Utopia
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Utopia «UNE VILLE CAPITALE» | ||||
Pays | Simland | |||
État | Papaya | Apach | |||
Maire | Khrystof | |||
Gentilé | Utopien(ne) | |||
Population | 1 050.000 hab | |||
Slogan | Une ville Capitale | |||
Altitude | 23 m en moyenne | |||
Aéroport | Aéroport de Cap TEN | |||
Villes jumelées | Ramur_City | |||
Equipe de football | Internacional Utopia CF | |||
Topic de la ville | ||||
Quartiers et communes d' Utopia | |
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Bahia Moais | Bananas | Barrio politico | El porto | Estuario | Futura | la Palud | Las Decaro | Los salinas | Porto cacao | la Punta | Quartier Lumière | San Miguel | Universidades | Vieja Ciudad |
Utopia
est la Capitale Fédérale de la Nation de Simland. Ancienne capitale des Apach, elle est aujourd'hui rattachée à l'Etat de Papaya depuis la Régionalisation des Etats fin 2011. Son apport dans la civilisation simlandaise est immense : elle est considérée comme l'une des plus belles villes de la Nation et cette qualité lui a été déterminante dans son accession au titre de Capitale Fédérale à la fin de l'année 2011. Son son maire est Khrystof.
C'est la principale ville de la côte ouest de l'état de Papaya. Elle compte un peu plus d'un million d'habitants dont le gentilé est "Utopien".
Fondée par les colons espagnols, elle a su en garder caractères et traditions. La ville et sa région ont pour principaux secteurs d'activité le tourisme, l'agriculture, l'artisanat et le commerce.
La Capitale de Simland tire son nom d'un néologisme du grec ancien pour désigner la société idéale.
Sommaire
Géographie
Topographie
Aceira se situe sur la côte ouest de l'État de l'Apach (Papaya).
La commune d'Utopia s'étend sur environ 12 kilomètres d'est en ouest et près de 8 kilomètres du nord au sud.
L'agglomération est située entre la zone nationale protégée de la Forêt Opikanoba et l'Océan Pacifique.
Relief
La commune d'Utopia est située sur la côte ouest de Simland au pour-tour d'une lagune, avec une altitude moyenne de 20 mètres.
Le point culminant de la région d'Utopia s'élève à 428 mètres. C'est le Monte Cristo surmonté d'une statue du "Christ rédempteur".
Géologie
La lagune constituée d'une étendue d'eau peu profonde est séparée de la mer par un cordon littoral.
Ce cordon de sable fin est un espace naturellement mobile et vulnérable aux assauts de la mer (tempête ou, tsunami) est en parti urbanisé.
Ce plan d'eau, en liaison permanente avec la mer, est plus ou moins saumâtre, suivant les apports du bassin versant, qui varient selon la saison.
La communication avec le milieu marin est réalisée par un « grau » face au quartier ancien d'Estuario.
Climat
Utopia bénéficie d'un climat doux, quasi subtropical.
Les hivers sont plutôt doux et très humides (les gelées sont très rares, tout comme les chutes de neige mais restent possibles), les étés chauds et orageux. L'automne est souvent marqué par de violentes tempêtes.
Les moyennes maximales habituelles vont de 12°C en Janvier jusqu’à 30°C en Juillet. La pluviométrie annuelle est en moyenne de 2000 mm, et les pluies se produisent généralement sous forme de violentes averses.
