortir de l'Union Soviétique. Rien de très grave si ce n'est des opposants exprimant publiquement leur avis, une première à Maslograd. Cependant, dans la soirée du 25 octobre, Anator II se rend sur les lieux afin de tenir un discours sur les bienfaits de l'industrie, prévu depuis quelques temps mais non annulé malgré les manifestations. Le risque est minime, il est à l'époque vénéré par tous. Il est responsable du développement économique rayonnant de sa ville, cependant aux alentours de 21H37, 4 explosions retentissent quasi-simultanément proche de l'estrade sur laquelle il se trouvait. Le peuple ne le sait pas encore tant la panique est indescriptible, mais il vient de perdre le dirigent à qui ils doivent tant. Au bout de quelques minutes, le public reprend son sang-froid afin d'essayer de sauver les victimes lorsqu'un anarchiste hurle "On l'a enfin eut". C'est le début d'une lutte acharnée entre les révolutionnaires et les soviétiques. Toute la nuit, les rues du quartier industrielles vont saigner pour ce qui semble être, la fin d'une Ere. On décompte plus de 1 248 morts cette nuit, ainsi que plus de 6 000 blessés. Les hôpitaux de Maslograd n'étaient absolument pas prêts à réagir, c'est pourquoi un grand nombre de blessés n'a pu être pris en charge, menant très souvent au décès.
Anatoli Timochenkov
Un homme tout droit sorti de nulle part, nettement opposé au communisme Soviétique arrive suite aux attentats afin d'imposer un régime capitaliste, modifiant radicalement les habitudes Maslogradoises. Il instaure une méritocratie, une assemblée dont il est président, quelques avancées sociales, et construit le Quartier d'Affaires. En 1998, on compte 67% d'habitants qui y travaillent. Le pouvoir d'achat augmente nettement, les Maslogradois sont heureux mais se lassent très vite et regrettent l'époque rouge.
2001-2015 : Maslograd aujourd'hui
En 2005, Yeskiomach, candidat rouge est élu à plus de 99% de voix. Un retour aux valeurs communistes est largement partagé par les habitants. Yeskiomach souhaite développer la Défense. Ainsi la base militaire est agrandie à plusieurs reprises. Peu à peu depuis plusieurs années, mais officiellement en 2014, les frontières sont ouvertes aux habitants, pour la première fois. Le privilège de circuler librement était jusqu'alors réservé aux hauts-gradées, ou très riches habitants. Au delà de la Défense, Yeskiomach souhaite animer le sport en ville, notamment le Baseball son sport préféré. Ainsi, un immense complexe sportif dédié au Baseball, pouvant accueillir près de 102 000 visiteurs sera terminé d'ici janvier 2016.
Géographie
Maslograd se trouve à l'Est du Thoulak, proche de sa frontière avec les Plaines de l'Avalon, sur les berges du fleuve Avalon. La ville est depuis peu très desservie par une extension de l'autoroute A7 qui lui permet une liaison rapide avec Simland, puis par des autoroutes internes à la ville.
Climat
Dans cette région du Thoulak le climat n'est pas aussi froid que dans la majorité de l'Etat. Les précipitations sont relativement rares, la température descends en dessous de 0 °C environ 5 mois par an, la ville est sous la neige environ 3 mois par an. Il n'est pas rare qu'en plein hiver, la ville soit au ralenti à cause d'importantes chutes de neiges allant jusqu'à 1m de hauteur.
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| Mois | Jan. | Fév. | Mar. | Avr. | Mai. | Jui. | Jui. | Aoû. | Sep. | Oct. | Nov. | Déc. | |
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| Température moyenne (en °C) | -13,9 | -12,0 | -4,7 | 3,4 | 10,4 | 16,4 | 18,1 | 14,9 | 9,2 | 2,0 | -2,3 | -9,4 | |
| Précipitations (en mm) | 32 | 27 | 28 | 27 | 34 | 41 | 50 | 64 | 72 | 57 | 46 | 34 |
Structure de la ville
Démographie
Maslograd est une ville très récente, dont la croissance démographique est extrêmement élevée. De sa création, aux années 1950, Maslograd est une ville méconnue de l'URSS, et du Thoulak. La ville connait une croissance éblouissante dès 1961 avec l'arrivée d'Anator II au pouvoir. Cela marque le début de l'Ere pétrolière. En 1991, Anatoli Timochenkov prend le pouvoir, et développe massivment la ville et son retard accumulé en RSS du Thoulak. La ville voit alors sa population augmenter de milliers de personnes chaque années. Cela marque la modernisation massive de Maslograd, ainsi que l'illusion d'une vie meilleure, elle incarne la modernité et le développement au sein du Thoulak, mais voit les inégalités s'accroitre.
