Tarbonne : Différence entre versions

Version du 20 juin 2010 à 12:03

Tarbonne est une commune simlandaise, située au sud-ouest de l'état du Grand Sud, sur la rive droite de l'Avalon, frontalière avec l'état de l'Apach. Avec près de 70.000 habitants, la "capitale de l'ouest sauvage", est la cinquième ville du Grand Sud et la seule unité urbaine d'importance dans cette partie de l'état, cultivant ainsi une douceur de vivre toute singulière.

**Villes de Simland**
TARBONNE

Surnom	« Tarbonne », l'ouest sauvage
Pays	Simland
Etat	Grand Sud
Maire	Philippe Le Bel USC
Population	68 225 hab.
Altitude	+150 mètres
Aéroport	Aeroport Tarbonne-Métropole
Villes jumelées	Aucunes
Topic de la ville

Sommaire

1 Géographie
2 Histoire
3 Economie
4 Administration
5 Démographie
6 Culture & Patrimoine
7 Sports
- 7.1 Installations sportives
- 7.2 Clubs locaux
8 Personnages célèbres
9 Voir aussi

Géographie

Situation

Tarbonne se situe à une altitude de 150 mètres, sur la rive droite de l'Avalon, dans le sud et dans la partie ouest de l'Etat du Grand Sud, à 350 kms à l'ouest de Ramur City, et 550 kms à l'est de Soutnay sur la côte du Simland Méridional.

Communes limitrophes

Tarbonne est située dans une grande plaine agricole et forestière arrosée par l'Avalon et entourée de neuf autres communes, qui avec Tarbonne, forment aujourd'hui la Communauté d'Agglomération de Tarbonne-Métropole.

A l'ouest : Saint-Philippe,Orange et Aix
Au sud : Châteauneuf, Saint-Hippolyte
A l'est : Louiseville, Pinsaguel
Au nord : Sainte-Marie et Roquebrune

Climat

Le climat de Tarbonne est de type "continental doux normal" ce qui lui assure peu de précipitations tout au long de l'année, des hivers frais et secs et des étés chauds et secs également.

Données générales

ensoleillement : 2000 heures/an
pluie : 855 mm/an
neige : 5 jours/an
orage : 35 jours/an
brouillard : 2 jours/an

Tableau climtologique

Climatologie de Tarbonne
Mois	Janv	Fév	Mars	Avr	Mai	Juin	Juil	Août	Sept	Oct	Nov	Déc	Année
Températures minimales moyennes (°C)	2,1	3	5,5	7,6	9,9	11,1	12,2	11,5	9,2	6,6	3,3	2,9	7,1
Températures moyennes (°C)	5,4	6,5	9,1	11,4	14,4	19,4	21,3	20,9	18,8	14,9	10,1	6,1	13,2
Températures maximales moyennes (°C)	6,9	11	13,9	17,7	19	25,5	29,9	23,7	19	16,3	12,8	8	17
Précipitations mensuelles moyennes (mm)	90	80	70	65	60	55	50	55	70	75	80	105	855

Histoire

Toponymie & Blason

"Fortuna Faveat" autrement dit "Fortune et Confiance" - d'argent à la croix verte et ornementé de deux trèfles à trois feuilles et de la main rouge surmontée d'un casque et du lézard de Tarbonne. Le lézard de Tarbonne est aujourd'hui le symbole de la ville, l'histoire veut que la région actuelle de Tarbonne, connue à l'époque sous le nom de "Turbina", signifiant selon certains historiens le "pays de la tourbe", était déjà une plaine fertile, favorisant les cultures et on utilisait à l'époque les lézards qui pullulaient dans la région pour attaquer les insectes rampants qui dévoraient les récoltes. Si d'autres historiens ne remettent pas en cause l'utilisation des lézards, ils pensent que la toponymie "Turbina" n'a été adopté que lors de l'arrivée de l'Ordre des Turbinas et des colons français à la fin du XVIIème siècle. Le casque et la main sont le symbole de Raymond I, premier seigneur français connu du bourg, les trèfles ont étaient rajoutés ultérieurement, "Fortune et Confiance" est le sceau de la famille de Raymond I.

Du village d'indigènes à la possession française

Le peuple des "Turbinas" occupait les lieux à l'arrivée des colons français, ils vivaiement à priori de chasse et de minces récoltes. Les premières archives conservées aux Archives Municipales remontent à 1679, date à laquelle des colons français, avec à leur tête Raymond Poujade, dit "Raymond Ier" quand il s'auto-proclama gouverneur de la ville. Quand il découvrit la plaine fertile, Raymond Poujade décida de s'y établir; il construisit le château actuel et de solides remparts. Respecteux de la peuplade locale qu'il asservit néanmoins pour en faire des cultivateurs et des paysans fidèles, il donna le nom de "Turbina" à la nouvelle localité, puis de "Tarbonne" quelques années plus tard, une connotation plus française à son goût.

