Marche d'Hudson
La "Marche de l'Hudson" (encore appelé "la marche hudso-rétane") est l'hymne de l'Etat fédéré d'Hudson-Rétanie. Il a été écrit par John Van Bricken en 1944 et chanté pour la première fois en 1945 à la fin de la guerre. A l'époque la confédération hudsonoise a fait de cette hymne un moyen de "motiver les soldats" et en a fait un outil de propagande nationaliste dans les années 50 et 60.
En 2003, elle fut conservée comme étant l'hymne officiel de l'Etat d'Uluru. En 2007 lorsque le Whyalla et l'Uluru se sépare, les deux Etats se disputent l'hymne sans toute fois l'officialiser, il faudra attendre la fusion uluru-Whyalla et le traité de Lyonance en 2010 pour que les disputes cessent et que la marche de l'Hudson redevienne l'hymne officiel de l'Etat fédéré.
Son créateur John Van Briocken était un musicien né à Zotterveld en 1890. En 1940 , il propose ses oeuvres à des opéras avalonais qui le refuse. Il décide donc d'aller à Kasteelheer où son oeuvre est acceptée pour la première fois. Van Bricken décéde en 1986 et est à l'origine de plus de 15 "hymnes", toutefois il en aboutira qu'une seule: la marche de l'Hudson en 1944.
L'hymne a été traduite de l'Houdois à l'anglais dès 1945 et de l'houdois au français en 1951. Il fut traduit en langue Chilwaukan en 2004 bien que les Chilwaukan possèdent un autre hymne non reconnu par les autorités hudsonoises.
Paroles
1ère strophe
Sur nos monts, quand le soleil
Annonce un brillant réveil,
Et prédit d'un plus beau jour le retour,
Les beautés de la patrie
Parlent à l'âme attendrie;
Au ciel montent plus joyeux
Au ciel montent plus joyeux
Les accents d'un coeur,
Les accents émus d'un coeur.
2ème strophe
Lorsqu'un doux rayon du soir
Joue encore dans le bois noir,
Le coeur se sent plus heureux.
Loin des vains bruits de la plaine,
L'âme en paix est plus sereine,
Au ciel montent plus joyeux
Au ciel montent plus joyeux
Les accents d'un coeur,
Les accents émus d'un coeur.
3ème strophe
Lorsque dans la sombre nuit
La foudre éclate avec bruit,
Notre coeur presse;
Dans l'orage et la détresse
Il est notre forteresse;
Offrons-lui des coeurs:
Offrons-lui des coeurs:
4ème strophe
Des grands monts vient le secours;
Hudson, espère en Dieu toujours!
Garde la foi des aïeux, Vis comme eux!
Sur l'autel de la patrie
Mets tes biens, ton coeur, ta vie!
C'est le trésor précieux
C'est le trésor précieux