Principauté d'Oulatar

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Le terme "Oulatar", se retrouve pour la première fois à la découverte de la rivière s'écoulant dans les plaines du futur Continental State. Ce mot aurait été inventé par le poète Steven Naert, lorsqu'il découvrit le paysage de cette vallée. La cité qui fut fondé en 1715 prit ce nom.



Histoire

De la Colonie à la Principauté (1715-1738)

L'Histoire de la région commence par la fondation d'Oulatar, en 1715. La ville, situé le long du cours d'eau portant le même nom grandit peu à peu. On voit apparaître d'autres petits villages, le long du fleuve, mais également dans les collines boisés de la régions.

Comme le veux le système politique de l'époque, la ville devient le chef lieu d'une région, qui portera son nom. La cité continu son extension pendant plus d'une dizaine d'année, sans connaître de troubles. En 1728, un nouveau gouverneur va occuper la ville: le Duc d'Argonne. Cet homme, noble, mais penseur est accompagner de la jeune Sarah d'Argonne.

Repli de l'armée coloniale après la bataille de la Vallée Bleue

Malheureusement, en 1730, un conflit éclate entre Mayen et Colon. L'Oulatar est appelé à participer à cette guerre. Malgré les protestations de la population, et requêtes du Duc, la région se prépare à la guerre. La bataille de la Vallée Bleue, véritable boucherie donne un aperçu de l'avenir vers lequel risque de mener la guerre au Gouverneur.

La jeune Sarah se lance alors officieusement dans un rapprochement avec la civilisation Mayenne. Pourtant, son premier essai sera un échec. Il faudra attendre 1735 pour que la Duchesse réussissent à organiser une rencontre au sommet. Les deux parties, signent une trêve, qui débouchera sur un accord de paix.

Les relations entre les Colonies du Sud, et la Région de l'Oulatar se détériorent: Les autres colonies reprochent à l'Oulatar sa passivité pendant la guerre, et la région du nord devient responsable au yeux des autres de la défaite face au Mayen.

En 1738, la région est secoué par la mort du Duc d'Argonne. Ce dernier est assassiné en pleine rue. Bien que non revendiquer, l'attaque est signer des Colonies du Sud. Sarah lui succède au poste de gouverneur, contre l'avis des colonies. Le 23 avril, Sarah d'Argonne prononce la Déclaration d'Indépendance de l'Oulatar, dans un célèbre discours:

- " Peuple d'Oulatar. En ce jour, et en vertu du droit qu'un peuple a de ne pas subir, mais de choisir, je te proclame indépendant de tout forme de pression..."

Sans heurt, c'est ainsi que la Colonie d'Oulatar devenait la Principauté d'Oulatar.


Une principauté Constitutionnelle (1738-1844)

Naissance d'une nation (1738-1757)

Entre 1738 et 1745, la principauté voit la plupart de ces textes fondateurs être proclamé par Sarah d'Argonne. Le territoire devient ainsi une Principauté participative. La cité d'Oulatar entre elle dans une phase de grand travaux. Oulatar n'est plus une ville, c'est une capitale. Elle se doit donc d'être moderne, belle et impressionnante. En 1743 la Principauté crée l'IPA, l'Institut Princier des Arts. Cet Organisme est chargé de permettre au artiste de crée et d'exposer dans la Capitale. Il est également garant des œuvres nationales. A cette date, la Princesse Sarah d'Argonne promulgue son dernier ouvrage « Culture Universelle », qui prône la liberté de culte et le mélange des cultures.

Deux ans plus tard, la jeune femme est assassinée en plein milieu de son discours. Le pays est sous le choc. Celle qui a fait de la ville une démocratie n'est plus. Sans son pilier, le pays reste un mois a l'arrêt total.

Serge Tailor est alors désigné par le testament de la Princesse pour prendre la régence en attendant que ces enfants, Alexandre et Jade aient l'age de monter sur le trône. La peur d'une récession ou d'un retour sous le giron des européens fait peur au citoyen de la Principauté. Serge Tailor n'est ni héritier de sang, ni politiciens. Pourtant, il va faire durant ces 11 années de règnes un travail important pour la nation naissante. En 1747, il organise la gestion des territoires en faisant naître les Trio et leur conseil. C'est la première décentralisation de la principauté. En 1749, il obtient du pape Clement XI la canonisation de la Princesse Sarah sous le nom de Sainte-Sarah d'Argonne.

