Ecole viticole de Saintes la Mer
Ecole viticole Saintes la Mer | |
Devise | Si le vin est bon , bois le |
Informations | |
Fondation | 30 mai 1887 |
Type | Établissement public d'enseignement agricole |
Régime linguistique | Français, Anglais. |
Dotation | 200 millioms |
Localisation | |
Pays | Simland |
État | Queens |
Chiffres clés | |
Enseignants | 90 |
Étudiants | 1 360 |
Diplômés/an | 1 180 |
Présentation
L'Ecole viticole Saintes la Mer est une école spécialisée d'enseignement agricole dans la commune de Saintes la Mer près de Campton au Queens. C'est la plus grande école du monde rural néo-charentais avec 1360 étudiants. Il n'existe pas d'équivalence dans le monde rural camptonais malgré le projet de lycée d'enseignement agricole. Cette école a été construite ici suite à la culture viticole qui y est produite. Autrefois restreinte aux cépages de la côte, l'école s'est diversifiée en intégrant l'ensemble des cépages néo-charentais y compris ceux des monts Muffats. La production locale permettant de produire le pinot de Nouvelle Charente ou encore le Cognac.
Les productions ont été exportées par les colons français originaires de la province de l'Aunis et Saintonge, par conséquent le vin produit en Nouvelle Charente est exactement le même que celui produit dans la région des Charentes en France.
L'Ecole viticole a vu le jour en 1887 face à l'engouement pour les métiers autour du vin à l'époque. Depuis, les formations se succèdent et l'école forment 1.180 étudiants aux métiers du vin chaque année. Parmi ces métiers, on retrouve les oenologues, les vignerons ou encore les sommeliers ou les négociants en vin.
C'est une école réputée, le fait qu'elle se trouve en dehors de la ville fait d'elle une exception parmi les grandes écoles de l'agglomération camptonaise.
Saintes la Mer accueille également une autre école spécialisée: celle des Arts du cirque.
Histoire du vin en nouvelle Charente
Le vin et la viticulture sont apparus quasi simultanément en même temps que les colons français. Ce sont eux qui plantent les premiers cépages dans les années 1650 1660. Ce sont des cépages bien particuliers puisqu'ils proviennent des régions de l'Aunis et du Saintonge ( actuels département de Charente et Charente Maritime en France). Les productions sont sensiblement les mêmes tant dans le savoir faire que dans la production.
Il existe toutefois quelques particularités du point de vue technique de travail car les vignes néo-charentaises sont plus escarpées et plus propices à l'humidité qu'en Charente. Le climat est également différent. En France, le climat est océanique tandis qu'au Queens, le climat est subtropical de façade est ( de type chinois). Toutes ces caractéristiques font du vin néo-charentais un vin plus fort en goût, légèrement acidulée comparé au Cognac et pinot français.
Lorsque les Anglais envahissent la région en 1763, ils font appel aux vignerons francophones car ils ne possèdent pas autant de savoir-faire qu'eux ( les anglais ne sont pas habitués à pratiquer autant la viticulture). Malheureusement, malgré tous les efforts des Anglais pour maintenir cette activité, les vignes disparaissent progressivement au profit de l'élevage ou de la céréaliculture. Les maladies comme le Phylloxéra n'épargneront pas les vignes à la fin du 19 ème siècle. Il faudra attendre les années 1920 pour voir la production augmenter. La 2ème Guerre Mondiale et les batailles entre l'armée américaine, queensiennes et japonaise vont donner presque raison aux vignes de Nouvelles Charente.
Après la guerre, les vignes se redéveloppent de manière exponentielle et le métier se modernise avec de nouvelles méthodes et techniques. Dans les années 70, la production néo-charentaise se fait connaître en dehors du comté et est popularisée par la jet set de Campton, New Amsterdam ou encore Les Ulysses qui en est friands.
A partir des années 90, l'agro-tourisme viticole fait des émules et le métier vise particulièrement les touristes étrangers comme les Chinois, les Américains ou encore les Japonais.
Dans les années 2000 et 2010, la production connaît une forte concurrence mondiale mais sa réputation n'a rien à envier à la célèbre production française. L'exportation à l'étranger et au Queens est très bonne et le métier a de beaux jours devant lui.
Formations
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