Union des Simlandais du Centre
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| USC | |
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| Nom du parti | L'Union des Simlandais du Centre |
| Initiales | USC |
| Tendance du parti | Centriste |
| Date de fondation | 10 juin 2007 |
| Derniers résultats (Nom et %) | 17,5% pour Benjaz aux Elections d'Octobre 2007 (éliminé au premier tour) |
| Président | Benjaz |
| Le siège est à | Château Bonnot (provisoirement) |
| Nb d'adhérents | 90.000 |
| le Topic de USC (Forums Simland) | |
L'Union des Simlandais du centre (USC) est un parti politique simlandais fondé en juin 2006 par Benjaz
Origines
C'est Benjaz, l'actuel porte parole du gouvernement de Simland, qui est à l'origine de l'USC. A la suite de sa rupture avec l'AES, avec laquelle il était en désaccord sur certains sujets commes les coconuts, Benjaz souhaitait créer un grand parti du centre qui reprend quelques idées énoncées dans la campagne de Kev' et qui lui permettrait de se retrouver en bonne place pour les prochaines elections présidentielles. Il s'est aussi inspiré du MoDem français comme courant de pensée. C'est donc un parti centriste qui a pour principal conviction de faire avancer Simland
La Campagne d'octobre 2007
Les membres de l'USC sont Benjaz, MaxCC, Ralph, lelex, Ayiana, Jaïk et Guillaume de Hohenzollern, momo, cop, videoman et Halotime
Le vice président de l'USC est MaxCC
Différentes propositions ont déja été étudiées durant les réunions internes. L'idée d'élections gouvernementales ont été retenus pour les élection d'ocobre. L'USC préconise, au contraire de l'AES, une urbanisation respectueuse des îles coconuts. Le parti travaille aussi sur des réformes de l'économie Simlandaise.
C'est Benjaz qui à représenté le parti lors des élections présidentielles d'octobre 2007. Celle ci ce sont soldées par un échec puisque le parti n'a receuilli que 17,5% des suffrages. La Concurrance très relevée (Max et Khrystof) aura ainsi empêché Benjaz de se hisser au second tour des élections. Jardas a d'ailleurs démissionné de son poste de directeur de campagne, et le parti amorce une nouvelle reconstruction, sans toutefois parler de crise
