Aubétoile
Aubétoile Métropole | ||||
Localisation | ||||
Administration | ||||
Pays | Simland | |||
Région | Plaines de l'Avalon | |||
Etat | Maxisland | |||
Province | Haut Maxisland | |||
Commune | Aubétoile | |||
Géographie | ||||
Population | 400.000 | |||
Gentilé | Aubétien, Aubétienne | |||
Superficie | inconnue | |||
Fleuves | Avalon, Coise | |||
Politique | ||||
Maire | Sébastien C. Musicateur | |||
Majorité | ||||
Sièges | 30 | |||
22 | ||||
5 | ||||
SE | 2 | |||
DVE | 1 | |||
Aire Urbaine | ||||
Population | Inconnue | |||
Nombre de communes | Inconnu | |||
Autres informations | ||||
Langue | 90% Français | 30% Anglais | 20% Néerlandais | (% de personnes le parlant couramment] |
Aéroport | Aubétoile - Baran | |||
Topic de la ville | Aubétoile sur Simland |
La Ville d'Aubétoile ou Daanstaar se situe dans les Plaines de l'Avalon, dans le Maxisland au bord de l'Avalon entre Saint-Louis sur Avalon et Saint Jean sur Avalon. Ses habitants sont les Aubétien(ne)s. La ville est connue touristiquement pour ses monuments, ses jardins, sa cuisine ainsi que son vin. En dehors de cela plusieurs grandes entreprises (textile, agroalimentaire, high-tech, finance, patrimoine) en font sa renommée. Son agglomération regroupe plusieurs villes, petites, moyennes ou grandes, aux profils très différents.
Le nombre exact des habitants n'est pas encore connu, le dernier recensement partiel a déjà comptabilisé 400 000 habitants (08 octobre 2013).
Sommaire
Géographie
Topographie
La région d'Aubétoile est très vaste. Elle est constituée majoritairement de plaines, avec quelques petites collines en bordure d'Avalon, et de plus hautes dans la périphérie de sa région, qui sont souvent enneigées à leur sommet en hiver.
Hydrographie
Bordée par l'Avalon, Aubétoile et sa région comportent aussi un grand nombre de rivières qui prennent naissances dans les collines et irriguent les plaines sur un court trajet avant de se jeter dans l'Avalon. La plus grande, la Coise, forme un petit delta marécageux à son embouchure dans l'anse de Corsac, sorte de crique naturelle à l'abris des courants de l'Avalon. Toutes ces rivières, ainsi que les nombreuses nappe phréatiques, assurent un apport en eau important.
Faune et flore
Si les plaines servent à l'agriculture, les collines elles abritent des forêts de feuillus et quelques conifères. Seul le delta de la Coise abrite un biotope marécageux. La région est riche en divers poissons d'eau douce, du fait qu'elle possède une grande quantité de différents types d'eau douce (du lac au torrent froid et vif, en passant par le grand fleuve, un delta et divers étangs et autres points d'eau).
Climat
Comme le reste du Maxisland et des Plaines de l'Avalon, la ville connaît un climat semi-continental. Les hivers y sont plutôt froids et enneigés, les étés secs et chauds. Les intersaisons connaissent des épisodes pluvieux intenses, mais paradoxalement aussi un niveau d'ensoleillement non négligeables. Ils sont un peu plus doux que le reste des Plaines de l'Avalon, étant plus au sud, ce qui permet la culture de quelques vignes.
Histoire
Epoque de la pré-colonisation
Aubétoile et ses alentours possèdent très peu de traces de la période pré colonisation. D'après le peu de traces présentes, les chercheurs en ont déduit que jusqu'en -100, la région n'a pas connu d'habitats sédentaires, tout juste des traces de migration passagère. Ce n'est qu'à partir de cette date qu'on constate l'installation de quelques campements sédentaires, ainsi que des premières cultures. Pendant près d'un millénaire et demi, toute la région sera petit à petit cultivée par des petites fermes indigènes. Les restes de charrettes, de barques de transport, de chantier de bois pour construire ces véhicules, ainsi que les traces d'un aménagement des berges semblent indiquer que déjà les autochtones pratiquait une sorte de commerce de leurs ressources, surement contre d'autres denrées avec l'empire Mayen au nord. Les historiens ne peuvent dire si il s'agissait d'un comptoir Mayen ou d'une simple tribu indépendante.