Les records météorologiques établis à Utopia sont:
- Pluviométrie
- Annuelle : 3101 mm (1957)
- Quotidienne : 478 mm (12/10/1988)
- Température
- Moyenne annuelle la plus élevée: 18,8°C (1976)
- Moyenne annuelle la plus faible: 13,1°C (1925 et 1944)
- Température maximale: 41,0°C (30/07/1998)
- Température minimale: -4,1°C (17/02/1964)
- Vent (rafale maximale): 199 km/h (10/10/1974)
- Neige (couche maximale): 3 cm (21/01/1933)
Mois | Janv | Fév | Mars | Avr | Mai | Juin | Juil | Août | Sept | Oct | Nov | Déc | Année |
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Températures minimales moyennes (°C) | 3 | 7 | 10 | 12 | 15 | 17 | 18 | 17 | 14 | 11 | 8 | 4 | 11 |
Températures moyennes (°C) | 8 | 11 | 14 | 17 | 20 | 23 | 24 | 23 | 19 | 15 | 12 | 9 | 16 |
Températures maximales moyennes (°C) | 12 | 14 | 17 | 21 | 24 | 28 | 30 | 28 | 24 | 18 | 15 | 13 | 20 |
Précipitations mensuelles moyennes (mm) | 270 | 210 | 180 | 145 | 100 | 80 | 60 | 90 | 175 | 200 | 225 | 255 | 1990 |
Héraldique
Le blasonnement des armes d'Utopia est le suivant:
« deux travailleurs protégés par une couronne de lauriers développent: l'élevage, l’exploitation forestière pour les représentants historique de la Castille, représenté par le château en or et rouge.' »
Ce blason symbolise "la paix des travailleurs libres".
Il a été adopté a l'issu de la guerre du coton qui conduit à l'abolition de l'esclavage.
On retrouve sur ce blason, les couleurs de la ville (bleu, vert et jaune),
Depuis 2010, la commune a adopté le slogan « un ville capitale » .
Cependant la devise historique de la ville est: « Evoluer au soleil » (« proficio sub sol » en latin).
Histoire
La genèse
Après sa découverte en 1572 cette contrée poissonneuse et protégée des vents fut colonisée en 1590 sous l’impulsion de LUIS DE VELASCO.
La lagune était le lieu idéal pour créer un camp de base permettant l’exploration de la Forêt Opikanoba.
Persuadés que cette étendue d’eau n’était autre que le Lac Parimé décrit dans la légende de l’EL DORADO, les premiers colons donnèrent à ce lieu le nom d’UTOPIA.
Le Castelo de la Palud fut érigé pour défendre la future colonie.
Les expéditions
Le 2 mars 1594, le port d'Utopia est en effervescence, deux navires sont à quai prêts à partir: l'Esperanza et la Primavera, à la tête de cette expédition deux explorateurs: Luis Solano Padeoz et Raúl De Reyes. L'expédition, soutenue par le Roi d'Espagne Philippe II, a pour objectif l'exploration de la côte est de l'Apach.
Les navires longent les côtes Apach et Comoréennes jusqu'au cap de l'actuelle Sun City puis remontent vers le nord. Après un périple de plus de 1300 kilomètres sur les mers, les deux bateaux accostent dans une petite baie: la Bahía Azul
L'exploration du territoire commence alors. Dans les jours qui suivent une grande partie du littoral de la région est totalement découverte. Les moines et les colons décident alors d'un emplacement pour s'installer, au sommet d'une petite colline sur un cap à environ trois kilomètres au sud du lieu où a eu lieu leur débarquement. Le 23 mars 1594, la ville d'Aceira est officiellement fondée.
L'évangélisation
Quelques membres de l’ordre des FRANCISCAINSvoient dans la flore et la faune locale une allégorie du JARDIN D’EDEN.
Ils décident de s'installer un peu plus à l'intérieur des terres, afin d'éviter les moustiques. Leur communauté fondée sur la pauvreté totale et la prédication, bâtit une simple église entourée de quelques maisons et développent l’art du vin au pied d'une colline afin de pouvoir célébrer leurs offices décemment.
Des murs de soutènements sont construits pour maintenir la terre créant ainsi des vignobles en terrasse à l’image de ceux de LAVAUX. C'est l'origine des grands crus Apach tel que Vignoble des Arenas ou de La Capela.
Une ordonnance royale de 1606 donne une base légale aux entreprises JÉSUITES afin que ces dernières mettent en place des REDUCOES dont le but était de regrouper les populations indigènes pour mieux les intégrer au système politico-économique, de les protéger des razzias de chasseurs d'esclaves, mais aussi de les évangéliser et de les civiliser.