| 1924 | 1932 | 1939 | 1945 | 1951 | 1961 | 1972 |
|---|---|---|---|---|---|---|
| 300 | 1 500 | 5 000 | 20 000 | 101 430 | 219 043 | 523 920 |
| 1981 | 1991 | 2000 | 2005 | 2010 | 2015 | 2020 (Projec.) |
| 1 329 504 | 2 849 179 | 4 042 159 | 5 624 942 | 6 953 219 | 8 076 832 | 9 500 000 |
Economie
Secteur primaire
Le secteur primaire n'est quasiment pas représenté à Maslograd. Jusqu'à l'ouverture des frontières, les habitants vivaient de la pêche à échelle humaine, et n'ont donc pas plus développé ce secteur. Par conséquent, moins de 2% de l'activité économique de la ville concerne le secteur primaire.
Secteur secondaire
Jusqu'au début des années 2000, les industries génériques et pétrolières sont extrêmement développées en ville (Jusqu'à 83%). Depuis, la tendance est en baisse avec le développement du quartier d'affaire, et autres sources de divertissement et de travail.
Industrie pétrolière
Le pétrole est la ressource la plus exploitée à Maslograd : elle est même la raison de sa prospérité. C'est lorsque le pétrole est découvert en ville que cette dernière à commencer à évoluer. Plus de 80% des industries de la ville sont liées au secteur pétrolier. Cependant, depuis la découverte des limites de stock du pétrole, le secteur industriel en général est en nette baisse, certaines nappes se sont partiellement voire totalement vidées, ce qui a donné lieu en 2014, à la création de la Plateforme Offshore de Maslograd.
Secteur tertiaire
Depuis l'ouverture des frontières en 1993, le secteur tertiaire et plus particulièrement les commerces et entreprises se sont développés massivement dans le quartier d'affaire, construit par Anatoli Timochenkov. Ainsi, en 2015, ce secteur représente près de 86% de l'économie de la ville, contre moins de 7% en 1990. Le tourisme est très peu développé à Maslograd, cependant la volonté du dernier Tsar (Yeskiomach) vise à créer des stades et autres complexes sportifs afin de développer le tourisme sportif en ville, et représenter l'Etat du Thoulak dans ce secteur.
Politique
Politique actuelle
En rédaction
Partis politiques
En rédaction
Défense
Maslograd est un lieu militairement extrêmement puissant. En effet, 34% du budget de la ville est alloué à la recherche, à l'entretien, et à la production de matériel et de ressources humaines. La ville rassemble à elle seule une base militaire, un aéroport militaire, un centre d'entrainement des troupes, un centre de recherche nucléaire, et un port militaire en projet (Fin des travaux : décembre 2015). Jusque dans les années 2007-2008, la ville était majoritairement fournie par la Russie, voire les restes soviétiques. Depuis peu, et depuis la rénovation de la base, il est clair que la ville souhaite acquérir la technologie nécessaire pour subvenir à ses propres besoins sans dépendance.
Forces armées
Terrestres
Les forces armées terrestres de Maslograd sont majoritairement situées dans une place forte de la ville, la Base Militaire de Maslograd. Les soldats s'y trouvant fesaient jusqu'en 2006 parti de l'Armée Rouge de la R.S.T. Désormais, la base est sous le joug du KOTT (Informations ci-dessous).
Base Militaire de Maslograd
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Article détaillé : Base Militaire de Maslograd
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Construite en 1992 suite à l'effondrement soviétique dans un programme de défense, la base est rénovée et renommée en 2007 par Yeskiomach. Elle peut abriter jusqu'à 74 500 hommes. C'est dans cette même base que se trouvent le potentiel matériel de la défense Maslogradoise, à savoir les 159 chars (dont 124 utilisés uniquement pour la police), ainsi que les autres véhicules militaires.
Aériennes
Les forces aériennes de Maslograd se trouvent dans la Base Militaire de Maslograd. La ville dispose d'une multitude de pilotes formés et opérationnels, ainsi que 12 avions russes Shoukoï Su-35, deux hélicoptères Mi-28 "Havoc", une dizaine d'hélicoptères municipaux (Police, ambulance), ainsi qu'un C130 Hercules construit à Maslograd, à partir de plans américains.
