Amache Picha-ak

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Amache Picha-Ak (aussi appelée Ampiak) est une ville de la région de Papaya. Sa position stratégique entre le nord et le sud du pays, ses infrastructures en pleine rénovation, ainsi que sa population jeune et métissée, font de la ville un centre culturel et financier important dans le nord de la région.

AMACHE PICHA-AK
Logoampiak.png
Villes de Simland
Surnom Ampiak
Localisation
Pays Drapeau de la Nation de Simland.jpg Simland
Etat Papayadrapeau.jpg Papaya
Administration
Maire Carlos Piak (2014-2018)
Secteurs 8
Démographie
Population 1 477 311 hab.
Langues officielles Espagnol, Français et Anglais
Economie
Aéroport Aeropuerto Internacional Ras Arak
Jumelages
Amérique du Sud Caracas [1] Bogota [2]
Asie Hà Noi[3] Ulaɣan Baɣatar[4]
Afrique Kaapstadt[5] Luanda [6]
Amérique Centrale Ciudad de Guatémala [7] San José [8]
Europe Madrid [9] Köln [10]
Amérique du Nord Toronto[11] Monterrey [12]
Topic de la ville

Histoire

1010 - 1492: Des villages des pécheurs sur les Iles d'Amache et de Picha

Picha vers 1211, reconstruction virtuelle par l'Institut d’Archéologie d'Ampiak -IAA

Selon les résultats des dernières fouilles entreprises autour de la pyramide de Davendas, des tribus autochtones auront établies deux petits villages sur les îles sur le fleuve Petit Omega (qu'ils appelaient Ak) vers l'année 1010, la position sur les îles les garantissant protection en cas d'attaque et un contrôle total sur les ressources disponibles. Au fur et à mesure que les villages grandissaient, ils finiront pour fusionner dans une seule ville qui comptait plus de quinze mil habitants à l'arrivée des espagnols.

Les villages étaient composées des maisons multifamiliales (appelées Bururus) pour quatre familles qui composaient à leur fois, des clan.
Les clans étaient les bases de la société et déterminaient les liens sociaux. Les clans étaient représentés chacun par un porte parole (appelé Misifui) qui communiquait au conseil des porte paroles (le Mochiak) les orientations et dans la plupart du temps, les conflits mineurs entre les clans. Au Mochiak les décisions étaient prises par votation. Un majorité (70%) servaient déjà à faire valider lois et décrets qui régissaient la communauté. Néanmoins, un vrai gouvernement central n'existait pas, les clans formaient des alliances qui servaient à lever des armées pour attaquer les villages sur la côte et piller leur dépôts de nourriture et armes.

1492 - 1784: Les espagnols et Santa Maria de las planas y agua

Cathédrale de Santa Maria(aujourd'hui disparue) Image virtuelle courtoisie de l'IAA

En 1492 débarquèrent les espagnols en provenance des côtes, les deux villages ont été saccagés et les envahisseurs se sont rapidement installés sur les îles. Le avant-poste a été rebaptisé Santa Maria de la planas y agua et après que les espagnols décidaient d'installer une ville qui servira de base pour explorer l'intérieur des terres, ils l'ont dotée des infrastructures et étendu vers la terre ferme (Pantanal) en asséchant les marées.
Les Espagnols ont aussi amené avec eux leur religion, le catholicisme et interdisant le culte aux dieux jusqu’à alors vénéré dans les contrées ont réussi à imposer leur culture dans la région. Un somptueux palais, des rues pavées, des maisons en pierre, une cathédrale pouvant accueillir 600 personnes, pendant ce qui les Amachinos appellent « l’occupation » la population a augmenté à 150 000 personnes à la fin du XVI siècle, plus de 300 000 personnes au XIX siècle.
Les espagnols profitèrent des abondants ressources en bois, mais aussi des plantations de fruits, de la pèche, mais c’est surtout le gypse extrait dans les environs qui a servi à créer la première vraie industrie de transformation dans la ville, des sculpteurs et bâtisseurs se pressaient dans les rues du marché de gypse (appelé marché blanc, aujourd’hui Monte Sacro) pour se procurer le matériel, le grain du gypse amachino étant très fin, il s’adaptait parfaitement à la création des sculptures ce qui fera sa renommée en Europe.

La ville a connu son heure de gloire à la fin du XVIII mais l'exploitation des mines européennes (surtout en France) ont mis un frein à l’expansion économique, les soulèvements devinrent fréquents et le XIX siècle apportera des vents de liberté dans la région.

1784 - 1810: De l’insurrection à l'indépendance

Boulevard Rafael de Torti avec la Place de L’Insurrection de 1784 (haut à gauche) et le Stade des Chigüires de Amache

Rafael de Torti était le fils d’un de plus grands banquiers de la ville, ayant grandi dans le luxe et la débauche, il finira pour sentir battre la veine patriotique en lui, ce qui l’amènera à lutter pour plus d’égalité et dans le but ultime de libérer la ville du pillage de ses ressources par la mère patrie. Montant une armée composée des fermiers et des fonctionnaires, ils attaquèrent le fort d’Amache la nuit pour créer u effet surprise et malgré des pertes importantes aux rangs de l’armée coloniale, ils seront massacrés. Mais cette massacre sera le point de rupture et bientôt toute la ville se soulèvera contre la puissance coloniale, des simples citoyens deviendront des résistants et avec des actions ciblées, plus petites mais tout aussi efficaces, ils réussirent à faire reculer les forces d’occupation jusqu’à leur expulsion totale l’année 1810.
Les espagnols ont fini pour battre en retraite (bataille de la Casa de Campo 11 mai 1810) mais la ville était dévastée et les hommes blessés ou morts au combat. La liberté avait été obtenu mais le prix payé allait marquer la ville définitivement, au point de provoquer sa presque disparition, le XIX siècle sera le siècle où la ville devra lutter pour sa survie, toute seule cette fois-ci.