Le début des années 1750 se place sous le signe du savoir. En 1751, Serge Tailor inaugure la première école supérieur de la Principauté, le « Collège d'Emeraude ». La même année, il inaugure également la bibliothèque nationale. En 1752, c'est au tour du Musée Princier de naître. Il est pour l'époque l'un des plus grand musée au monde. Le centre de la capitale ce transforme sous le coup de l'impulsion donner par Serge Tailor. En 1753, il tiens le Sommet de Tehin, entre Colon occidentaux et Mayen pour trouver un traité de paix durable. Malheureusement les européens ne semble pas décider a accepter le moindre compromis. Après deux semaines de débats et de réunions, les émissaires néerlandais quitte la table des négociations. L’échec est douloureux pour Serge Tailor. Il propose un soutiens logistique au Mayen et signe un traité de libre circulation avec les indigènes.

1754 sera d'ailleurs l'année du commerce. La construction d'un port sur l'Oulatar permet a la ville de se rallier au monde. Les chemins en dehors de la cité devienne de belle et large route pavée. Les ponts au dessus du fleuves raccourcissent les distances. La ville connais une croissance hors du commun.

C'est encore pire, lorsqu'en 1756, on découvre dans les sous sols de la région des minéraux et métaux précieux. Or, Opale, Cuivre, Fer, Zinc...La Principauté devient rapidement un état des plus riches, mais aussi des plus convoités. C'est dans cette croissance sans limite que Serge Tailor cède la place aux jumeaux de la Princesse Sarah, Alexandre et Jade d'Argonne. Âgés de 19 ans, ils accède a la principauté a deux. Aucun des deux n'imagine alors se priver de l'autre.

En 1757, il apparaît nécessaire a Alexandre et Jade d'Argonne de refondre le système politique. Ils veulent donner au peuple un pouvoir plus grand, et surtout, crée un lien entre les conseils des Trio crée par Serge Tailor, et le système national.

Le 20 Avril 1757, la Principauté Participative d'Avril, ou IIe Principauté née par le Constitution Réformé.

De l'Age d'Or à la Guerre de Jade (1757-1765)

La réforme crée un schisme dans le Groupe de la Liberté. Les Libéraux défende a présent la liberté économie et scientifique, tandis que les Unioniste voit la liberté comme individuelle et humaine avant tout. L'équilibre du grand conseil, et par la même, du sénat est remis en cause. Les premières élections de ce nouveau régime donnent lieu a une triade au sommet. Egalitaire, libertaire et unioniste remporte a peu de choses les même suffrages.

Dans la principauté, les changements continue. L'armée est réformé et moderniser. Plusieurs fort sont construit, et la cité d'Oulatar est fortifier. Le port s’agrandit, et des chantiers navals s'installent. Les rues s'élargissent et les alentours du palais deviennent des lieux de repos et de balade. La ville respire. Le pays fête ses vingts ans d'existence dans une semaine de fête et de spectacle.

En 1759, la légion d'Or est crée. Elle récompense les citoyens qui défende les valeurs de la principauté avec une détermination sans failles. Serge Tailor et Sarah d'Argonne en sont décoré a titre posthume.

Vingts ans après les Décrets Fondamentaux, la principauté est devenu un exemple dans le monde entier. Pays respecté de par ces scientifiques et ces artistes, mais également pour la puissance économique et diplomatique qu'il possède. En 1760, la ville recèle de nombreux chef d'oeuvres architecturaux. Les grands esprit du XVIIIe siècle s'y réfugie. Diderot, Kant, ou encore Rousseau s'installe en ville plusieurs mois, voir années.

La nouvelle décennie débute par la découverte de site archéologique dans le nord de la principauté. Nommé la Vallée d'Argent, ce gisement d'ossement préhistorique est encore de nos jours explorés. Erasmus Darwin fut alors nommé a la tête du site de fouille en collaboration avec l'oulatarien Simon Reali.