De Raymond Ier à la période actuelle

En 1707, à la mort de Raymond Ier, Tarbonne était devenu un important bourg commerçant de 2000 âmes, les habitants vivaient correctement de leurs récoltes et du commerce qui se développait rapidement. Les anciens indigènes sédentarisés devenus paysans de la couronne du Roi de France vivaient certes mieux qu'avant l'arrivée des français, mais n'étaient pas libres, ils n'avaient par exemple pas le droit de franchir les remparts si ce n'est pour vendre leurs récoltes. Louis Simoni, dit "Louis le Fou", riche négociant de l'époque, constitua ce qui peut s'assimiler aujourd'hui à un syndicat de commerçants bourgeois qui se révoltèrent contre la dernière décision de Raymond Ier de partager les richesses avec les anciens indigènes et le décapitèrent. C'est à partir de cette date que commença ce que l'on a appelé la "Période Secouée": Louis Simoni se proclama nouveau gouverneur de Tarbonne et pris la direction d'un Conseil des Sages formés de bourgeois locaux pour gérer la ville; des décisions plus insensées les unes que les autres se succèdèrent au même rythme que les membres du Conseil. C'est à la fin de l'année 1755 que des moines Bénédictins, fraîchement débarqués de France, posèrent leurs valises à Tarbonne; ils créèrent l'Ordre des Bénédictins de Tarbonne (qui est occupé actuellement par le lycée Amandine Clerc)et réussirent à supplanter celui des Turbinas (jugé trop proche du Conseil et anti-paysans). Les paysans se révoltèrent en refusant de travailler et, armés par les moines, marchèrent sur le château et massacrèrent les membre du Conseil le 11 juillet 1756 et obligèrent les moines Turbinas a fuir la ville. Forts de leur victoire, les moines Bénédictins gérèrent la ville à partir de cette date et ce pendant près de 200 ans, et après des années d'instabilité les activités commerciales purent reprendre leur cours. A partir de 1950 et le développement des routes, Tarbonne a développé de manière importante ses échanges commerciaux et a connu à ce moment là une nette augmentation de sa population et un fort enrichissement économique. Les moines Bénédictins, accusés de détourner les caisses de la ville pour leur compte, furent destitués par le peuple qui se souleva une nouvelle fois emmené par un pharmacien, Edouard Crespy le 4 janvier 1950. Il administra la ville pendant dix ans et organisa ensuite les premières élections libres de la ville le 30 janvier 1960 et sera élu le premier maire de Tarbonne; il sera réélu à trois reprises par la suite. Il faut attendre 2003 et la formation du Simland pour la ville soit intégrée à un pays. Aujourd'hui l'économie de Tarbonne s'est diversifiée, et si la production alimentaire reste une valeur sûre, le développement des hautes-technologies, de l'automobile, de l'aéronautique, l'arrivée de l'aéroport et de l'autoroute A3 assurent à la ville la pérénité de son développement économique. Tarbonne a été considérée comme ville du Simland en mai 2010.

Economie

Intercommunalité

La Communauté d'Agglomération de Tarbonne-Métropole a été imaginée par Henri Falcone, maire de Tarbonne de 1990 à 2005 et officiellement créée le 11 janvier 2005. Elle regroupait à ses débuts seulement les communes de Tarbonne et de Saint-Philippe, afin d' homogénéiser les politiques d'aménagement du territoire et de partager en particulier la gestion de l'aéroport qui prenait alors de l'importance. Les communes d'Orange, de Sainte-Marie, de Louisville ont rejoint le 25 novembre 2006 la CATM; une politique cohérente d'aménagement du territoire est alors voté et les communes concernées ont alors petit à petit délégué certains pouvoirs à la CATM, notamment l'aménagement du territoire, les transports publics et l'enseignement supérieur. C'est le 14 mars 2007 que les communes de Roquebrune et de Pinsaguel ont rejoint la CATM, suivies le 01 juillet 2007 des communes "extra-état" que sont Aix, Saint-Hippolyte (qui pris le nom définitif de "Saint-Hippolyte-de-Tarbonne"), et Châteauneuf, toutes trois situées de l'autre côté de la frontière, dans l'état d'Apach. Henri Falcone a été le président de la CATM jusqu'aux élections de 2010 où, après avoir abandonné son siège de maire de Tarbonne en 2005, il pris la décision de ne pas se représenter à la tête de la CATM; il a été remplacé par Philippe Le Bel, maire de Tarbonne depuis 2005 et élu à la présidence de la CATM au mois d'avril 2010. Le mois de juin 2010 a vu l'annexion de trois communes supplémentaires : Bonneville au sud, et Saint-Etienne-lès-Tarbonne et Sainte-Foy-d'Aigrefeuille au nord. Aujourd'hui, en plus des gestions décidées en 2006, la CATM gère également les pôles d'activités et à récemment mis en place une politique commune environnementale dans le but de développer les énergies renouvelables, de créer des parcs naturels de loisirs autour de Tarbonne, et de promouvoir la marque "Tarbonne, l'ouest sauvage" dans tout le Simland; la CATM projette enfin la réalisation d'une rocade-est pour faciliter les déplacements inter-urbain de la métropole en complémentarité de l'actuelle rocade-ouest et de la rocade-sud en construction, et presentera dans le courant de l'année un dossier d'aménagement ferroviaire pour désenclaver Tarbonne du reste du pays.

