Gouvernement provisoire de la République socialiste de Thoulak

THOULAK LIBRE
Devise nationale : « Prolétaires de tous les pays, rejoignez-nous ! »
Capitale
Forme de l'État	Gouvernement en exil
Président	Napoléon La Violette
Superficie Population Densité
Langue officielle	Russe thoulakien
Monnaie	Nouvelle Rouble thoulakienne (NRB)
Hymne	Thoulak, c'est pour toi
Gentilé
Fête Nationale	30 septembre
Domaine internet
Topic détaillé

Le Gouvernement provisoire de la République socialiste de Thoulak est le gouvernement fondé avec quelques fidèles par l'ancien gouverneur Napoléon La Violette, suite à sa destitution prononcée par le Juge fédéral Lelex. Il revendique l'indépendance complète du Thoulak, le retour au communisme marxiste-violettiste et considère Simland comme une « puissance occupante ».

Histoire

La destitution de Napoléon La Violette du poste de gouverneur, le 27 décembre 2009, avait provoqué un vif émoi dans le pays. Les membres de la Nomenklatura dirigeante, craignant des poursuites judiciaires et voyant leur requête d'amnistie générale refusée, incitèrent le peuple à se révolter contre l'« impérialisme » et la « décadence » occidentales. Entre-temps, Napoléon La Violette, sorti de prison, revient au Thoulak et fait un « discours de Novaya Tulsk » qui provoque d'abord un soutien des Simlandais, mais lui attire très vite l'hostilité de la classe politique en général.

Un cabinet se forme la signature, le 1^er janvier 2010, de la déclaration d'indépendance qui proclame la formation d'un gouvernement provisoire dont les membres sont « déterminés à mobiliser toutes leurs forces physiques et morales, prêts à sacrifier leurs vies et leurs propriétés afin de recouvrir au plus tôt leur droit inaliénable à la liberté et à l'indépendance. » Le gouvernement simlandais réagit de façon très négative, et la déclaration est censurée au bout de 2 heures. Le 5 janvier, les userbars et brassards soutenant l'indépendance du Thoulak sont pénalisés sur le territoire simlandais.

Le GPRST fait depuis lors de fréquentes déclarations sur l'évolution de l'État. Le 10 avril, il s'insurge contre la politique de libéralisation du gouverneur Nikolaï et appelle à une guerre totale.

Situation actuelle

Simland exerce une souveraineté de fait sur le Thoulak, et la plupart des pays du monde ne reconnaissent pas le GPRST comme gouvernement légitime. Cependant la nomination de Nikolaï, qui n'a pas obtenu les suffrages populaires, est contestée. Les pays qui ont reconnu la souveraineté du GPRST sont :

• Biélorussie
• Birmanie
• République démocratique populaire de Corée
• Cuba
• Iran
• Nicaragua
• Nauru
• Russie
• Tadjikistan
• Venezuela

Pour beaucoup d'autres pays dont Simland et les États-Unis, il s'agit d'une organisation terroriste. Le siège du GPRST n'a pas encore été localisé ; Napoléon La Violette fait parvenir des messages à New Amsterdam via des cassettes video ou l'Internet. On estime à quelques milliers les combattants de la force armée du GPRST, le Front de Libération Social-Violettiste, dont l'équipement aurait peut-être été fourni par la Russie voisine.

Le GPRST possède une représentation à l'ODU (Organisation des Dictatures Unies) et une antenne internationale à Pyongyang.

Cabinet actuel

Différentes personnes ont signé la déclaration d'indépendance de la RST. Il s'agit du cercle des intimes du Guide qui l'ont rejoint dans sa fuite. On ignore leurs fonctions précises au sein du « gouvernement ».

Citons notamment :

• Napoléon La Violette - « Guide Suprême », président du Gouvernement provisoire et maire de Snèg
• Martin K. Folov - ancien maire de Verkhovsk, actuel maire de Novaya Tulsk et secrétaire d'état à la Vérité
• Mikhaïl K. Iojine - ancien président du Soviet suprême
• Aleksandr V. Spajine - ancien chef du gouvernement
• Ivan N. Ioumékétachvili - ancien chef du KGB
• Ilsa M. Gronenev - secrétaire personnelle du Guide ; tigresse du Goulag
• Karlaï - Homme de main