Santa Maria
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SANTA MARIA | ||
|---|---|---|---|
| Surnom | La Baie des Anges | ||
| Pays | Simland 
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| Etat | Grand Sud | ||
| Maire | L. Angelus | ||
| Population | 623 597 hab. | ||
| Altitude | +0.5 mètre | ||
| Aéroport | N/C | ||
| Villes jumelées | N/C | ||
| Topic de la ville | |||
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Santa Maria est une ville de Simland, située dans l'État du Grand Sud, à proximité des villes de Codebec-Villequiers, de Monte-Rignano, et de Ramur City. La population de la ville s'élevait à 623 597 au 14/08/10. Son maire actuel est L. Angelus.
Sommaire
Géographie
Situation
Santa Maria est situé au sud-est de l'État du Grand Sud, au bord de l'océan pacifique et à proximité de l'autoroute A3 et de la ligne de TGV longeant le littoral.
La ville s'est constituée autour de la Baie de Santa Maria, délimitée par le Cap des Autrichiens, et le Cap Adélaïde, choisit par des collons florentins au début du XVIIe siècle, pour la beauté du lieu et la protection assurée aux bateaux.
Subdivisions de Santa Maria
Les quartiers les plus connus sont :
- Santa Maria - la plage
- Santa Maria - le Vieux port
- Le Cap Adélaïde
- Le Cap des autrichiens (zone protégée où les permis de construire ne sont plus délivrés)
- La baie des Italiens
Démographie
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| Localité | Population (recensement du 14/09/09) |
|---|---|
| Santa Maria - Plage | 97 194 |
| Santa Maria - Vieux Port | 23 922 |
| Cap Adélaïde | 1 236 |
| Cap des Autrichiens | 211 |
| Baie des Italiens | environ 400 000 |
| Reste de la ville | 101 034 |
| Total | 623 597 |
Santa Maria - Plage
Destination touristique du Grand Sud, la plage de Santa Maria attire chaque année des milliers de touristes du monde entier. La Promenade de Santa Maria qui parcourt le littoral est jalonnée des grandes enseignes de l'hôtellerie internationale, d'un casino, et du Palais des congrès de la ville, accueillant régulièrement des soirées de gala et des manifestations culturelles (concerts, exposition,...). A noter aussi, la résidence Marina Bay, où nombre de célébrités disposent d'appartement.
Lieu de villégiature privilégié, il ne demeure pas moins que l'endroit est le théâtre d'inégalités sociales parmi les plus élevées observables dans la région. En effet, l'engouement pour les logements des littoraux a provoqué l'éloignement des populations modestes qui bien souvent y travaillent.
Santa Maria - Vieux Port
Composé d'un petit bassin creusé par les collons florentins, et entouré par des battisses construites sous ordonnance du gouverneur militaire autrichien au cours du XVIIIe siècle, et de Notre Dame de Santa Maria.
Anciennement utilisé comme petit port de pêche et de commerce, aujourd'hui seules les activités de pêche de loisir et de plaisance demeurent.
Climat
Le climat est de type méditerranéen avec influence notoire tropicale. En été les températures sont stables et chaude, tandis que l'hiver elles sont relativement instables en raison de l'influence de l'océan pacifique qui borde la ville. Le vents y est doux et peu violent. L'automne est caractérisé par de fréquent épisodes pluvieux.
| Mois | Janv | Fév | Mars | Avr | Mai | Juin | Juil | Août | Sept | Oct | Nov | Déc | Année |
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| Températures minimales moyennes (°C) | 8.1 | 9.4 | 11.2 | 12.6 | 18.3 | 23.4 | 22.1 | 21.5 | 16.2 | 12.2 | 10.5 | 9.2 | 14.4 |
| Températures moyennes (°C) | 11,8 | 12,8 | 14,2 | 15,8 | 20,2 | 26,4 | 28,7 | 27,5 | 21,9 | 17,3 | 14,2 | 12,0 | 18,6 |
| Températures maximales moyennes (°C) | 14,4 | 15,3 | 17,5 | 19,0 | 24,6 | 31,6 | 32,3 | 30,2 | 25,1 | 19,5 | 15,2 | 13,5 | 24.9 |
| Moyennes mensuelles de précipitations (mm) | 87.2 | 50.3 | 64.0 | 72.3 | 49.8 | 15.2 | 11.2 | 8.0 | 26.5 | 103.5 | 92.1 | 78.0 | 658.3 |
| Record de froid (°C) | -4,8 | -3,8 | -3,2 | 3,8 | 5,2 | 8,4 | 9,7 | 12,5 | 11,9 | 5,3 | 0,2 | -3,2 | -4,8 |
| Record de chaud (°C) | 22,8 | 23,8 | 24,2 | 26,8 | 30,2 | 37,4 | 36,7 | 37,5 | 33,9 | 28,3 | 26,2 | 22,0 | 37.5 |
Historique
Naissance d'un petit comptoir
L'histoire de la ville et du Vieux Port commence par la création d'un comptoir par des collons venus de Florence au début du XVIIe siècle. Son but initial est de permettre aux marchands florentins de disposer d'un pied à terre dans le nouveau monde, pour procéder à des ravitaillement et aux activités commerciales avec le continent. Rapidement, sa baie est utilisée comme un refuge pour les bateaux lors de tempêtes, ce qui amène à l'édification de structures pour accueillir les marins, et d'un petit port de pêche pour les collons. Le Bassin du port est creusé au milieu du siècle et sa levée est achevée vers 1670. Des activités de pêche, mais aussi de commerce se développent.
