Grèves de 1980

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Grande crise politico-économique survenue en juillet 1980 à Aurora.

Origines de la Crise

En janvier 1980, Alexandre Thompson II, est élu bourgmestre d'Aurora. Cette ville de 30.000 habitants est un fleuron de l'industrie sidérurgique sur le continent simlandais, leur production est envoyée dans Simland tout entier. Alexandre Thompson, bourgmestre d'extrême droite membre du Parti Indépendantiste Auroréen, prend des mesures visant à replier la ville sur elle même. L'économie de la cité en prend un coup. Les industries métallurgiques ne sont plus à cause de ces mesures compétitives sur le plan national. Les usines ferment les unes après les autres...

"Grève"

Le 29 juin 1980, la principale usine, celle dirigée par Jack Thompson, le frère du bourgmestre, ferme. 12980 ouvriers sont licenciés. Le secrétaire général du Syndicats Métallurgique Auroréen, appelle à la Grève générale à Aurora. Seules les usines touchées par cette crise y prennent part.

Tueries du 7 juillet

Le 7 juillet, le syndicats convoquent tout les ouvriers du domaines sidérurgique à un grand meeting sur la Grande Place. Le bourgmestre interdit cette manifestation, 15 000 policiers sont mobilisé pour empêcher les métallos de se réunirent. Durant les heurts, les forces de l'ordre abattent 5 ouvriers. La population est sous le choc ! La violence monte d'un cran. Alexandre Blondiaux de Battignies, leader de l'opposition, appelle les citoyens à se révolter face à ce bourgmestre despotique et assassin.

Révolte

Les grévistes bloquent toutes les voies d'accès à la ville. Les routes sont barrées, les lignes de chemins de fer sabotter, le téléphone coupé ! La ville est en état de siège, la police n'est plus de taille ! Le bourgmestre fuit la ville. Les échevins démissionnent. L'armée fédérale est envoyée à Aurora, la menace d'une guerre civile gronde, des syndicalistes des 4 coins du pays se joignent à la lutte. Le 18 septembre, le gouvernement Simlandais cède, et nationalise l'usine. Le lendemain, la grève prend fin, les ouvriers reprennent leur poste. Le lendemain, le Bourgmestre démissionne, Alexandre Blondiaux de Battignies est élu quelque jours plus tard.

Conséquence

Le gouvernement fini par céder, toutes les conditions des grévistes sont acceptées, les usines sont nationalisée le temps de la relance économique. De nouvelles élections sont tenues. Alexandre Blondiaux de Battignies (Parti Communiste Auroréen) est élu bourgmestre sur un score stalinien.


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