Pôles d'activités

La CATM a créé 8 pôles d'activités sur l'ensemble du territoire métropolitain afin de diversifier et d'homogénéiser l'économie.

Le pôle d'activités du "Grand Sud", à Tarbonne, il regroupe diverses entreprises autour du pôle universitaire.

Le pôle d'activités des "Technologies", à Saint-Philippe, il est à ce jour en construction, il regroupera des pépinières d'entreprise dédiées aux hautes-technologies.

Le pôle d'activités "Aéronautique", à Saint-Philippe, il s'articule autour de l'aéroport; plusieurs sous-traitant aéronautiques y sont installés.

Le pôle d'activités de "l'Ouest", à Saint-Philippe, il regroupe les industries lourdes de l'agglomération autour des installations nucléaires.

Le pôle d'activités du "Châteauneufois", à Châteauneuf, autour de l'aérodrome et des installations d'énergie éolienne, il regoupe diverses entreprises du secteur tertaire.

Le pôle d'activités des "Portes de Tarbonne", à Pinsaguel, concentre les grandes enseignes commerciales de l'agglomération et tend à developper les pépinères d'entreprise dédiées à l'automobile.

Le pôle de "l'Avalon", à Sainte-Marie, s'articule autour des installations d'énergie solaire, il regroupe diverses entreprises du secteur tertiaire et agronomique.

Le pôle d'activités d'"Aix-Pôle Apach" est le plus récent; dédié au shopping, il regroupe plusieurs grandes enseignes commerciales.

Les grandes entreprises

La SOCAMA est un constructeur et un équipementier simlandais qui produit des avions légers, la gamme des monomoteurs à piston TB ainsi que le mono turbopropulseur d'affaires TBM-850; son siège et ses ateliers se situent dans le pôle d'activités aéronautiques de Saint-Philippe, elle embauche actuellement 2550 salariés.
La SAGAMA est une entreprise de recherche en biotechnologie située sur la commune de Saint-Philippe qui embauche 1880 salariés.
La Veolis United est la première entreprise de distribution agronomique de l'agglomération, elle embauche 1090 salariés et se situe sur la commune de Pinsaguel.
La CERGEM, située sur la commune d'Aix, est le premier équipementier automobile de l'agglomération qui embauche actuellement 970 salariés.

Etablissements d'Enseignement Supérieur

Depuis 2006, c'est la CATM qui gère les différents établissements d'enseignement supérieur de Tarbonne et de l'agglomération. Du fait de l'éloignement des autres universités du pays, Tarbonne a développé plusieurs formations réparties sur l'ensemble de ses sites.

Le site principal est celui du "pôle universitaire de Tarbonne" qui regroupe :

 - l'Université de Tarbonne II
   -> Sciences sociales, Economie et Droit
      (environ 550 élèves)

 - l'Ecole supérieure de formation des maîtres
      (environ 300 élèves)

 - l'Ecole supérieure des métiers de l'environnement
      (environ 80 élèves)

Les sites indépendants :

 - l'Université de Tarbonne I
   -> Classe préparatoire en Sciences-Politiques
   -> Classe préparatoire de Journalisme
   -> Unité d'apprentissage au métier d'infirmier
   -> Unité d'apprentissage en pharmacie et parapharmacie
   -> Unité d'apprentissage au métier de sage-femme
      (environ 750 élèves)

 - l'Ecole supérieure des Beaux-Arts
      (environ 40 élèves)

 - l'Ecole supérieure de Chirurgie Esthétique
      (environ 80 élèves)

 - l'Ecole supérieure d'Architecture
      (environ 150 élèves)

 - l'Ecole supérieure de Commerce
      (environ 1100 élèves)

 - l'Ecole supérieure d'Aéronautique (à St.Philippe)
      (environ 450 élèves)

 - l'Ecole supérieure d'Agronomie (à Ste.Marie)
      (environ 800 élèves)

