Aceira

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Villes de Simland
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Aceira
« La ville rouge et or »
Pays Simland Drapeausimland ico.jpg
État Apach | 14
Maire Taupin
Nombre de PG 0 PG
Gentilé Acéirois(e)
Population 80.000 hab
Altitude 0 à 80 m
Aéroport Aucun
Villes jumelées Aucune
Opération Wikipage Non classé
Topic de la ville
Carte situation Aceira2.jpg

Aceira est une ville de l' Apach, son maire est Taupin. C'est la principale ville de la côte est de l'état de l'Apach. Elle compte un peu plus de 80000 habitants. Le gentilé est acéirois(e). Fondée par les colons espagnols en 1594, elle a su rapidement se développer. La ville et sa région ont pour principaux secteurs d'activité le tourisme, l'agriculture, l'exploitation des ressources naturelles, l'artisanat et le commerce.

Sommaire

LogoGeo.jpg Géographie

Relief et Géologie

Carte du relief de la région d'Aceira

La commune d'Aceira est située entre le niveau de la mer et 80 mètres d'altitude, avec une altitude moyenne de 20 mètres. Le point culminant de la région d'Aceira s'élève à 207 mètres, c'est le Monte Verde (Mont Vert).

Autres principaux sommets de l'agglomération acéiroise
Monte de la Peldaño gris (Mont de la Marche Grise) 198 m
Monte Grescada (Mont Grescada) 178 m
Loma del Observatorio (Butte de l'Observatoire) 151 m
Colina de la Navidad (Colline de La Navidad) 57 m

Le littoral est essentiellement constitué de plages sablonneuses. Le sous-sol de la région est essentiellement sablonneux et constitué de roches sédimentaires (argile notamment). On trouve également quelques traces de roches calcaires dans les collines acéiroises.

Topographie

Situation géographique d'Aceira

Aceira se situe sur la côte est de l'État de l'Apach, à environ 350 kilomètres à vol d'oiseau de la capitale d'état Utopia.

La commune d'Aceira s'étend sur environ 4 kilomètres d'est en ouest et près de 6 kilomètres du nord au sud.

L'agglomération acéiroise est située entre la zone nationale protégée de la Forêt Opikanoba, les collines Vertes (le massif situé à l'ouest de la ville) et l'Océan Pacifique.

Climat

Aceira bénéficie d'un climat océanique doux sur le littoral, et plutôt continental doux et humide aux abords de la Forêt Opikanoba. Les hivers sont relativement doux et très humides, les étés chauds et orageux. Les moyennes maximales habituelles vont de 10°C en Janvier jusqu’à 29°C en Juillet. La pluviométrie annuelle est en moyenne de 1800 mm.

Graphique de la climatologie acéiroise

Les records météorologiques établis à Aceira sont:

  • Pluviométrie
    • Annuelle : 2744 mm (1957)
    • Quotidienne : 481 mm (6/11/2000)
  • Température
    • Moyenne annuelle la plus élevée: 18,3°C (1976)
    • Moyenne annuelle la plus faible: 12,9°C (1944)
    • Température maximale: 40,1°C (29/07/1998)
    • Température minimale: -5,8°C (11/01/1982)
  • Vent (rafale maximale): 186 km/h (14/10/1996)
  • Neige (couche maximale): 8 cm (17/02/1964)
Climatologie d'Aceira
Mois Janv Fév Mars Avr Mai Juin Juil Août Sept Oct Nov Déc Année
Températures minimales moyennes (°C) 2 5 8 10 13 15 18 16 14 11 7 3 10
Températures moyennes (°C) 6 9 13 15 18 21 24 22 18 15 11 7 15
Températures maximales moyennes (°C) 10 13 17 20 23 27 29 28 22 18 14 11 19
Précipitations mensuelles moyennes (mm) 255 200 170 125 90 70 55 75 150 190 205 240 1825

Démographie

Lors de sa fondation par les colons espagnols en 1594, Aceira ne compte qu'une centaine d'habitants. Son expansion se déroule plus ou moins rapidement au cours des XVIIème et XVIIIème siècles. Elle devient nettement plus rapide au cours du XIXème siècle grâce à l'industrialisation, avant de marquer le pas dans la première moitié du XXème siècle. Le développement du tourisme à partir des années 50, va nettement favoriser la reprise de la croissance démographique. En effet, un nombre important d'emplois est créé grâce à cette nouvelle activité, favorisant principalement le développement de la banlieue acéiroise où fleurissent les logements à loyers modérés durant les années 60 et 70.

En 2009, la ville compte ? habitants intramuros pour une superficie de ? km² soit une densité de ? hab./km². L'agglomération acéiroise compte quant à elle ? habitants. La commune d'Aceira a enregistré en 2008: 12500 immigrants et 8100 naissances pour 9700 émigrants et 7900 décès.

