Histoire du Mao

Un article de WikiSimland 3.0.
Aller à : navigation, rechercher

Introduction (en travaux)

Il y a de ça des millénaires, dans une terre lointaine, splendide, et mystérieuse, un peuple commençait un voyage, une épopée grandiose à travers le temps et la Terre... Le peuple de þúsundfljót entrait dans l'histoire comme un simple peuple pour devenir la civilisation la plus mystérieuse et la plus mal comprise de l'histoire de l'humanité. Pénétrez le mystère de l'homme de þúsundfljót, et son histoire. - La véritable histoire (ou pré-histoire, dans ce cas) commence alors que l'homo-sapiens quitte le continent Eurasien, et passe par le Détroit de Béring pour aller en Amérique. Vu la situation de Simland sur la carte du monde, (Ici) un groupe d'humain se serait séparé du reste, qui aurait continué sa route vers l'Amérique pour donner naissance aux civilisations amérindiennes. - L'ancêtre du peuple de þúsundfljót est donc le premier être humain à avoir touché le sol du Continent Simlandais: le vrai peuple indigène de Simland.la population humaine augmente et s'étend de plus en plus au sud, pour des raisons évidente; de climat. Pourtant, la vie humaine au Nord continue bon train, les technologies s'améliorent toujours, l'humain amasse des connaissances à grand rythme, bref, pour longtemps, l'histoire du peuple de þúsundfljót ne diffère en rien des autres. C'est ici que l'histoire du Mao et de son peuple change des autres. La technologie de l'agriculture (rudimentaire) apparait dans le sud des environs du Mao actuel. Cette marche technologique proféra aux peuples de Simland une véritable poussée démographique: c'est à ce moment précis où les avancées technologiques et culturelles propres au Mao apparaissent, digne des Aztèques ou Incas (mais en plus nordique). - Évolution croissante des connaissances et de la culture de þúsundfljót. Échanges commerciaux avec les sociétés sudistes indigènes. Élaboration des rites et des caractères culturels et économiques. - La culture nordique de þúsundfljót est bien définie, la civilisation de þúsundfljót inchangée est à son commum. Entre ces dates, le peuple de þúsundfljót est le plus avancé culturellement et politiquement parlant du continent Simlandais. Même dans des conditions peu propices au développement, la Terre de þúsundfljót a su s'élever comme grande nation de son temps. Les "royaumes" de þúsundfljót s'étendent du Nord du Mao jusqu'aux environs du Sud De Thoulak et à l'est à l'Hudson. Les Mille-Rivières est la ville-capitale-culturelle de toute ces terres. - Les puissances colonisatrices débarquent à Simland: Espagne, Angleterre et France se livre d'impitoyables combats pour l'occupation des terres. Ils ne savaient pas encore qu'est-ce qui leur attendaient au Nord... Puis, ce fut les pirates corsaires du Mao. - Quel terrible mot de bienvenue en effet. Les "expéditions" Mayennes furent longtemps craintes et peu souvent les puissances colonisatrices se mit le nez dans les affaires Nordiques. Pendant ce temps le Nord s'enrichissait grâce à la générosité des villageois de se laisser pillés par les pirates Mayen. Mais cela ne dura pas quand les puissances britannique et française bien établit furent assez puissantes pour défier les Royaumes de þúsundfljót. C'est ainsi qu'assez rapidement, le Mao perdit ses terres et ses royaumes. Il resta isolé dans le Nord que les Britanniques et Français ne pouvait toujours pas prendre. - Le Mao (Encore appelé þúsundfljót), bien que plus petit, resta tout de même un lieu puissant et riche. Les révolutions technologique des années 1800 ne resta pas un mystère longtemps pour les hommes de þúsundfljót. Tout comme le Sud, le Nord prospérait presque secrètement. Les villes comme Aðalsteinn ou Münkar (Vieille Karmovia) devinrent très industrielles et leur population décupla au fil des années. - L'État du Mao est né dans Simland. L'État isolé et solitaire devient un peu plus ouvert aux autres État. Cœur industriel du Nord et avec une main d'œuvre avide de travail, des liens économiques se lient avec les autres États... Encore aujourd'hui plusieurs produits "Made In Mao" se retrouvent dans les supermarchés de nul autre que Sun City! Et oui, la fameuse figure de la Tour Du Soleil sont fait ici, dans les manufactures du Mao! Mais c'est aussi autre chose qui se développement au Mao... à l'insu de tous. Dès le milieu du siècle, le Mao commença son escalade technologique fulgurante. Les premières industries High-Tech ont vue le jour au Mao... Et aujourd'hui, quels mystères sont encore cachés dans les laboratoires du Mao




Évènements de mai 1968

Les causes

Des ouvriers bloquant une usine à Lankech - 15 mai
Les évènements de mai 1968 ont pour origine deux faits importants: le projet de réforme du système universitaire du pays devenu obsolète et l'annonce du premier "Plan Acier" prononcé par la gouvernement, et visant à fermer progressivement les mines de fer et de charbon mayennes. Commençons par la réforme du système universitaire. Cette réforme, prévue pour la rentrée 1969 a été proposée par la gouvernement en avril 1968, un mois avant le début des manifestations. De vifs débats à l'assemblée ont eu lieu, pour faire passer ou non ce projet de loi. C'est finalement le 14 mai 1968 qu'est voté le projet, à 231 voix pour; 25 contre; 14 blanches.