En 1764, un attentat contre le pont de l'Union, entre la rive nord et sud au cœur de la cité, est déjoué. L'armée est aussitôt mise en alerte. Le prince Alexandre demande la mise en place d'une enquête. Celle ci n’aboutira malheureusement jamais. La ville est marqué par cet acte, et chacun se demande qui peux avoir l'idée de commettre un attentat contre la principauté.

Le 17 mars 1765, un acte plus grave frappe la Principauté. En pleine nuit, un commando d'une dizaine d'homme entre dans le palais princier. Évitant les patrouilles, l’enquête révélera l'aide d'un régent du palais, les hommes se sépare en deux groupes. L'un se rend vers la salle des coffres, créant une diversion pour le seconde. Ce seconde groupe justement a une tache bien autre. Il part en direction des appartements de la Princesse Jade. Le premier groupe s'attaque volontairement au garde pour sonner l'alerte et ameuter tout les garde les palais. Les seconds terroriste en profite pour enlever la princesse qui n'a guère le temps de se défendre. Le groupe réussit a quitter le palais dans l'ombre, avec la princesse.

Le lendemain matin, la nouvelle est rendue officielle par le prince Alexandre. Il proclame l'état de guerre et promet la mort et la damnation au responsable de l’enlèvement de sa sœur.

Le règne d'Alexandre d'Argonne (1765-1773)

Suite à cette attaque, le pays entre dans ce qu'on appellera plus tard la « Guerre de Jade ». L'armée est mobilisé et une battue s'organise dans la Principauté. Le régime remonte la piste jusqu'à des groupuscules extrémistes. Mais la tache est difficiles. La région est à cette époque peu urbanisé et vaste. Il faut attendre Octobre pour qu'une réelle piste se présente au autorité. Le groupe de rebelle serait caché dans le nord du territoire. Une escarmouche en novembre viens confirmer l'hypothèse, même si elle ne révèle rien de la situation de la princesse Jade. L'hiver ralentit les recherches et l'enquête. Peu à peu, la principauté perds espoir de revoir un jour leur princesse.

Et c'est en mars que la chose se réalise. Le corps sans vie de la jeune femme est retrouvé au sommet du Mont des Damnés (nommé peu après). Ne réussissant pas à faire céder le pouvoir, les rebelles semblent avoir exécuté Jade. Cet événement choque profondément le peuple. La guerre va alors duré 3 ans, jusqu'à la bataille de Minos. Il fut alors évident que des puissances extérieures, et intérieures s'étaient allier pour déstabiliser le jeune état. Même si les Provinces Unis et la France ne reconnurent jamais leur participation au conflit, les preuves accusèrent les deux puissances Européenne. A l'intérieur de la principauté, c'est le groupe de l'Aube qui est accusé. Il est dissous lors du procès de Tehin. Sur ses 831 adhérents, 723 sont condamné. Un dizaine sont condamnés à mort, et plus d'une centaine à une peine « d’Égarement ». La peine d’Égarement, prévu par la constitution d'avril, consiste à enfermer la personne dans un labyrinthe sous terrain. Sans vivre et lumière, la mort du condamné est assuré, même si ce n'est pas sa condamnation officielle. Le Labyrinthe se alors creusé à la base du Mont des Damnés. Pierre de Morlais, dirigeant du groupe et organisateur de l’enlèvement est lui décapité en place publique.

Dernière charge d'Alexandre d'Argonne face aux Provinces Unis, 1773

Ces douloureux événement marqueront la Principauté. Suite à cela, le régime s'engage dans une modernisation et une professionnalisation de son armée. L'objectif est d'assurer la souveraineté du royaume et de le rendre capable de se défendre. Oulatar va dés lors devenir un symbole. Le petit état s'est révolté avec succès, et représente aujourd'hui une terre de liberté unique. Alexandre d'Argonne va jouer le jeu de cette liberté afin d'apporter un refuge aux plus grands intellectuels d'Europe. Il permet également au commerce de se développer : Les premières corporations et compagnies voient le jour sous son règne. Il permet un incroyable développement du pays. D'une population de 15,000 habitant en 1750, elle s'établit à 49,000 à la fin de son règne. L'économie est en constante progression et le pays investit dans la culture et l'éducation. Rapidement, Oulatar devient symbole d'une nouvelle ère : Libéralisme, Education et égalité sont les maitres-mots.

