Corps expéditionnaire Avalonnais
Le Corps Expéditionnaire Avalonnais (ou Avalaanse Expeditieleger en Néerlandais), est un corps expéditionnaire Avalonnais envoyé pour participer à la 1ère Guerre Mondiale sur le Territoire Belge et Français.
Sommaire
Composition de la Force Expéditionnaire
La force expéditionnaire est formée des unités de l'armée régulière du Grand Duché des Plaines de l'Avalon, avec un effectif de 2 divisions d'Infanterie et une division de Cavalerie, avec des unités de soutien soit environ 6 000 militaires. Les 3 divisions sont commandées de façon centralisée par le Grand Quartier Général.
Histoire
Le 3 août 1914, le territoire Belge est envahi par l'Empire Allemand. Le Gouvernement Belge demande au Grand Duc Philippe Ier des Plaines de l'Avalon, un soutiens militaire. Le Grand Duc et le Roi Albert Ier de Belgique était cousin et ceux-ci avait signé en 1913 un pacte de l'Alliance. Philippe Ier répond au Roi Albert le 4 août. Une grande partie de l'Armée Avalonnaise est réunie à Zotterveld le 5 août et fait marche vers le Papaya, d'où ils quitteront le Continent Simlandais le 16 août.
Les 7.000 hommes que composent le Corps arrivent au Congo Belge le 1er septembre 1914. Ils sont alors placé sous le Commandement du Général Belge, Alphonse de Laplace. Après quelques jours en Afrique, ils quittent Léopoldville et se rende enfin en Belgique. Ils débarquent le 9 octobre au Havre. Ils sont cantonné dans la campagne Normande en attendant leurs ordres de missions. Celui-ci arrive le 27 octobre à 18h. Ils sont envoyés vers les plaines de l'Yser.
Le matin du 28 octobre, ils font enfin leur baptême du feu. Le premier coup de canon du Corps est tiré par Jan Vermeert, un soldat issus de Zotterveld aux environs de Ramskapelle. Et le premier Avalonnais à tomber est un Auroréen de 25 ans, Jean Dupont, mort pour la patrie le 28 octobre 1914 à 18h30. Jean Dupont meurt au cour d'une embuscade qui coutera la vie à 12 Avalonnais menait par le Colonel Clément Blondiaux de Battignies, qui devint ainsi le premier officier de l'Armée Avalonnaise à tomber au champs d'Honneur.
Bataille d'Ypres (1914)
Bataille d'Ypres (1915)
Bataille de la Somme (1916)
Bataille de Messines (1917)
Bataille de Passendaele (1917)
2ième Bataille de Belgique (1918)
Armistice et retour à Simland (1920)
Le 11 novembre 1918, les Troupes alliées signent l'armistice. Les belligérants peuvent rentrer chez eux. A cette date, il y a quelques 8.789 Avalonnais présent sur le Territoire Belges essentiellement. Ils sont casernés dans la région de Flémalle, près de la Frontière Allemande. Tous attendent avec grande impatience, l'ordre de démobilisation et l'autorisation de rentrer au pays. Mais ceux-ci tardent à arriver. Le Corps expéditionnaire a été placé sous le commandement des Autorités Belges, et celles-ci ne semblent pas pressées de laisser les rentrer chez eux. Il faudra attendre octobre 1919, et l'intervention du Grand Duc Philippe Ier, pour que les Belges acceptent que le Corps rentrent dans les Plaines de l'Avalon.
Celui-ci rentre à Zotterveld le 13 janvier 1920. Soit 7 ans après leur départ, pour les vétérans de 1914. Le Grand Duc décerne 789 Médailles d'Honneur Militaires, les premières décernées. Une centaine de Croix de Guerres Françaises et Belges seront décernée à des militaires du Corps, ainsi qu'une centaine de Military Cross Britannique. Quatre noms sont à noter. Le Lieutenant Gilles Bodart de LaPlace et le Caporal François Bellemain reçoivent la Légion d'honneur pour un acte de bravoure durant la Bataille de la Somme. Le Sergent Adolphius VanMoer reçoit la Victoria Cross, pour acte de bravoure durant la Bataille de Passendaele. Le Capitaine Sylvain Deboer reçoit la Médaille d'Honneur du Congrès Américain, pour acte de bravoure lors de la seconde Bataille de Belgique.