Transports & Voies de communication

Routes & autoroutes

Tarbonne se situe à un carrefour routier important, entre Neopolys-Avalon et le reste du pays au nord et Aceira et Sun City au sud, et entre la capitale d'état, Ramur City à l'est et les grandes villes de la côte méridionale à l'ouest, Soutnay et Ckristahal entre autre. Le doublement de la route nationale entre Tarbonne et Soutnay a favorisé les échanges économiques entre ces deux villes; enfin l'autoroute A3 qui amène d'une côte à une autre, place Tarbonne au centre d'une voie de circulation très fréquentée favorisant le tourisme de passage et les échanges économiques avec la capitale d'état. La CATM a décidé la réalisation d'une rocade périphérique qui sera achevée dans les prochaines années; la "rocade-ouest" déjà réalisée, et à double-tronçon, dessert l'ouest de l'agglomération de l'échangeur de "Tarbonne-Ouest" sur l'A3 à Sainte-Marie au nord. La portion de la "rocade-sud" permettant de rejoindre Saint-Philippe à Aix et Châteauneuf via l'A3 et le pôle d'activités d'"Aix-Pôle Apach" a été achevée il y a peu; la deuxième moitié de cette rocade, entre Châteauneuf et Pinsaguel via Saint-Hippolyte est actuellement en construction. Enfin la CATM a récemment dévoilé le tracé de la future "rocade-est" qui desservira les communes de Louiseville et de Roquebrune.

Aéroports

Tarbonne dispose d'un aéroport (Aeroport Tarbonne-Métropole) récemment achevé; il permettra de relier les principales villes du pays, c'est un atout économique incontournable de développement de la métropole tarbonnaise; il est situé sur la commune de Saint-Philippe-lès-Tarbonne et est accessible par l'autoroute A3, sortie "Tarbonne-Ouest". Tarbonne dispose également d'un aérodrome, à Châteauneuf, (Aerodrome de Tarbonne-Châteauneuf) qui permet des vols de loisirs et d'affaires sur des petits appareils, un club de vol y d'ailleurs installé, ("les ailes de Châteauneuf"). Ses deux plateformes sont gérées par la CATM à travers la Société Mixte des Aéroports Tarbonne-Métropole créée à cet effet.

Train

Jusqu'à ce jour aucun projet de réalisation de voie ferrée jusqu'à Tarbonne n'est à l'étude par le gouvernement fédéral mais la mairie prépare actuellement un dossier en ce sens.

Fleuve

Il n'existe à ce jour aucun transport de passagers ou de marchandises sur l'Avalon.

Transports en commun

La CATM a créé une société de transports urbains (la SMTU) permettant de relier par bus toutes les communes de l'agglomération entre elles; son siège social est à Tarbonne; la ville de Tarbonne en partenariat avec la CATM va mettre à la disposition des tarbonnais des vélos (dispositif "Vel'en Ville") en construisant plusieurs stations vélo dans la ville; ce dispositif sera prochainement étendu à toute l'agglomération.

Tourisme

La ville de Tarbonne dispose d'un bon nombre d'attractions touristiques et de bâtiments remarquables, sa capacité hôtelière a été augmentée récemment.

Hôtel Royal Inn***** - 280 chambres
Hôtel Pullman Embassy Suites**** - 880 chambres
Hôtel Hilton**** - 600 chambres
Club Méditerranée Luxe**** - 280 chambres
Hôtel Mercure*** - 1200 chambres
Hôtel Holliday Inn*** - 300 chambres
Hôtel Omni*** - 450 chambres
Hôtel Ibis Centre*** - 350 chambres
Hôtel Novotel Métropark*** - 410 chambres
Hôtel Excelsior** - 140 chambres

Administration

Liste des maires élus depuis 1960

1960-1965 Edouard Crespy -Droite
1965-1970 Edouard Crespy -Droite
1970-1975 Edouard Crespy -Droite
1975-1980 Edouard Crespy -Droite
1980-1985 Joseph Latrille -Centre Gauche
1985-1990 Martine Cocarne -Centre Gauche
1990-1995 Henri Falcone -Centre Droit
1995-2000 Henri Falcone -Centre Droit
2000-2005 Henri Falcone -Centre Droit puis USC
2005-2010 Philippe Le Bel -USC
en cours Philippe Le Bel -USC

Les secteurs de la ville

Tarbonne est divisée en 6 secteurs suivant les frontières des différents quartiers actuels; chaque secteur est représenté par un élu choisi par le peuple lors des "élections locales" de la ville, et si ses pouvoirs sont limités, il a droit de regard sur les décisions municipales touchant son secteur, il siège au conseil municipal de la ville et dispose d'un local de secteur pour recevoir les habitants du quartier.

