Fièvre hémorragique du Queens : Différence entre versions

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Le premier septembre dernier, soit quelques heures seulement après la création de l'Organisation Nationale Simlandaise de la Santé, les autorités sanitaires locales du Queens notifient à l'ONSS des cas suspects de fièvre hémorragique, on signale déjà de nombreux malades et décès. Après de multiples analyses faisant craindre le virus Marburg ou encore Ebola, il ne s'agit d'aucune fièvre hémorragique connue. La fièvre hémorragique du Queens est unique: elle a la particularité d'une transmission inter-humaine avérée et soutenue, chose qu'aucune autre ne possède. S'ensuit une épidémie dans l'état du Queens mais aussi en Génésie, Papaya, Lewsland et Plaines de l'Avalon. Après plus d'un mois de lutte acharnée, l'ONSS déclare la fin de l'épidémie le premier octobre 2013. Le bilan final est très lourd: en moins d'un mois, le virus a contaminé 17 000 personnes et causé la mort de 6000 d'entre-elles. Par chance, l'épidémie n'a pas atteint d'autres états ou pays. Le directeur général de l'époque, Aaron Newton, déclare le 3 octobre 2013 que "le monde aurait pu être confronté à une pandémie de grande ampleur de par les caractéristiques de ce virus".
 
Le premier septembre dernier, soit quelques heures seulement après la création de l'Organisation Nationale Simlandaise de la Santé, les autorités sanitaires locales du Queens notifient à l'ONSS des cas suspects de fièvre hémorragique, on signale déjà de nombreux malades et décès. Après de multiples analyses faisant craindre le virus Marburg ou encore Ebola, il ne s'agit d'aucune fièvre hémorragique connue. La fièvre hémorragique du Queens est unique: elle a la particularité d'une transmission inter-humaine avérée et soutenue, chose qu'aucune autre ne possède. S'ensuit une épidémie dans l'état du Queens mais aussi en Génésie, Papaya, Lewsland et Plaines de l'Avalon. Après plus d'un mois de lutte acharnée, l'ONSS déclare la fin de l'épidémie le premier octobre 2013. Le bilan final est très lourd: en moins d'un mois, le virus a contaminé 17 000 personnes et causé la mort de 6000 d'entre-elles. Par chance, l'épidémie n'a pas atteint d'autres états ou pays. Le directeur général de l'époque, Aaron Newton, déclare le 3 octobre 2013 que "le monde aurait pu être confronté à une pandémie de grande ampleur de par les caractéristiques de ce virus".
Le premier novembre 2013, un mois après la fin de l'épidémie, un nouveau cas est confirmé dans l'état du Queens, il s'agit d'une fillette de 8 ans. Mais après de multiples analyses, la souche virale observée n'est pas la même que la souche responsable de l'épidémie: il s'agit en fait d'une nouvelle souche, visiblement moins pathogène que la première. Il ne s'agira finalement que d'un cas isolé et aucun autre cas ne sera recensé.
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Le premier novembre 2013, un mois après la fin de l'épidémie, un nouveau cas est confirmé dans l'état du Queens. Mais après de multiples analyses, la souche virale observée n'est pas la même que la souche responsable de l'épidémie: il s'agit en fait d'une nouvelle souche, visiblement moins pathogène que la première. Il ne s'agira finalement que d'un cas isolé et aucun autre cas ne sera recensé.
 
Mais le 15 novembre 2013, les autorités sanitaires locales de Méridionie notifient à l'ONSS des cas suspects de fièvre hémorragique. Après analyses, il s'agira de la fièvre hémorragique du Queens souche faiblement pathogène. Le 29 novembre 2013, le stade d'épidémie est déclaré alors que l'on recense plus de 3000 cas dont 97 décès dans l'état de Méridionie.
 
Mais le 15 novembre 2013, les autorités sanitaires locales de Méridionie notifient à l'ONSS des cas suspects de fièvre hémorragique. Après analyses, il s'agira de la fièvre hémorragique du Queens souche faiblement pathogène. Le 29 novembre 2013, le stade d'épidémie est déclaré alors que l'on recense plus de 3000 cas dont 97 décès dans l'état de Méridionie.
  

Version du 8 décembre 2013 à 13:15

La fièvre hémorragique du Queens est une fièvre hémorragique à caractère épidémique. Son nom provient de l'état simlandais où fut pour la première fois identifié le filovirus. Il existe deux souches pathogènes connues:
- la souche primaire et hautement pathogène, avec une mortalité atteignant environ 35%.
- la deuxième souche, dite faiblement pathogène, avec une mortalité moindre de l'ordre de 3% environ mais tout de même très contagieuse.