Plan SMERTER
Le plan SMERTER a été fondé par Napoléon la Violette en février 2008, et complété en novembre 2015 par Yeskiomach. Il s'agit d'un dispositif territorial destiné à prévenir et à réagir face aux diverses menaces terroristes. Initialement gradué sur 4 couleurs, il a été complété et amélioré par Yeskiomach et fonctionne désormais avec la coopération des forces de police, d'espionnage, et des services publics. Le Plan implique désormais la construction de VZB (Informations ci-dessous) ainsi que la disponibilité des forces du KOTT (Informations ci-dessous). Maslograd est la ville modèle du nouveau plan SMERTER.
VZB
Les VZB (Vysokaya Zona Bezopasnosti - Zone de Haute Sécurité) sont des lieux semi-enterrés, voire enterrés pour certains, capables en théorie de résister à une explosion nucléaire, et à tenir en sécurité la population, du moins une partie. Ces "bunkers" sont sous le joug du KOTT, et se doivent de comporter des vivres et du matériel sanitaire afin de permettre la survie de la population au cas où l'Alerte NOIRE du plan SMERTER impliquant une évacuation des populations serait activée. Il est possible pour 200 000 personnes de survivre 15 jours dans une VZB banale. Elles sont construites selon des quotas fixés par le Guide Suprême, chaque ville ayant son propre nombre minimum de VZB à posséder.
KOTT
Initié par Napoléon La Violette, le KOTT (Commissariat à la Sécurité du Territoire Thoulakien) est un organisme d'Etat, visant à gérer la sécurité civile, la menace terroriste, et la population. Cet organisme s'occupe de la communication du plan SMERTER, et possède ses propres forces d'interventions, à savoir une division spéciale (Antgrouv), équivalent au GIGN (en France) ou encore au SWAT (chez les infâmes américains). Officiellement depuis début novembre 2015, le KOTT est une institution privée gérée à 100% par le Guide Suprême. La base militaire de Maslograd est officiellement gérée depuis le 07 novembre 2015 par le KOTT, ce qui signifie que toutes les ressources matérielles et humaines sont utilisables par cet organisme privé. Note : Aucun membre du KOTT n'a le droit de se rentre outre les frontières du Thoulak.
Transport
Routier
En rédaction
Autoroutes
En rédaction
Voies rapides
En rédaction
Tunnel de Marchandises
En rédaction
Réseau de bus
En rédaction
Tramway
En rédaction
Ferroviaire
En rédaction
Métro
En rédaction
Aérien
Maslograd dispose de deux aéroports.
Aéroport International Y. Maslograd-Thoulak
- Article détaillé : Aéroport International Y. Maslograd-Thoulak
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Aéroport Militaire de Maslograd
- Article détaillé : Base Militaire de Maslograd
-
L'aéroport Militaire de Maslograd se trouve dans la Base Militaire de Maslograd et a été édifié en 2001. Il comporte alors uniquement une piste d'attérissage de 550m. Il a été agrandit en 2012 lors de la construction d'une seconde piste.
Portuaire
Maslograd dispose de trois ports
Port industriel
En rédaction
Port de plaisance
En rédaction
Port militaire
En rédaction
Services publics
Forces de Police
A l'heure d'aujourd'hui, 3 248 fonctionnaires de polices travaillent à Maslograd. La législation impose qu'il y en ait au minimum, toujours 1 500 déployés en ville. Par conséquent, il n'est absolument pas rare de croiser des véhicules en patrouille, voire dans chars d'assaut de police en intervention. En effet, la police de Maslograd utilise deux types de véhicule : les véhicules de police classique, pour des interventions rapide, une Alfa Romeo 159. Pour les interventions plus délicates, la ville dispose de 124 chars d'assaut de police Leopard II. Les fonctionnaires de polices sont répartis dans 17 commissariats à travers la ville.
Services de santé
LOREM
Pompiers
LOREM
Gestion des ordures
LOREM
Sport
Les sports sont relativement peu représentés au Thoulak. Cependant, avec sa libéralisation Maslograd entend bien inscrire son nom dans plusieurs compétitions Nationales, notamment en Baseball ou encore en Hockey sur glace.
Baseball
L'équipe Maslogradoise se nomme Krasnyy Medved.
- Article détaillé : Krasnyy Medved
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Hockey sur glace
En rédaction
Football
..
Médias
En rédaction
Infrastructures
Monuments
En rédaction
Parcs et places
En rédaction
Projets
En rédaction