Le secteur I regroupe les quartiers de la "Cité-Félicité", des "Remparts" et d'"Avalon"

Le secteur II regroupe les quartiers de "Saint-Pierre" et du "Roy"

Le secteur III regroupe les quartiers de la "Cathédrâle-Hôtel de Ville", de "Saint-Georges" et de "Saint-Apolsten"

Le secteur IV regroupe les quartiers de "Saint-Michel" et du "Bout du Pont"

Le secteur V regroupe les quartiers du "Figarol", le "Quartier Nord" et "Sainte-Barbe"

Le secteur VI regroupe les quartiers de la "Paroi",des "Sudistes" et de "Roquelongue"

Elections & Résultats

Résultats du 1er tour des élections municipales de février 2010 :

Inscrits : 39367 / Votants : 25222 / Blancs et Nuls : 877 / Participation : 64,06%
Philippe Le Bel (USC-sortant) - 10 645 (43,73%) - Ballotage
Marie Galois (PDS)            -  6 132 (25,19%) - Ballotage
Henri Leberte (PSS)           -  4 022 (16,52%) - Battu
José Lacaze (AES)             -  3 546 (14,57%) - Battu

Résultats du second tour des élections municipales de février 2010 :

Inscrits : 39367 / Votants : 27589 / Blancs et Nuls : 717 / Participation : 70,08%
Philippe Le Bel (USC-sortant) - 17 111 (63,68%) - Réélu
Marie Galois (PDS)            -  9 761 (36,62%) - Battue

Carte des maires de secteurs élus en juin 2010 :

Jumelages

Tarbonne n'a actuellement aucun accord particulier avec une ou plusieurs villes du pays, mais envisage prochainement d'en proposer.

Les logos

de 1965 à 1995
de 1995 à 2005
de 2005 à 2010
depuis 2010

Etablissements scolaires

Etablissements maternels & primaires

Groupe scolaire privé de la Cité
Groupe scolaire public Maurice Leroux
Groupe scolaire public Lucien Bouchard
Groupe scolaire public de La Paroi
Groupe scolaire public de Sainte-Barbe
Groupe scolaire public John Ford Kennedy
Groupe scolaire privé Saint-Pierre
Groupe scolaire public Napoléon de la Violette
Groupe scolaire public du Bout du Pont
Groupe scolaire privé Saint-Georges
Groupe scolaire public du Figarol
Groupe scolaire public Edouard Crespy
Groupe scolaire public Arnaud Vidalier
Groupe scolaire public de Roquelongue

Etablissements secondaires

Collège public Alex Lews
Collège public Henri Falcone
Collège public Edouard Crespy
Lycée public Marc Antoine
Lycée-Collège public du Figarol
Lycée-Collège privé Amandine Clerc
Lycée Privé Technique Polyvalent de Tarbonne

Santé

Tarbonne dispose de plusieurs établissements de santé, publics ou privés et offre un choix diversifié de soins.

Secteur public

Le Centre Hospitalier Universitaire de Tarbonne dispose de 9900 lits, c'est de loin l'établissement ayant la plus grande capacité d'accueil du secteur public de la ville; toutes les patologies peuvent être traiter.
L'hôpital du Roy a été fondé au Moyen-Age; ses 5500 lits disponibles offrent une qualité des soins reconnue dans toute la région; il s'est aujourd'hui spécialisé en psychiatrie.

Secteur privé

L'hôpital du Figarol, au nord de la ville, dispose de 7700 lits, c'est le plus récent des hôpitaux de la ville, il est équipé de matériel médical dernier cri.
La clinique du Fort, à Saint-Michel, offre une diversité de soins importante et dispose de 7000 lits.
La clinique esthétique de la Paroi, de renommée nationale dispose de 14300 lits et d'une école de chirurgie esthétique.
La polyclinique de la Félicité, aux pieds des remparts, a été le premier établissement privé de santé fondé au Moyen-Age; elle s'est spécialisé aujourd'hui dans la rééducation et le repos.
La clinique de la Cité, bien qu'au coeur du vieux quartier, est très récente, elle a une capacité de 1500 lits; sa proximité des lieux touristiques et du centre en fait un lieu de soins réputé.
La clinique du Bout du Pont est une clinique de quartier d'une capacité de 500 lits; elle est appréciée des riverains du fait de sa petite taille et de la disponibilité des soignants.
La clinique Saint-Symphorien d'une capacité de 500 lits est une clinique du quartier Saint-Georges.
La polyclinique de Sainte-Barbe, situé dans le quartier du même nom, elle a une capacité d'accueil de 1300 lits, elle est spécialisée dans la cancérologie.

Démographie

Evolution de la population

Voici les divers recensement réalisés par la mairie de Tarbonne, tous les 5 ans, depuis que le principe de recensement existe (cf archives municipales & ORS ).

