Génésie Supérieure

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District de la Haute Génésie
Pays	Simland
Région/Etat	Génésie (GE) | 07
Langue majoritaire	Français
Autres langues courantes	Anglais, Simlish.
Administration
Chef-lieu	Junetown
Données statistiques et géographiques
Gentilé	Nordgénésien, Nordgénésienne
Population	1.710.000 hab.
Villes importantes	Junetown
Situation Géographique
Carte

La Haute Génésie (anciennement Génésie Supérieure sous le Bassin de Simland entre 2004 et 2011) est un District de Génésie. Son chef-lieu est Junetown. Terre d'origine de la Génésie, la Haute Génésie est fière de ses racines, qu'elle cultive précieusement. C'est le district le plus francophone de la Génésie, avec 81% de francophones, contre 18% d'Anglophones et 1% de Simlishophones.

Histoire

Les Origines

La Haute Génésie était à l'origine un territoire des Tribus Simérindiennes Yatupek. Leur capitale était Huansalk (Saint Julien), située sur un plateau presque invisible, et surnommée le "Macchu-Picchu Simlandais".

Le district, ainsi que tout l'est de la Génésie, était recouverte d'une épaisse forêt, la forêt Bienheureuse (dont il ne reste plus que la petite forêt à côté de Junetown et l'immense forêt des Spiritains), essentiellement faite de sapins et de chênes, dans lesquels les indiens agressifs se dissimulaient aisément.

Les Néerlandais (XVIIème Siècle)

Les Néerlandais arriveront dans le district vers 1620. Ils essaieront d'abord d'y fonder une colonie, Berlinhalt (Berlinages), mais ils ne réussiront jamais à anéantir leurs ennemis Yatupek. Berlinhalt était constamment pillée alors que Huansalk restait inconnue pour les colons. En 1641, le Gouverneur de Berlinhalt décide que la ville ne sera plus qu'un village étape vers leurs futures colonies du Maxisland et du Continental State.

L'arrivée des Français (1688-1724)

En 1688, Jacques Huillens arrive en Haute Génésie, et fonde Georgeville (Certaines sources disent que c'est en l'honneur de son père, nommé Georges. Mais cela reste sans preuve.) dans l'est de la Haute Génésie, puis Fort Coridon (Avalo), et enfin Fort Cholon (Saint-Laurent), où il s'installe. L'expédition fut particulièrement bien accueillie par les autochtones, contrairement au sort qu'ils avaient réservé aux néerlandais quelques années plus tôt. Le charisme de Huillens a joué pour beaucoup, il a réussi à les amadouer en leur offrant nombres d'objets précieux, en échange, les autochtones leur montraient leurs techniques de survie, et notamment une solution contre le scorbut à base d'écorce de cèdre, alors que la maladie commençait à décimer un à un les explorateurs. Il réussira alors à passer un pacte d'alliance avec eux, qui les aideront en cas d'attaque des néerlandais puis des anglais qui, eux aussi commencent à explorer cette région du monde avec grand intérêt. Huillens prendra possession de cette terre qu'il nommera Nouvel-Hainaut, du nom de sa province natale. Cependant, peu de ressources seront exportées vers la France, d'où un désintérêt de la Métropole pour cette province.

La Génésie Centrale sera alors le centre de la Génésie, mais cela ne sera que provisoire.

Villejuin la puissante (1724-1876)

Villejuin (Junetown), fondée en 1824 par le célèbre Gilles Lamenon de Saurennes, deviendra vite une forteresse imprenable, grâce à ses murs le long des rivages de l'île, recouverte de champs et, bien sûr, de la ville de Villejuin. Elle dépasse vite Saurennes par sa puissance commerciale et économique. La Génésie se décentralise (sauf politiquement) vers la Haute Génésie, qui devient le moteur économique de la Génésie, alors que le Général Philippe Grisot déclare l'indépendance de la Génésie.

En 1818, les Yatupek se rebellent contre la déforestation et la marginalisation dont ils sont les victimes. Grâce à un agent infiltré, ils découvrent Huansalk. A peine un mois après le début de la rébellion, cette ville est prise et les Yatupek sont définitivement écrasés. Huansalk est rasée, et une bourgade chrétienne est fondée à la place : Saint Julien.

En 1719, une base arrière de l'armée est bâtie à Saint George, pour, éventuellement, pouvoir conquérir le Queens, Ramur Town et Eastern Riverside, avec l'aide du Duché de Nevis voisin, avec qui la Génésie entretient des relations cordiales depuis toujours, via leur histoire commune. Elle servira dès 1924, avec l'entrée de la Génésie dans l'Alliance et dans la Guerre de Nevis, aux côtés du Duché de Nevis.

Après l'échec de la guerre et la décadence de la Génésie, la Haute Génésie continuera à briller, jusqu'à la chute définitive en 1876, avec la prise de Villejuin par les troupes Britanniques venant du Queens, la fin de la Génésie, et la proclamation du Protectorat Britannique de Midland.

De Midland au Bassin de Simland (1876-2011)

La gestion britannique de la Haute Génésie sera relativement mauvaise, et le district devra faire face aux "joies du Colonialisme" (expression du Gouverneur de Midland en 1921).

C'est de la Haute Génésie qu'a commencé la révolution de 1956, ayant abouti à l'indépendance du Bassin de Simland. La Haute-Génésie entrera, avec le Bassin de Simland - qui possède alors le territoire des Grands Lacs depuis 1924 avec l'invasion Midlandaise - dans la Confédération Simlandaise. 8 ans plus tard, après une séparation puis une réunification avec les Grands Lacs-Columbia, la Génésie Supérieure est renommée Haute Génésie, avec pour capitale Junetown.