Un premier collège fut fondé par les JÉSUITES en 1607 afin de former LES MISSIONNAIRES nécessaires à cette entreprise.
Ce collège devint rapidement une université reconnue, les locaux sont d'ailleurs encore utilisés par la Faculté d'anthropologie et de sciences humaines.
L'effondrement démographique
Les Européens apportèrent avec eux des maladies contre lesquelles les Simérindiens n'étaient pas immunisés. Des maladies comme la coqueluche, la rougeole ou la variole qui sévissaient depuis des millénaires dans l'Ancien Monde, provoquèrent une surmortalité.
Sans pouvoir préciser avec certitude l'ampleur de l'impact de ces maladies infectieuses, le taux de mortalité aurait atteint 90 pour cent pour certaines populations.
Le peuple simérindien des Moais et celui des Kumbus disparurent complêtement. Seul quelques Atounamatata isolés dans la forêt furent épargnés par ces maladies contagieuses.
Déclin de l'emprise Espagnole
En 1618, les troupes sont rappelées en métropole pour prêter main forte aux soldats engagés dans les campagnes de la GUERRE DE 30 ANS. Les colonies sont désertées par les forces armées.
La résistance des Atounamatatas s'organise: leur nombre et leurs connaissances des lieux font d'eux des adversaires redoutables.
Les espagnols sont obligés de se retrancher dans leurs cités, abandonnant une grande partie des marais et laissant ainsi une place vide pour d'autres.
Le temps des pirates
A partir de 1620 la lagune d’Utopia désertée par l’armée espagnole devint le lieu idéal afin que les pirates se cachent et créent une base arrière. Ils attaquaient les navires qui descendaient les côtes Apach pour rejoindre le Cap de Sun City.
La faiblesse des structures de pouvoir institutionnelles et sociales dans les colonies laissait le champ libre à la révolte. Le choix de la piraterie n'était pas tant un choix de carrière, visant à l'enrichissement personnel, qu'une rupture avec la société de l'époque. Les jeunes vendus au service du navire ou ceux qui avaient subi un enrôlement de force n'avaient pas choisi de monter à bord et d'endurer toutes les peines que cela représentait. Ils devaient pourtant servir dans un système où ils ne possédaient presque aucun droit.
Il ne s'agissait pas seulement de piller et de s'enrichir, mais de s'élever contre l'injustice. La plupart des équipages pirates ont eu une "carrière" de moins d'un an, il s'agissait d'hommes qui n'avaient rien à perdre, condamnés à mort pour s'être rebellés, ce qui les rendaient particulièrement redoutables au combat.
L'organisation démocratique des équipages, illustrent cette remise en cause des règles sociales.
Le peuple Atounamatata fit bon accueil et protégeât ces marins qui maîtrisaient les armes modernes et partageaient leurs valeurs démocratiques.
Ces valeurs deviennent rapidement la base d'un nouveau système de gouvernement. Même si ce sont les riches bourgeois qui en profitent le plus.
Le comptoir colonial Portuguais
Le 1er décembre 1640, la petite noblesse du Portugal porte sur le trône l'un des siens, Jean IV de Bragance.
Les portugais, dont une partie de l’empire fut annexée par les néerlandais pendant la domination espagnole de leur métropole, veulent reprendre un second souffle en créant un comptoir colonial à Utopia.
Le but purement commercial de ce type de colonisation n'a pas été combattu par la résistance composée de pirates et du peuple Atounamatata, qui voyaient là une bonne occasion de gagner de l'argent et de s'armer contre l'ennemi espagnol.
Les portuguais s’installèrent au niveau du chenal d’entrée de la lagune prenant ainsi une place stratégique dans l'échiquier commercial et économique de la baie. Ils construisent d'abord le Fort San Juan. Puis créèrent un port qui devint rapidement la première plaque tournante maritime de la région, aux dépends des espagnols dont les bateaux étaient continuellement assaillis. Afin de montrer leur savoir faire, ils construisirent l'Eglesia azul dont ont peu encore admirer les AZULEJOS
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