1900= 1 115    1905=  2 899   1910=  6 488   1915=  7 890   1920=  9 990   1925= 10 110   1930= 11 212   1935= 13 289  
1940= 15 780   1945= 18 958   1950= 21 011   1955= 26 126   1960= 30 899   1965= 33 230   1970= 36 111   1975= 42 228  
1980= 50 920   1985= 51 151   1990= 55 222   1995= 55 485   2000= 59 555   2005= 63 998   2010= 68 225

Démographie de l'agglomération

Jusqu'à la fin des années 90, la population de l'agglomération tarbonnaise a augmenté sensiblement moins fortement que Tarbonne, la ville-centre drainant le plus d'activités. Depuis lé début des années 2000, les communes adjacentes trouvent une certaine autonomie dans leur développement, accentuée sans doute par la création de la CATM, notamment Saint-Philippe qui a su profiter du développement de l'aéroport. Toutes les communes de l'agglomération ont connu ces 5 dernières années une forte augmentation de population, en particulier Châteauneuf, Saint-Philippe, Orange et Saint-Hippolyte.

1900= 15 115   1905= 22 899   1910= 30 488   1915= 37 890   1920= 39 990   1925= 40 110   1930= 41 212   1935= 43 289  
1940= 45 780   1945= 48 958   1950= 51 011   1955= 56 126   1960= 60 899   1965= 63 230   1970= 66 111   1975= 72 228  
1980= 80 920   1985= 81 151   1990= 85 222   1995= 85 485   2000= 89 555   2005= 97 899   2010= 120 884

Carte de l'évolution démographique du pôle urbain

La population tarbonnaise, bien qu'en augmentation par rapport au dernier recensement, progresse bien moins vite que le reste de l'agglomération; le manque de terrains disponibles et les prix excessifs pratiqués dans la ville-centre sont sans doute la cause de cet état de fait. Les communes péri-urbaines voient leur population augmenter très fortement, autant celles disposant d'atouts économiques importants (St.Philippe, Ste.Marie, Aix, Châteauneuf et Pinsaguel), que les communes rurales disposant de terrains à construire en grand nombre (St.Hippolyte, Louiseville, Orange et Roquebrune). On remarque alors que le revenu annuel moyen des tarbonnais était supérieur à celui de l'agglomération de 12%, les classes moyennes basses fuyant vers les communes péri-urbaines pratiquant des prix inférieurs.

Origine des populations

Si les premiers habitants répertoriés dans la région de Tarbonne sont des indigènes appelés "Turbinas" qui sont arrivés des forêts du sud et se sont sédentarisés ici, la colonisation française qui a suivi fait qu'aujourd'hui l'extrême majorité de la population de la ville est d'origine francophone. Les canadiens français sont arrivés en masse à la fin des années 1960, suivis d'anglophones et d'hispanophones. Tarbonne compte également une importante communauté japonaise.

Culture & Patrimoine

Musées

Le musée de la Ville, suité dans le parc des Remparts, renferme des maquettes, tableaux, outils et poteries datant de plus de 5 siècle; des guides polyglottes proposent au départ du musée des visites de la Cité en minibus.
Le musée de la Cité, situé dans l'ancien cloître des "Turbinas", an coeur de la Cité, relate les épopées de "Turbina", de sa création à aujourd'hui; des vidéo projections sur l'histoire de Tarbonne sont proposées aux visiteurs.
Le musée des Beaux-Arts, situé dans l'enceinte de l'Ecole Supérieure des Beaux-Arts de Tarbonne propose une exposition permanente des oeuvres du peintre local Paulo Coelho, et ponctuellement d'autres artistes locaux ou de passage.
Le musée d'Histoire Naturelle de Tarbonne retrace la vie locale des dinosaures aux premiers indigènes.
Le musée Guggenheim de Tarbonne qui renferme plusieurs toiles de peintres du monde entier.

Bâtiments et lieux remarquables

La Cité

Les remparts

Constuits au XVIIème siècle par Raymond I, ils ont été remaniés au XVIII et au XIX sont encore en parfait état (4 tourelles d'entrée et 4 tours d'angles harmonisent le tout), véritable barrage contre les invasions.

Le château

Construit au XVIIème siècle par Raymond I, il a été remanié au XIXème siècle; il renferme actuellement une collection étonnante d'objets d'époque, des visites sont organisés dans les différentes pièces du château où des scènes de vie de l'époque des premiers colons franças ont été reconstitués avec des mannequins et du mobilier d'époque.

Le cloître des Turbinas

Le cloître original a été constuit à l'extérieur des remparts avant d'être déplace à l'intérieur dès le XVIIème siècle lorsque les religieux et le gouverneur local Raymond I se sont rapprochés; c'est à partir de cette date que la christianisation de Tarbonne commença. Il renferme actuellement le musée de la Cité.

