Metro de Lostande Flor

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Métro de Lostande Flor
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Informations
Localisation Lostandeflor.jpg Lostande Flor
Type Métropolitain
Entrée en service 1er Juillet 1907
Fréquentation
Propriétaire Régie Mixte des Transports de Lostande Flor
Exploitant Transports de Lostande Flor
Informations techniques
Longueur du réseau 600 kilomètres
Stations
Lignes du réseau 1 à 25
Réseaux connexes
Transports de Lostande Flor

Le métro de Lostande Flor est un réseau de 600km de voies ferrées, composé de 25 lignes toutes automatisées. Desservant tous les cantons de Lostande Flor, certaines lignes sortent du territoire communal pour desservir des communes limitrophes. Sa première ouverture date de 1907 et la dernière ouverture (extension de la M24) date de 2018.

Histoire

Le débat houleux pour la construction du métro

En 1903, alors que Lostande Flor fête les 7 ans de son indépendance, les enjeux de mobilité deviennent pesant dans le débat public. A l'époque, la cité compte environ 2 millions d'habitants, et aucune autre solution en termes de transports que les tramways hippomobiles. Le Président de la nouvelle République de l'époque se rend à Londres pour un voyage diplomatique et emprunte la-bas le nouveau réseau souterrain de la ville. Il en revient subjugué et décide de lancer un grand plan de transports pour la ville, un réseau de 4 lignes de métro.

En 1904, le Parlement lance les études pour la construction d'un réseau métropolitain, mais les premières crispations se font. Non pas sur l'intérêt de construire un métro, mais plutôt quels quartiers vont desservir les lignes. Le débat devient plus une bataille à qui aura la station de métro au pied de son immeuble plutôt que le rejet de ce nouveau mode de transports.

En 1905, les premières études sont livrées et préconisent 3 lignes pour 1097 et la dernière pour 1908, afin d'étaler plus efficacement les dépenses. Le 4 Août 1905, le débat au parlement est extrêmement houleux, des cantonaux dénoncent des tentatives d'achat par pot de vin de certains d'entre eux de la part de propriétaires influents pour mettre une station de métro au plus près de leurs propriétés.

Le 3 Septembre 1905, le parcours de la première ligne est approuvé par 80% des cantonaux. Le lendemain, des propriétaires furieux d'être éloignés de plusieurs centaines de mètres par rapport aux variantes proposées décident d'investir Le Parlement Républicain et de siéger tant qu'il n y aura pas recul sur le tracé de la 1ère ligne.

Le 5 Septembre, après sommation de la police républicaine, cette dernière charge dans le Parlement et renvoie à l'extérieur les propriétaires dissidents. On compte 34 blessés, dont 3 graves.

Le 6 Septembre, le Président de Lostande Flor décrète le couvre feu et l'état d'urgence, permettant ainsi à la police de pouvoir intervenir sans sommation et ainsi calmer les foules.

Le 8 Septembre, le tracé des deux autres lignes est approuvé. Le début des travaux est acté pour le 1er Janvier 1906.

Les 10 premières lignes

En 1907, les 3 premières lignes sont inaugurées, c'est un succès. En 1908, la 4ème ligne est ouverte.

Entre 1910 et 1940, ce sont pas moins de 6 lignes qui seront construites pour faire face à une population de plus en plus importante qui arrive à Lostande Flor. Au début de la seconde guerre mondiale, on compte 4 millions d'habitants.

Toutes les lignes rencontreront le succès espéré, voire mieux sur certaines lignes. Le père du métro lostandeflorien, le maire Hubert Koffeeren, s'éteint le 1er Décembre 1941 et en hommage, la plus grande station de l'époque, et encore de nos jours, ou passent 5 lignes sera renommée "Koffeeren".

De la fin de la seconde guerre mondiale jusqu'en 1956

Après la trève de la seconde guerre mondiale, la construction du métro reprend de plus belle. En 1947, le Parlement décide de construire 3 nouvelles lignes, avec ouverture prévue en 1950.

Le 1er Juin 1950, les 3 lignes sont inaugurées en même temps.

En 1952, le parlement prend la décision de construire 2 lignes supplémentaires, elles seront inaugurées en 1955.

Le rattachement à Simland

A partir de 1956, ce n'est plus le Parlement de Lostande Flor qui prend les décisions car dissout par le rattachement à Simland. Désormais, c'est le Conseil Communal qui prend la décision de construire les projets de type "communaux" ou les cantons n'ont le droit qu'à avis technique et ne peuvent s'y opposer qu'en cas de non respect des documents d'urbanisme communaux et cantonaux.

Le Conseil Communal décide dès 1957 de construire 4 nouvelles lignes de métro. La population vient de franchir les 5 millions d'habitants. En 1960, deux lignes sont inaugurées (les 16/17) et en 1961 les deux autres (les 18/19).

Le début de l'automatisation et la poursuite des créations de lignes

Après une pause de 10 ans, du fait que la Commune sera dirigée par un maire pro-automobile entre 1961 et 1971, les travaux du métropolitain reviennent dans le débat public. Et avec une nouveauté, l'automatisation des lignes 1 et 2.

En 1972, il est décidé d'automatiser ces lignes en seulement 3 années, pendant lesquelles il faudra couper la nuit entre 2h et 5h30 du matin les deux lignes. Ces travaux pharaoniques et la mise en place de l'informatique nécessitera un travail titanesque mais il sera réalisé dans les délais. En 1975, les deux premières lignes sont automatisées.

En parallèle, la construction de 3 lignes seront ordonnées, dont 1 automatisée directement car elle est prévue pour accueillir beaucoup de voyageurs.

En 1976, les 3 lignes 20, 21 et 22 sont réalisées et mises en service.

Les années 80, clou du réseau métropolitain

En 1981, alors que Lostande Flor dépasse les 6 millions d'habitants, le Conseil Communal vote la création des 3 dernières lignes de métro de Lostande Flor. Elles seront toutes les 3 automatisées dès le départ. Les travaux débutent en 1982 pour se terminer en 1985 et 1986, ainsi les lignes 24 et 24 sont inaugurées le 1er Septembre 1985 et la 25ème le 1er Février 1986.

Les extensions

Entre 1990 et nos jours, plusieurs lignes ont fait l'objet d'extensions plus ou moins importantes. Exception des lignes 2, 5 et 8, toutes les autres ont reçu des extensions et sont même parfois sorties du territoire communal pour rejoindre des communes limitrophes, permettant en partie de casser la fracture entre LF et son premier arc urbain.