Changement de main, début de l'influence autrichienne
Après un siècle de prospérité, la famille de Médicis s'éteint et le Duc de Lorraine François II, devenant François Ier empereur d'Autriche récupère le Grand Duché de Toscane qui revient alors à la couronne autrichienne. On confie donc le petit comptoir à un gouverneur militaire. La ville se développe ensuite avec l'édification de Notre Dame de Santa Maria, et des bâtiments faisant le tour du bassin du port. En 1918 l'Empire Austro-hongrois est dissous, l'administration du comptoir est confiée aux britanniques et aux français, puissances coloniales de l'époque.
L'administration franco-britannique
Suite à la défaite de l'Autriche-Hongrie, la ville est confié sous forme de bail de 20 ans par la SDN (Société des Nations), d'abord à la France (de 1918 à 1938), puis au Royaume-Uni (de 1938 à 1968). En 1968 à l'expiration du bail, Santa Maria acquiert son indépendance.
L'administration française se fait par un haut-fonctionnaire qui reprend les tâches de son prédécesseur autrichien. Cette temporaire administration française marque la modernisation de l'agriculture et les balbutiement de l'industrie. Le lycée français est créé en 1934, et commence l'enseignement du français comme langue principale. Le lycée français est aujourd'hui un établissement d'enseignement prestigieux de la ville.
Pour ce qui est de l'administration anglaise, on peut dire qu'elle sera l'initiatrice du tourisme qui commence à partir de 1956 par l'ouverture de l'hôtel Georges V en hommage au roi éponyme, permettant à la ville d'être connue en Europe. Mais c'est aussi une période de développement des usines lourdes de la villes et de l'explosion démographique d'après guerre. Reprenant l'exemple français, le bailli anglais a lancé la construction d'une petite université, dont les cours sont essentiellement dispensés en anglais.
Faits marquants
Faits marquants à propos de la ville :
- créée au début du XVIIe siècle par des collons venus de Florence.
- 1670 : Fin des travaux du port, début des activités de pêche.
- 1745 : Début de l'administration par un gouverneur militaire autrichien.
- 1753 : Travaux d'aménagement, le port acquiert ses bâtiments et son Église.
- 1918 à 1938 : Administration française.
- 1938 à 1968 : Administration britannique.
- 1968 : indépendance.
- 1968 - : Incluse dans la Nation de Simland.
Economie
Répartition par secteur
Initialement tournée vers le secteur primaire (pêche et culture), et l'industrie, la ville s'est progressivement tournée vers des activités tertiaires majoritaires, provoquant le déclin des activités de pêche et de cultures, ainsi que des activités industrielles polluantes (sidérurgie, Industries lourdes). La fin des années 90 et le début du XXIe siècle, amène la faillite des tissages, en contrepartie du développement des industries de hautes-technologies, un nouvel essor pour le secteur secondaire.
Aujourd'hui plus de la moitié des travailleurs de Santa Maria travaillent dans le secteur commercial, en particulier dans la filière touristique (hôtellerie et restauration), mais aussi dans les bureaux de grandes entreprises principalement locales, localisés dans le quartier d'affaire de la ville plus en retrait du littoral, à proximité du tracé de la ligne TGV et de l'autoroute A3.
Entreprises présentes à Santa Maria
Populations et Cultures
Origines Démographiques
Les différences d'origines démographiques de la ville sont liées à sa complexe histoire, rythmées par les influences successives des nations européennes, ou par les vagues de migrations provoquées par les événement géopolitiques depuis sa création jusqu'à nos jours.
Ainsi, la ville a su développer un caractère cosmopolite aujourd'hui renforcé par le tourisme, permettant chaque année à augmenter significativement le nombres de personnes présente.
| Origines par continent | Pourcentages | Origines par pays | Pourcentages |
|---|---|---|---|
| Européens | 79% | Anglais | 22% |
| Français | 21% | ||
| Italiens | 17% | ||
| Nord-Américains | 11% | ||
| Autrichiens | 8% | ||
| Asiatiques | 10% | Japonais | 6% |
| Chinois | 2.5% | ||
| Coréens | 1.5% | ||
| Africains | 4% | Afrique subsaharienne | 3.5% |
| Afrique du Nord | 0.5% | ||
| Autres | 7% | Autres | 7% |
Espérance de vie
Langues parlées
La langue officielle est le français. Toutefois les origines culturelles des marianais étant variées de nombreuses langues sont employées dans la sphère privée. En été la langue la plus parlée est clairement l'anglais du fait de la vague touristique de juin à septembre.