L'Eglise de la Félicité

Premier lieu de culte de Tarbonne, elle a été construite en 30 ans par les religieux des Turbinas au XVIIème siècle.

La Halle aux Grains

Plus vieux marché de la ville.

Le monastère du Roy

Appelé aussi le "monastère des Bénédictins" le monastère du Roy a été créé au XVIIIème siècle par l'ordre religieux des Bénédictins venus prêcher la bonne parole aux habitants et concurrencer l'ordre des Turbinas; deux fois se distinguèrent alors : les chrétiens de la Cité, fidèles à Raymond I et aux Turbinas, et les chrétiens du reste du Bourg, les anciens indigènes devenus paysans. Il renferme aujourd'hui le lycée privé Amandine Clerc; le monastère existe toujours, il a été déplace dans le quartier Saint-Georges.

Le monastère des Bénédictins

Aujourd'hui situé en bord d'Avalon dans le quartier Saint-Georges, il est encore occupé par des moines Bénédictins.

L'ancienne université

La première université de Tarbonne, datant du XIVème siècle renferme aujourd'hui l'Ecole Supérieure de Commerce; c'est un bijou architectural de cette époque.

L'hôpital du Roy

C'est le premier hospice de la ville, créé par Raymond I, il est toujours en activité.

L'université

L'université de Tarbonne I fut construite pour accueillir un plus grand nombre d'étudiant, autrefois entassés dans l'ancienne université.

L'Ecole Supérieure des Beaux-Arts

Toujours en activité, elle est aussi un musée, elle date du XVIIIème siècle, elle a été réalisée par l'architecte Arnaud Vidalier, architecte de Louis Simoni.

La cathédrâle Saint-Martin

C'est le plus grand lieu de culte de la ville, elle a été construite par les moines Bénédictins au XIXème siècle.

La cathédrâle Saint-Michel

C'est le lieu de culte de la rive gauche, dans la quartier du même nom, plus haut édifice religieux de Tarbonne, elle a été construite sous ordre du Conseil des Sages par les moines Turbinas en 1740.

L' abbaye du Roy

Fondée par les moins Turbinas, c'était l'école de formation des moines, elle officie encore de nos jours.

L' église Saint-Gabriel

Dans le quartier Roquelongue, c'est la fidèle reconstitution d'une église allemande.

Nature & Environnement

Les parcs

Le parc des Remparts

Situé entre l'Avalon et les remparts de la Cité, c'est le plus grand parc de la ville; il accueille la plupart des manifestations de la ville.

Le parc du Roy

C'est le plus ancien parc de la ville, il renferme des espèces d'arbres exotiques.

Le parc des Fontaines

C'est un parc dit "urbain" en bordure du musée Guggenheim.

Le parc de la Paroi

C'est un parc de loisirs prisé des habitants du quartier de la Paroi.

Le parc Saint-Martin

Ce parc est situé aux pieds de la cathédrâle du même nom, très prisé des tarbonnais qui travaillent dans le centreville.

Le parc Lucien Bouchard

C'est un petit parc au coeur du Quartier Nord.

Le parc du Campus

Ce parc entoure le pôle universitaire de Tarbonne II et offre aux étudiants un endroit de détente.

Le jardin des Bannières

Au coeur de la Cité, ce petit parc offre un coin de verdure aux habitants et aux touristes qui visite la Cité.

Le parc Saint-Pierre

Véritable poumon vert du quartier, il est dispose d'un petit lac.

Les berges de l'Avalon

Véritable source de vie de la ville, l'Avalon sépare les quartiers du Bout du Pont et de Saint-Michel du reste de la ville. La municipalité tend à aménager ses berges tout le long de son territoire; un parcours de santé est à l'étude.

Le zoo de Sainte-Barbe

Ouvert il y a 25 ans, il renferme plusieurs espèces vivant dans les zones tropicales de notre planète.

Gastronomie

Le gâteau à la broche est un dessert très apprecié des tarbonnais; c'est un gâteau de fête, souvent utilisé pour Noel ou lors de mariages.

Le haricot tarbonnais est la spécialité gastronomique de la ville; pouvant être cuisiné de toutes sortes, il a été depuis toujours l'aliment de base de la population de la région qui le cultivait en grande quantité. Une fête lui ai consacré chaqune année au mois de janvier.

Le porc noir de Tarbonne est élevée par les agriculteurs locaux depuis des décennies, c'est le repas dominical traditionnel.

Manifestations

Les fêtes

La "Fête du Haricot" sé déroule chaque année le dernier weekend du mois de janvier dans la Cité, il permet la dégustation du fameux haricot, cuisiné de toutes sortes.

La "Fête du Lézard" se déroule chaque année du 15 au 20 avril pour commémorer le symbole de la ville, plusieurs manifestations sont organisées à cete occasion.

