Aubétoile
Aubétoile Métropole | |
Localisation | |
Administration | |
Pays | Simland |
Région | Plaines de l'Avalon |
Etat | Maxisland |
Province | Haut Maxisland |
Commune | Aubétoile |
Géographie | |
Population | 200.000 |
Superficie | inconnue |
Fleuves | Avalon, Coise |
Politique | |
Maire | Sébastien C. Musicateur |
Majorité | |
Sièges | 30 |
19 | |
8 | |
2 | |
SE | 1 |
Population Aire Urbaine | |
inconnue | |
Autres informations | |
Langue | Français et très minoritairement Anglais et Néerlandais |
Aéroport | / |
Topic de la ville | Aubétoile sur Simland |
La Ville d'Aubétoile se situe dans les Plaines de l'Avalon, dans le Maxisland au bord de l'Avalon entre Saint-Louis sur Avalon et Saint Jean sur Avalon. Ses habitants sont les Aubétien(ne)s. La ville est connue pour ses monuments, ses jardins et sa cuisine.
Le nombre exact des habitants n'est pas encore connu, le premier recensement partiel a déjà comptabilisé 200 000 habitants (3 août 2013).
Sommaire
Géographie
Topographie
La région d'Aubétoile est très vaste. Elle est constituée majoritairement de plaines, avec quelques petites collines en bordure d'Avalon, et de plus hautes dans la périphérie de sa région, qui sont souvent enneigées à leur sommet en hiver.
Hydrographie
Bordée par l'Avalon, Aubétoile et sa région comportent aussi un grand nombre de rivières qui prennent naissances dans les collines et irriguent les plaines sur un court trajet avant de se jeter dans l'Avalon. La plus grande, la Coise, forme un petit delta marécageux à son embouchure dans l'anse de Corsac, sorte de crique naturelle à l'abris des courants de l'Avalon. Toutes ces rivières, ainsi que les nombreuses nappe phréatiques, assurent un apport en eau important.
Faune et flore
Si les plaines servent à l'agriculture, les collines elles abritent des forêts de feuillus et quelques conifères. Seul le delta de la Coise abrite un biotope marécageux. La région est riche en divers poissons d'eau douce, du fait qu'elle possède une grande quantité de différents types d'eau douce (du lac au torrent froid et vif, en passant par le grand fleuve, un delta et divers étangs et autres points d'eau).
Histoire
Epoque pré-colonisation
Aubétoile et ses alentours possèdent très peu de traces de la période pré colonisation. D'après le peu de traces présentes, les chercheurs en ont déduit que jusqu'en -100, la région n'a pas connu d'habitats sédentaires, tout juste des traces de migration passagère. Ce n'est qu'à partir de cette date qu'on constate l'installation de quelques campements sédentaires, ainsi que des premières cultures. Pendant près d'un millénaire et demi, toute la région sera petit à petit cultivée par des petites fermes indigènes. Les restes de charrettes, de barques de transport, de chantier de bois pour construire ces véhicules, ainsi que les traces d'un aménagement des berges semblent indiquer que déjà les autochtones pratiquait une sorte de commerce de leurs ressources, surement contre d'autres denrées avec l'empire Mayen au nord. Les historiens ne peuvent dire si il s'agissait d'un comptoir Mayen ou d'une simple tribu indépendante.
Établissement du premier comptoir européen et expansion de la ville
En 1717, les premiers anglais découvrent l'anse de Corsac et ses fermes autochtones. Trouvant un intérêt à cette crique et ses plaines déjà cultivées, ils décidèrent d'y installer un port, un autre directement sur le fleuve, une colonie et de réquisitionner les fermes pour leur propre compte en forçant les autochtones à travailler bien plus. Cette toute nouvelle colonie s'appela Barnport. Avec ses cultures déjà présentes, la colonie présenta un grand intérêt, voyant arriver un bon nombre de colons (surtout des matelots et des comptables pour gérer le stocks), la colonie devint rapidement une petite ville (1000 habitants). Pendant presque 40 ans, l'importance de la ville s'accrue, mais sa population moins. En effet celle-ci était plus considérée comme un grenier et une escale commerciale que comme un endroit où installer des colons. La population maximum fut de 2000 habitants.
Le manque de population, ainsi que le fait de privilégier les navires de transport de marchandises rendit la ville sans défenses. Ainsi en décembre 1759, les français, sous l'ordre d'Etienne de Galmier, envahirent Barnport, expulsant les matelots anglais par peur de sabotage de leur part. Ils libérèrent aussi les indigènes, qui traumatisés d'avoir été mis en esclavage pendant toutes ces années, rejoignirent l'empire Mayen au Nord. Les français en manque de comptoirs dans cette région amenèrent donc massivement des colons afin d'avoir un point d'attache important. Si les nouveaux fermiers et tout les nouveaux corps de métiers importés se sont retrouvés être brillants, ce n'est pas le cas des matelots français. Ajouté à une gestion portuaire médiocre et le fait que certains matelots anglais expulsés restèrent finalement aux alentours pour faire de la piraterie (au service des anglais), le port perdit de son importance et de sa qualité. Il se délabra donc au fil des ans, avant d'être quasi abandonné, à part quelques quais vitaux à la ville. La construction d'un fort au milieu du fleuve pour défaire les corsaires anglais, le fort de Corsac, fut une des raisons de sa persistance. C'est d'ailleurs à cause de ces attaques de corsaires que l'anse fluviale se nomma Corsac. Les attaques ne durèrent pas longtemps, le fort nouvellement construit ajouté à la présence militaire navale et terrestre dans la ville stoppèrent rapidement ces attaques. Le commerce et le transport fluvial ne furent donc pratiquement pas impactés.
La ville fut rebaptisée Aubétoile car le ciel était souvent dégagé pour voir le étoiles, et les levers de soleil à travers les quelques colline étaient d'une beauté impressionnante. La population maximum atteignit 5000 personnes. L'histoire de la ville sera ensuite liée à celle du Maxisland, et à la fin du XVIII° il y eu un afflux de colons qui fit passer la population de la ville à 10 000 habitants.