1811- 1902: Inondations et famine, le châtiment divin (Castigo divino)

Les ruines du Fort de Amache vers 1915 - IAA

Après le départ des espagnols, suivirent des années de famine. Le petit Omega, avec ses imprévisibles crues ont fini pour donner le coup de grâce à la ville, sa population a été réduite à pas plus de dix mille âmes qui luttaient pour survivre dans ce lieu qui semblait abandonné par les dieux. Les habitants se rappellent des années sombres qu’ils appelèrent « Castigo Divino » les anciens dieux se seront fâchés du manque de vénération, le nouveau du retour au paganisme. Les deux communautés s’affrontèrent, des fois de façon sanglante. Ce n’est qu’avec la signature des accords du Mont des Amants le 14 avril 1901 que la paix reviendra dans la ville et une période de stabilité le suivra, où la ville reprendra le chemin de la prospérité.

1903- 1958: La renaissance

Carte des premiers boulevards de la ville vers 1920

Le XX siècle amènera avec lui le premier vrai plan de développement de la ville, sous l’impulsion du gouvernement d’union fraîchement élu et profitant du redémarrage de la demande en matériaux de construction, les caisses de la ville se rempliront à nouveau et des projets d’assainissement des quartiers insalubres, ainsi que le traçage des boulevards et des nouveaux ponts attireront des nouveaux résidents et la population grandit rapidement, des bidonvilles se formèrent dans les collines au nord (Yasuri-Yamileth) mais malgré ça, la ville réussit sa renaissance et au milieu du xx siècle, sa population approchait le million des personnes.

1959- 2014: De Ana Maria Pitona à Carlos Piak

Ana Maria Pitona - Maire d'Amache Picha Ak de 1959 à 1980

Les élections de 1959 seront gagnées par la jeune politicienne amachina (elle n’avait que 26 ans) architecte de formation et avec une vision claire de la direction à prendre. Appelée « la pharaonne » elle s’efforcera à réorganiser la ville en secteurs eux-mêmes divisés en quartiers améliorant ainsi la mise en place des services publiques. Les premières lignes de bus verront aussi le jour sous son mandant mais c’est le quartier des Ministères (quartier où siègent les institutions de la ville) qui restera son plus grand projet et qui la mènera à sa perte, le pastiche des bâtiments néoclassiques ayant coûté une fortune qui videront les caisses pour un effet assez tempéré dans la population. Après son départ, les maires qui se sont succédé à la tête de la ville, ne semblaient pas avoir ni la vision, ni le courage d’entreprendre les changements nécessaires pour assainir et embellir la ville, ce n’est qu’avec l’arrivé de Carlos Piak à La Casona (où siège le maire) qu’Amache Picha-Ak se rêve à nouveau un futur plus prometteur, le nouveau maire ayant décidé de relancer les grand travaux de rénovation visant à rendre la ville plus cohérente, facilitant la mobilité et améliorant la qualité de vie avec des parcs et zones vertes.

Géographie

Situation, topologie et climat

Position de la ville

La ville se trouve au nord de Papaya sur le passage le plus étroit du Petit Omega. La ville est relativement plate, son point le plus élevé est le Monte Sacro (275 m) son point le plus bas, le quartier de Sacnite (2m).
Le climat est de type méditerranéen mais d'influence tempérée ce qui donne des étés chauds et humides et des hivers froids et secs.

Mois Janv Fév Mars Avr Mai Juin Juil Août Sept Oct Nov Déc Année
Températures minimales moyennes (°C) 3.2 6.7 12.3 13.2 17.1 21.2 22.8 23.2 20.8 18.1 14.6 11.1 15,3
Températures moyennes (°C) 5,9 8,9 13,2 14,4 19,1 22,9 24,7 25,6 26,5 23,7 18,6 12,9 18,1
Températures maximales moyennes (°C) 8,7 11,2 14,1 15,6 21,2 24,6 26,7 28,1 30,2 29,4 22,7 14,8 20,6
Moyennes mensuelles de précipitations (mm) 92.4 52.5 68.3 75.1 51.7 19.2 17.7 12.2 28.8 110.6 90.4 74.1 693
Record de froid (°C) -11,6 -7,8 -5,1 1,1 3,9 7,2 8,8 11,6 9,5 4,2 -6,6 -10,2 -11,6
Record de chaud (°C) 18,6 20,7 21,2 25,4 28,6 35,2 37,9 39,6 32,4 30,2 27,3 25,2 39,6
(Relevés effectués par le Centre Météorologique de Amache Picha-Ak)