Manifestations culturelles
Mangacon'
La mangacon' est un événement annuel durant lequel des fans et des sympathisants de la culture japonaise se réunissent dans une convention où un certains nombre d'activité, de spectacles et de dédicaces sont organisés.
Cette convention est organisé par L'Ecole de Technique de Dessins et d'Animation, partenaire de l'association Otak'Maria (rassemblant des passionnés du Japon), avec le soutien de la ville et de l'USM1.
Cet événement est organisé pour la première fois le 9,10 et 11 juillet 2010 au palais des Congrès de Santa Maria. On estime qu'environ 50 000 personnes s'y sont rendus. L'invité d'honneur de cette édition était le groupe de J-Pop Hinoi Team, et plus particulièrement l'idol Asuka Hinoi, qui a accepté de remettre à l'occasion de la cérémonie des prix du manga de Santa Maria le prix du manga de l'année.
Prix du Manga de Santa Maria
Lauréat 2010
Prix du manga de l'année : Bleach
Prix espoir : Pandora Hearts
Prix coup de cœur : Mirrai Nikki
Système Éducatif
Universités
Université Santa Maria 1
C'est la plus ancienne des universités de la ville, son histoire commence au XVIIe siècle, elle est ouverte originellement par un petit groupe de savants, passionnés de la faune et la flore locale qui décidèrent de l'étudier de plus près et de faire profiter des connaissances au autres. Situé originellement à la place de l'actuel lycée Autrichien, l'université grandit au fil des âges et se dote d'une unité pour former des médecins. Son siège est placé Boulevard de la Promenade (1S).
A la fin du XIXe siècle l'université fait bâtir un zoo et un jardin botanique rattaché au département de biologie végétale et animale. La faculté de médecine devient une des plus réputée de l'État et devient un centre de recherche dès le début du XXe siècle.
Il faudra attendre les années 50 pour qu'un véritable département de chimie et de physique ouvre en raison de l'existence d'écoles spécialisées dans ces enseignements, et l'émergence de la physique moderne, et notamment de la cosmologie et de l'astrophysique, permettant une différentiation avec ces écoles et l'ouverture d'un département spécialisé dans l'astronomie et la spectroscopie.
Le nouveau Campus de science est construit à cette occasion, accueillant d'abord le département de Physique et de Chimie puis plus tard celui de mathématiques. L'université dépend de la ville mais son administration n'est pas directement soumise à la mairie, l'université est indépendante et a su se forger une réputation d'excellence en matière de physique moderne et de chimie quantique. A cet effet elle collabore étroitement avec de nombreux laboratoires d'envergure nationale voire internationale.
Le LASAM est le principal laboratoire d'étude du département de physique chimie, ses recherches sont orientées sur la spectroscopie astronomique (recherche de trace du bigbang à travers l'univers à l'aide d'antennes paraboliques géantes), mais aussi sur l'observation astronomique, l'étude et la recherche d'exoplanètes.
Université Santa Maria 2
Créée dans la foulée de l'indépendance de la ville, cette université est fondée à la suite de la réhabilitation du Palais de Justice de Santa Maria. Dépendante directement de la municipalité, le président de l'université est nommé par un collège d'anciens magistrats et juristes et par le maire en personne, membre de droit du conseil d'administration.
Sa mission est de former les juristes, et les officiers du ministère public chargé de justice (juges, magistrats, notaires, huissiers ...). Elle dispose d'une réputation raisonnable, mais n'a pas la prépondérance de l'université des sciences de la ville.
Écoles Supérieures
L'École de Technique de Dessins et d'Animation
Créée dans les années 70 dans la volonté de la ville de diversifier ses établissements éducatifs, l'ETDA est l'une des rares écoles simlandaise à proposer ce type de formation. Elle est à la pointe du dessin et de l'animation (dessins animés, mangas, animés) et forme chaque années une poignée de dessinateur. Cette école est connue et reconnue, et son accès est très sélectif.
L'École de Génie Chimique et Procédés Industriels
École prestigieuse fondée par les industriels Marianais désirant former une élite d'ingénieurs capables de faire de la ville une plaque tournante de l'industrie chimique de l'État et même de Simland. Son accès est sélectif, et la structure permet de former une trentaine d'ingénieurs par an.
Autres
Lycée Autrichien
Le lycée autrichiens est habilité à délivrer le bakkalaureus (équivalent du bac français), les enseignements sont délivrés en allemand uniquement.
Ses filières d'excellence le classe comme le meilleur établissement secondaire de la ville, et l'un des meilleurs de l'État.
Il se situe dans l'ancien département de biologie de l'Université Santa Maria 1.
Données Politiques
Le maire actuel est L. Angelus (USC).
Transports