Histoire

Le premier septembre dernier, soit quelques heures seulement après la création de l'Organisation Nationale Simlandaise de la Santé, les autorités sanitaires locales du Queens notifient à l'ONSS des cas suspects de fièvre hémorragique, on signale déjà de nombreux malades et décès. Après de multiples analyses faisant craindre le virus Marburg ou encore Ebola, il ne s'agit d'aucune fièvre hémorragique connue. La fièvre hémorragique du Queens est unique: elle a la particularité d'une transmission inter-humaine avérée et soutenue, chose qu'aucune autre ne possède. S'ensuit une épidémie dans l'état du Queens mais aussi en Génésie, Papaya, Lewsland et Plaines de l'Avalon. Après plus d'un mois de lutte acharnée, l'ONSS déclare la fin de l'épidémie le premier octobre 2013. Le bilan final est très lourd: en moins d'un mois, le virus a contaminé 17 000 personnes et causé la mort de 6000 d'entre-elles. Par chance, l'épidémie n'a pas atteint d'autres états ou pays. Le directeur général de l'époque, Aaron Newton, déclare le 3 octobre 2013 que "le monde aurait pu être confronté à une pandémie de grande ampleur de par les caractéristiques de ce virus". Le premier novembre 2013, un mois après la fin de l'épidémie, un nouveau cas est confirmé dans l'état du Queens. Mais après de multiples analyses, la souche virale observée n'est pas la même que la souche responsable de l'épidémie: il s'agit en fait d'une nouvelle souche, visiblement moins pathogène que la première. Il ne s'agira finalement que d'un cas isolé et aucun autre cas ne sera recensé. Mais le 15 novembre 2013, les autorités sanitaires locales de Méridionie notifient à l'ONSS des cas suspects de fièvre hémorragique. Après analyses, il s'agira de la fièvre hémorragique du Queens souche faiblement pathogène. Le 29 novembre 2013, le stade d'épidémie est déclaré alors que l'on recense plus de 3000 cas dont 97 décès dans l'état de Méridionie.

Réservoir viral

Contrairement à ce qu'avait annoncé l'ONSS précédemment, le réservoir viral ne semble pas être la chauve-souris. Un animal vecteur étant par définition un animal porteur du virus mais asymptomatique, il a été prouvé que les chauves-souris développent des symptômes plus ou moins sévères semblables aux symptômes chez un humain et pouvant conduire au décès. Le réservoir viral n'est donc pas connu à ce jour.

Pouvoir pathogène

La période d'incubation du virus est relativement courte et varie de 48 à 72 heures. Une fois le sang infecté, le virus se réplique rapidement dans les cellules de la personne infectée et sature son système immunitaire. Les cellules les plus concernées semblent être les cellules sanguines. La progression de la maladie entraîne généralement des lésions sur de nombreux organes en particulier les reins et le foie. Ceci provoque des hémorragies internes et assez fréquemment externes plus ou moins importantes selon les malades. Le mécanisme pathogène est très ressemblant à celui d'Ebola ou Marburg mais les lésions causées sont beaucoup moins nombreuses que pour toute autre fièvre hémorragique. Les hémorragies sont donc moins abondantes mais toutefois importantes.

Modes de transmission

La transmission aérienne par expulsion de gouttelettes respiratoires d'une personne infectée est relativement importante mais la transmission par contact direct avec les liquides organiques (sang, excrétions, salive) d'une personne infectée reste la plus considérable de toutes. Le sperme et les sécrétions vaginales ne semblent pas être atteints mais il est tout de même déconseillé d'avoir des rapports sexuels avec une personne infectée. Les risques de propagation dans le milieu hospitalier sont très élevés, particulièrement si la stérilisation du matériel n'est pas assurée.

Symptômes et traitements

La fièvre hémorragique du Queens se caractérise par une brusque montée de fièvre (plus de 39° C généralement) accompagnée d'une toux particulièrement grasse, d'une importante faiblesse musculaire, de violents maux de tête, de nausées et vomissements, de diarrhées ainsi que d'une transpiration permanente et excessive. Puis s'ensuivent les hémorragies diverses causées par les lésions des organes. Il a cependant été observé que les cas hémorragiques sévères sont beaucoup plus rares et moins fatals chez les malades atteints par la souche faiblement pathogène du virus.

Les traitements sont uniquement symptomatiques et ne guérissent donc pas le malade, l'évolution chez un patient atteint par la souche primaire et hautement pathogène est souvent fatale.

Vaccin

Le 29 novembre 2013, l'ONSS annonce qu'un vaccin est en cours de préparation et est actuellement en phase II, qui correspond à une évaluation de l'immunogénicité et de la tolérance du vaccin. Il pourrait être disponible courant 2014 et une vaccination massive pourrait être vivement recommandée voire imposée par l'ONSS et le gouvernement simlandais.