Le "Plan Acier" quant à lui a été annoncé par la gouvernement au mois de février 1968. Ce plan visait à supprimer près de 15.000 emplois dans un premier temps puis 10.000 dans un second temps dans les mines de fer et de charbon mayennes. Ces suppressions de postes étaient prévues pour juillet 1968 puis janvier 1969.
Face à cela, les syndicats manifestaient déjà depuis le mois de février... puis au mois de mai, les étudiants et les syndicats s'allient: nous sommes le 20 mai 1968.


Les soulèvements

Mais faisons un petit saut en arrière et revenons au 15 mai 1968, au lendemain du vote de la loi pour la réforme du système universitaire mayen. Les étudiants, pour montrer leur mécontentement, descendent dans la rue manifester, ils ne sont que 2.500 pour l'instant. Le 20 mai 1968, pour se soutenir mutuellement dans leur lutte, les syndicats ouvriers, dont les Forces Ouvrières Communistes (FOC), s'allient aux étudiants. Le 20 mai au soir, les FOC appellent à la grève générale.

Le 21 mai, les ouvriers manifestent de leur côté: il y a près de 150.000 participants. Le lendemain, c'est au tour des étudiants de manifester, mais cette manifestation se fera dans le sang. Les étudiants, environ une heure après le début de la manifestation, commencent à jeter des pavés sur les policiers; ceux-ci répliquent à balle réelles. Il y aura 13 morts et 42 blessés dont 12 graves du côté des étudiants, et on déplorera 1 mort et une dizaine de blessés du côté des forces de l'ordre. Le Parti Communiste Mayen (PCM) s'allie aux étudiants et aux ouvriers et les soutiennent. Ceux-ci dénoncent l'oppression du pouvoir sur le peuple et demande l'ouverture d'une enquête pour savoir pourquoi les policiers ont tiré à balles réelles, alors que les étudiants n'étaient pas armés (l'enquête ne sera jamais ouverte et l'affaire sera classée).
La manifestation du 21 mai

Nous sommes le 22 mai; les patrons commencent à s'inquiéter de ces mouvements de révolte assez violents. Le Syndicat National du Patronnant (SNP) demande une réunion d'urgence le soir-même à 20h au siège su syndicat. La bâtiment est entouré de policiers pour éviter l'intrusion de manifestants et assurer le bon déroulement de la réunion. Mais à 22 heures environ, un groupe d'une dizaine d'ouvriers FOC arrivent à pénétrer dans le bâtiment et prennent en otage les participants de la réunion. La police est immédiatement prévenue; les négociations commencent. Après 5 heures de négociations, la police décide d'appeler les renforts de l'armée, pour une possible intervention. À 4 heures 07 minutes, l'armée intervient et arrêtent violemment le groupe d'ouvriers.

Au matin, les ouvriers apprennent la nouvelle et sont sous le choc. Certains décident de reprendre le travail, épuisés par des mois et des mois de lutte, pour au final ne rien obtenir; mais d'autres ouvriers continuent à bloquer les entrées des usines et des mines, notamment à Lankech. L'après-midi du 23 mai est marquée par une réunion des syndicats ouvriers pendant laquelle de violents débats auront lieu. La sujet de cette réunion concerne la poursuite ou non de la lutte. Finalement, la poursuite des protestations est votées à la quasi unanimité. Une manifestation est organisée pour le surlendemain, et pour la première fois avec les étudiants.

Nous sommes le 25 mai. Comme prévue, l'après-midi, étudiants et ouvriers manifestent: près de 400.000 participants. Mais une surprise de taille les attend: contre toute attente, la population, au courant des évènements du 22 mai concernant les tirs à balles réelles sur les étudiants et la prise d'otage des patrons, s'allie aux grévistes, de plus en plus nombreux. En plus de ça, l'appel à la grève générale des fonctionnaire a été entendu, et ceux-ci s'allient aussi à la manifestation. Au total, ce sont près de 800.000 personnes qui défilent dans la rue. Les forces de l'ordre ne sont pas assez nombreuses pour contenir une telle foule et décident pour les disperser rapidement, de tirer dans le tas. Bilan: 153 morts et plus de 570 blessés.


La fin des protestations

Le 26 mai, la population, excédée par le comportement des policiers, marchent sur le parlement: il y aura 1.500.000 participants. Pour ce rassemblement, le gouvernement a donné l'ordre aux policiers de ne rien faire, même en cas de débordement. Le soir, le président de la république, Franz Gargelein fait une allocution télévisée, il démissionne. Devant cette démission, les communistes en profitent à nouveau pour critiquer la droite et le capitalisme et leur incapacité à résoudre les problèmes du pays. Les étudiants voient cette démission comme une véritable victoire de ce qu'on appellera plus tard "La bataille de mai" (Die Maisclacht). Le 27 mai, le gouvernement est destitué de ses fonctions (selon la constitution de la République du Mao). De nouvelles élections doivent être organisées.

Le 30 mai sont lancées les campagnes des candidats. Comme une évidence, le PCM se présente. Le 6 juin, il est élu dès le premier tour avec près de 73.6% des voix contre 12% pour le candidat de droite, Ralf Treitner. Le nouveau président est communiste, il s'appelle Thomas Frankenbauer; une nouvelle ère commence pour le Mao.