C'est en 1772 que tout s'écroule. Les provinces unis déclare la guerre à la Principauté. Le libéralisme et la démocratie sont vu comme une provocation envers les royaumes européens. Les premières escarmouches tournent en faveur de la Principauté. Malheureusement, dés septembre 1772, les renforts européens débordent Oulatar (8500 holandais contre 4500 Oulatarois). Eralie tombe en mars 1773. Les armées des Provinces Unis ne sont alors qu'a une soixantaine de kilomètre d'Oulatar. Les ponts d'Alaria sont brisé et la plaine de St Opsen inondée, pour ralentir l'ennemi. En juin, l'armée se prépare au siège d'Oulatar. Alexandre divise alors ses forces. Il simule une fuite vers Tehin pour une partie de ses forces. A l’établissement du siège, il constate que sa tactique semble marcher. Le général Van Balttus croit à une faible garnison et pense le Prince réfugié à Tehin, bien plus fortifié et facile à défendre. Il divise alors ses troupes. Il fait marcher le Colonel Hiertch vers le nord. L’inondation des plaines le force à contourner la ville par l'ouest, à Deolia afin de travers la rivière. Alors que les 4000 hommes de Hiertch marche au nord, le Général Diaven, à la tête de 2500 Oulatarois traverse la rivière à travers les zones inondés. L'artillerie, transporter par navire, est installé sur la colline du Riol. A cet instant, Van Balttus réalise son erreur et fait marcher sa troupe vers la colline, sous les bombardement Oulatarois. Alexandre en profite pour briser le siège et frapper d'une audacieuse charge sur les arrières de l'armée hollandaise. Van Balttus se retrouve pris en tenaille, incapable de rejoindre le Riol. Il ne peux que se retirer vers Alaria dans une déroute totale. Ce jour là, l'armée des Provinces Unis perd 2385 hommes contre 432 Oulatarois. Toutefois, dans les derniers instant de la bataille, le prince Alexandre est mortellement touché. Il décédera le lendemain, alors que son fils, Timéo d'Argonne monte sur le trône.

La Nouvelle Indépendance (1773-1782)

Politique

Une Principauté Constitutionnelle (1738-1757)

Institution

La Principauté Constitutionnelle de 1738 s'organise principalement autour de 4 acteur : La Principauté (Pouvoir Exécutifs détenu par le Prince ou la Princesse), le Conseil d'Etat, le Grand Conseil, et le Petit Conseil.

Organisation des Institutions de la Principauté

Organisé par les décrets fondamentaux de 1740, elle est une forme simple d'organisation politique.

La Principauté : La Principauté a alors pour rôle de diriger le pays dans son ensemble. Elle fixe les priorité, le budget, et la diplomatie. Elle peux soumettre des Arpèges (lois) au grand Conseil. La principauté nomme également, le Conseil d'Etat, qui l'aide dans sa mission.

Le Conseil d'Etat : Il est nommé par la Principauté. Son seul rôle d'aider la principauté dans sa gestion du pays. Chaque conseiller est un specialiste dans son domaine et se voit remplacer une fois ça tache terminé.

Le Grand Conseil : Le Grand Conseil a pour fonction de voter les Apèges. Il peux également avec 65 % des voix (Majorité Majeur) renvoyer le Conseil d'Etat. Le grand conseil est composé de 523 conseillers.

Le Petit Conseil : Il compte 40 membres. 30 (non membre du Grand Conseil) sont élus par le peuple, et 10 issu du Grand Conseil. Il dispose d'un droit de véto sur les lois. Il dispose également du Droit d'Ostentature qui lui permet de bloquer une décision de la Principauté. Il faut pour cela une majorité dite haute, soit 76% des voix. Ce conseil nomme également les 15 juges de la Principauté.

Les élections des deux conseils se tiennent tout les ans, en juin, et juillet respectivement.


Composition Politique du Grand Conseil

Groupement Colonial : Le groupement colonial est fondé en 1739 par Eugène de Picardie. Il défend l'idée d'un retour dans le giron des nations européennes. Il prône également la guerre contre les Mayens. Ce groupe restera de tout temps minoritaire et disparu en 1783, peu après la fin des incursion néerlandaise.