Les "Fêtes de Tarbonne" se déroulent tous les ans du 15 au 25 juin; c'est l'occasion de découvrir le patrimoine local, la Cité, ses remparts et le château de Tarbonne.

La "Fête de la Musique" a lieu tous les ans du 18 au 20 juin; dans toute la ville plusieurs bandas et groupes musicaux proposent leur musique dans des bars ou dans la rue.

La "Fête de la Nature" se déroule du 1er au 15 juillet chaque année, sur le parc des Remparts et permet aux tarbonnais et aux touristes de découvrir l'environnement et les produits locaux à travers la mise en place de plusieurs stands, d'un marché des produits et des saveurs, une présentation de la faune et de la flore des environs de Tarbonne.

La "Fête du cochon", du 1er au 5 août est l'occasion de déguster du porc de Tarbonne, la spécialité locale, sur les étales prévues à cet effet au marché centrale de la ville.

La "Fête de l'Avalon" du 1er au 5 septembre pendant laquelle sont organisés plusieurs pique-niques sur les berges de la rivière.

La "Fête du Patrimoine" qui se déroule du 14 au 18 septembre est l'occasion de visiter gratuitement les lieux remarquables de la ville.

Les congrès

Le congrès national de Chirurgie Esthétique de Tarbonne se déroule chaque année du 15 au 18 septembre est l'occasion d'organiser la rencontre des professionnels de l'esthétique et de la chirurgie plastique autour de différents colloques, le congrès se termine par une soirée débat ouvert au public.

Le congrès national de l'Environnement de Tarbonne se déroule chaque année le premier weekend d'octobre sur deux jours et demi et regroupe les acteurs publiques et politiques du Simland autour de débats et de présentation de projets environnementaux.

Les marchés

Le "Marché aux puces" se déroule début mai sur une semaine, c'est la grande braderie de la ville, organisé dans le parc des Remparts.

Les "Journées des Saveurs" ont lieu chaque année du 20 au 30 août dans chaque quartier de Tarbonne, et sont l'occasion de déguster des plats locaux ou internationaux réalisés par les habitants.

Le "Marché de noel" se déroule tous les ans durant tout le mois de décembre, c'est l'occasion de faire ses achats de dernière minute, des chalets, des animations et une patinoire sont installés pour le plaisir de tous place du Simland.

Médias

Tarbonne est le siège de deux journaux papiers locaux "La Presse" et "La Gazette de Tarbonne", respectivement tirés à 12.000 et 5.000 exemplaires; ce sont des quotidiens locaux appréciés de la population. La ville imprime également un journal municipal relatant l'actualité de la ville et de l'agglomération : "Tarbonne Magazine" et "Publi Tarbonne" répertoriant l'ensemble des petites annonces. Tarbonne dispose de trois stations de radio locale "Tarbonne FM" et "Métropole FM" émettant toutes les deux sur l'ensemble de l'agglomération tarbonnaise et la dernière née "100% Radio" qui est une radio musicale. Enfin une chaîne de télévision locale a été ouverte par la municipalité en 2002, "Tarbonne TV" que l'on peut capter sur toute l'agglomération.

Sports

Installations sportives

L'hippodrome de la Paroi
Le stadium de la Métropole
Le stade Marc Antoine
Le complexe sportif de la Paroi
La piscine de la Paroi
Le centre nautique Edouard Crespy
Le complexe sportif de Saint-Michel
La piscine du Bout du Pont
Le complexe sportif de l'Université

Clubs locaux

Les "Cougars" est le club tarbonnais de football qui joue actuellement en ligue national.
Les "Dauphins" est le club nautique tarbonnais.

Personnages célèbres

Raymond I, premier gouverneur de la ville de 1679 à 1707. (1650-1707)
Edouard Crespy, premier maire élu de Tarbonne de 1960 à 1980. (1914-1989)
Henri Falcone, maire de Tarbonne de 1990 à 2005, il a fondé la CATM. (1939-2007)
Philippe Le Bel, maire de Tarbonne de 2005 à aujourd'hui et président de la CATM depuis 2010. (1970-)
Etienne Malesherbes, sportif tarbonnais, capitaine de l'équipe de football des "Cougars" de 2000 à 2003. (1977-)
Séverine Hoareau, sportive tarbonnaise, médaillée de bronze aux JO de Vancouver 2010. (1990-)
Arnaud Vidalier, architecte de Louis Simoni, il a réalisé quelques beaux bâtiments de la ville. (1660-1735)
Simone Beaulieu, écrivain. (1918-1995)
Lucien Bouchard, commerçant. (1707-1767)
Louis Simoni, négociant, administrateur de la ville de 1707 à 1726. (1671-1726)

Voir aussi

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