Établissement du premier comptoir européen et expansion de la ville
En 1717, les premiers anglais découvrent l'anse de Corsac et ses fermes autochtones. Trouvant un intérêt à cette crique et ses plaines déjà cultivées, ils décidèrent d'y installer un port, un autre directement sur le fleuve, une colonie et de réquisitionner les fermes pour leur propre compte en forçant les autochtones à travailler bien plus. Cette toute nouvelle colonie s'appela Barnport. Avec ses cultures déjà présentes, la colonie présenta un grand intérêt, voyant arriver un bon nombre de colons (surtout des matelots et des comptables pour gérer le stocks), la colonie devint rapidement une petite ville (1000 habitants). Pendant presque 40 ans, l'importance de la ville s'accrue, mais sa population moins. En effet celle-ci était plus considérée comme un grenier et une escale commerciale que comme un endroit où les colons venaient s'installer. La population maximum fut de 2000 habitants.
Le manque de population, ainsi que le fait de privilégier les navires de transport de marchandises rendit la ville sans défenses. Ainsi en décembre 1759, les français, sous l'ordre d'Etienne de Galmier, envahirent Barnport. Ils expulsèrent tout les marins anglais refusant de prêter allégeance au roi. Ils libérèrent aussi les indigènes, qui traumatisés d'avoir été mis en esclavage pendant toutes ces années, rejoignirent l'empire Mayen au Nord. Les français en manque de comptoirs dans cette région amenèrent donc massivement des colons afin d'avoir un point d'attache important. Si globalement tout les nouveaux colons étaient performants dans leur corps de métiers, ce n'est pas le cas des matelots français. Ceci ajouté à une gestion portuaire médiocre et au fait que certains matelots anglais expulsés restèrent finalement aux alentours pour faire de la piraterie (au service des anglais), le port perdit de son importance et de sa qualité. Il se délabra donc au fil des ans, avant d'être quasi abandonné, à part quelques quais vitaux à la ville. Les routes s'étant quelques peu développées le transport de denrées pu continuer et suffire au maintien de la ville. La construction d'un fort au milieu du fleuve pour défaire les corsaires anglais, le fort de Corsac, fut une des raisons de sa persistance et de son renouveau. C'est d'ailleurs à cause de ces attaques de corsaires que l'anse fluviale se nomma Corsac. Les attaques ne durèrent pas longtemps, le fort nouvellement construit ajouté à la présence militaire navale et terrestre dans la ville stoppèrent rapidement ces attaques. Le commerce et le transport fluvial ne furent donc pratiquement pas impactés.
La ville fut rebaptisée Aubétoile car il se trouva qu'Etienne de Galmier se passionna sur place pour le ciel, le étoiles et les couchers de soleil. La situation de la ville étant parfaite pour observer l'astronomie, ce nom lui vint rapidement à l'esprit. La population maximum atteignit 5000 personnes. L'histoire de la ville sera ensuite liée à celle du Maxisland, et à la fin du XVIII° il y eu un afflux de colons qui fit passer la population de la ville à 20 000 habitants.
Le début du XIXème : indépendance et savoir
Le flux de nouveaux arrivants continu, l'essor économique de la ville et la mainmise de la Génésie sur les villes maxislandaises fit s'écarter la famille de Galmier de la tutelle génésienne pour une indépendance plus neutre. La présence de populations anglaises (datant de la fondation de la ville) et hollandaises (qui se sont arrêtées là alors qu'elle remontaient vers le Continental State) fit même pencher la balance en faveur d'une discrète mais intense collaboration avec les Continentaux. Profitant de ces bonnes relations avec les deux entités, Aubétoile pu s’agrandir en paix, développant au passage les première installations industrielles possibles de l'époque. Les de Galmier étant cultivés et friands de technologie et savoir, ils avaient accueilli un grand nombre de scientifiques et inventeurs, participant ainsi activement à la modernisation perpétuelle de la ville. L'Institut Supérieur des Sciences et Savoir d'Aubétoile fut fondée en 1814, devenant en quelque sorte la première université Avalonaise. A partir de 1825 se mis en place un réseau de navires de contrebande en destination du Nord afin d'apporter du soutien au Continental State lors du blocus par la Génésie. La ville continuait en parallèle de vendre à prix fort des ressources aux génésiens. Et ce schéma se perpétua jusqu'en 1939 et la fin de la guerre. Aubétoile s'enrichit ainsi du commerce avec la Génésie et le CS tout en n'ayant pas à affronter le problèmes matériels et civiles de la guerre. La ville vit aussi sa population exploser avec un afflux de gens fuyant les confits.
Ville du Grand Duché des Plaines de l'Avalon | |
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