Groupement Royaliste : Le groupement royaliste ce rapproche du groupement colonial. De 1738 a 1773 il se bas pour faire de la Principauté une Monarchie rattaché par un engagement de Vassalité au royaume de France. Il fusionne en 1773 avec le Groupe de Liberté suite a l'attaque d'Oulatar par les armées néerlandaise.

Groupe de la Liberté : Il s'agit du groupe Majoritaire de 1738 a 1757 au Grand Conseil. Il revendique les libertés des peuples. Il s'attache au liberté individuelle avant tout. Ce groupe éclatera en 1757 en deux groupes.

Groupement Egalitaire : Il est fondé en 1742 et provient d'un mouvement divergent du Groupe de la Liberté. Il revendique une égalité entre les classes de la Principauté. Cette égalité doit être visible a chaque niveau. Il est le seul groupe encore présent aujourd'hui datant de cette époque.

Groupement de Libération : Il est fondé en 1738. Il vise a libéré les autres colonies des puissances occidentales. Pro-Militaire, le partit s'essouffle de 1740 à 1746. Dès lors il ne tiendra plus qu'une place mineure dans la politique du pays jusqu'en 1770, ou il créera la surprise. Le groupe est dissout en 1844, durant les jours de sang et ne se recréera pas.

Groupement de l'Aube : Le plus énigmatique des groupes. Conservateur Religieux, il propose l'indépendance de chaque ville de la principauté. Fondé en 1738 par l'Abbé Pierre de Malais, il reste minoritaire. Il sera dissous en 1768, lors du procès de Tehin. Pierre de Malais et plusieurs dignitaire du groupe son alors condamnés a mort.


Évolution du Grand Conseil 

Composition du Grand Conseil en 1738

Entre 1738, et 1757 le Grand Conseil évolue grandement. Le Groupe de la Liberté reste durant ces années le groupe dominant de l'assemblée. Majoritaire de 1738 a 1742, il assure la fondation de la principauté autour de la valeur de la liberté. En 1742, il se sépare du Groupe Egalitaire. Cette séparation lui fait perdre la majorité, bien qu'il tienne encore 48,80 % des sièges.

Toutefois ce changement n'affectera que très peu la politique du pays. La mort de Sarah d'Argonne va par contre apporter son lot de surprise. En 1746, alors que Serge Tailor est dans sa première année de régence, les Groupes Coloniaux et Royaliste rassemble a eux deux 22% des suffrages. Le groupe de l'aube lui atteint les 4,2%. Même si le Groupe de la Liberté garde la main mise sur le Grand Conseil, ce regain soudain des groupes « Extrémiste » est signe d'un doute du peuple.

Evolution de la composition du Grand Conseil de 1738 a 1757

En effet, Serge Tailor n'est ni membre de la famille princière, ni politicien. Beaucoup de citoyen craigne alors de voir le pays perdre de sa dynamique. Il faudra attendre 1950 pour voir le Groupe Royaliste reculer. Le groupe Colonial perd lui son affluence sur le conseil en 1748,

A l'horizon 1750, Groupe de la Liberté (49,10%) et Groupe Egalitaire (32,20%) dirige la danse dans le Grand Conseil. A la différence des parlements occidentaux, on ne peux ici parler ni de gauche, de droite, ou d'opposition. En effet, les Conseillers de la Première Principauté sont répartis dans l'hémicycle selon la situation géographique de leur arrondissement. De même, on ne parle pas de parti mais de groupe de pensé. C'est groupe rassemble les conseillers au idée proche dans le but de trouver les solutions les plus réalistes et bénéfiques au pays. Enfin, Groupe de la Liberté et Groupe Egalitaire ne s'oppose pas réellement. Au contraire, c'est deux groupes sont bien souvent assez proche lors des débats.

La Principauté Constitutionnelle de 1738 se termine sur le déclin des Groupes Royaliste, Colonial, ou de l'Aube. La dernière élection de 1757 accordera 4% au Groupe de Libération tombé les années précédente a 0,70 % alors que Groupe de la Liberté et Groupe Egalitaire enregistre respectivement 47,9% et 39%. Serait ce le début d'un sursaut du Groupe de Libération ?

Composition du Grand Conseil en 1757

Culture