LogoHerladique.jpg Héraldique

Armoiries de la ville d'Aceira

Le blasonnement des armes d'Aceira est le suivant: « De gueules au dextrochère orangé tenant une épée d'argent garnie d'or, et à l'ombre de soleil d'or dressée et mouvante. »

On retrouve sur ce blason, les couleurs de la ville (rouge et or), le symbole de cette dernière: le soleil, et le dextrochère (le bras) tenant une épée symbolise quant à lui la puissance coloniale espagnole.

Depuis 2007, la commune a adopté le slogan « Vous êtes chez vous » (« Usted está en su casa » en espagnol). Cependant la devise historique de la ville est: « Pour Dieu et la Nation » (« Para Dios y la Nación » en espagnol). La cité acéiroise est surnommée « La ville rouge et or » (« La ciudad roja y oro » en espagnol), le rouge représentant la nation originelle des colons (l'Espagne) et l'or représente le soleil qui brille une grande partie de l'année à Aceira.

LogoHistoire.jpg Histoire

La naissance et l'expansion rapide de la ville

Alors qu'Utopia a été fondée en 1590 pour constituer un «camp de base» à l'exploration de la forêt Opikanoba, la jeune cité coloniale va devenir le point de départ de l'expédition qui a pour point final la fondation d'Aceira.

Gravure datant du XVIIIème siècle représentant l'Esperanza

Le 2 mars 1594, le port d'Utopia est en effervescence, deux navires sont à quais prêts à partir: l'Esperanza et la Primavera, à la tête de cette expédition deux explorateurs: Luis Solano Padeoz et Raúl De Reyes. L'expédition, soutenue par le Roi d'Espagne Philippe II , a pour objectif l'exploration de la côte est de l'Apach, qui est inaccessible depuis l'intérieur des terres, en effet la forêt Opikanoba est beaucoup trop grande et s'y hasarder trop profondément sans connaître sa taille réelle ni la destination finale est beaucoup trop dangereux. Au delà de l'aspect scientifique de l'expédition, l'Espagne compte étendre sa domination dans ce que De Reyes nommait le «Troisième Monde»1. 254 personnes embarquent à bord des deux navires. Parmi elles on compte quelques familles de colons, près de 150 fantassins et 6 missionnaires franciscains2.

Les navires longent les côtes Apachs et Comoréennes jusqu'au cap de Sun City puis remontent vers le nord. Après un périple de plus de 1300 kilomètres sur les mers, les deux bateaux accostent dans une petite baie: la Bahía Azul (la Baie Azur) le 17 mars 1594. L'exploration du territoire commence alors. Dans les jours qui suivent une grande partie du littoral de la région est totalement découverte. Les moines et les colons décident alors d'un emplacement pour s'installer, au sommet d'une petite colline sur un cap à environ trois kilomètres au sud du lieu où a eu lieu leur débarquement. Le 23 mars 1594, la ville d'Aceira est officiellement fondée. Une petite église est alors bâtie, d'abord essentiellement en bois trouvé dans la forêt toute proche: la Iglesia San Victorian (le 23 mars étant le jour de la Saint Victorien). Les quelques familles de colons, qui faisaient partie du voyage, commencent à s'installer. Ce petit village compte alors environ 80 habitants.

Le 30 mars, alors que Raúl de Reyes continue d'explorer le territoire, Luis Solano Padeoz embarque de nouveau à bord de la Primavera et l'équipage poursuit sa route vers le nord. Avec lui il emmène le jeune cartographe Valdo Rubén Niberia, qui, suite à ce voyage, sera le premier à cartographier les actuels états des Apach et Comores. Le 1er avril, à cinq kilomètres au sud-ouest d'Aceira, un groupe d'environ 25 hommes mené par Raúl de Reyes rencontre pour la première fois des autochtones simérendiens. Malgré la barrière de la langue, la rencontre avec la tribu Akapaya est plutôt pacifique.

En juin 1594, Raúl de Reyes décide de rester à Aceira et s'installe environ à un kilomètre au nord du village où il se fait bâtir la Villa de Cabo Blanco (Cap Blanc). Au mois d'août, Luis Solano Padeoz revient à Utopia, la nouvelle de leurs découvertes se répend alors rapidement jusqu'en Espagne et de nouvelles expéditions sont alors organisées. Le 26 septembre 1594, ce sont quatre navires qui partent d'Utopia pour agrandir la colonie acéiroise. Et en octobre 1594, une vaste expédition de 18 bateaux part du port de Cadix menée par Alfonso Bertoldo De Cassiliaña. Ces deux expéditions ont pour objectif de renforcer la présence coloniale espagnole à Aceira. A la fin de l'année 1595 un nouveau village est créé environ un kilomètre à l'ouest de la ville: Oronan.

Avec l'arrivée de nouveaux colons espagnols et de soldats au cours de l'année 1595, la ville se développe rapidement et devient le centre de la domination espagnole sur la côte orientale de l'Apach. Autour d'Aceira, des fortifications sont construites pour protéger la nouvelle cité. En février 1596, Aceira et les villages alentours comptent environ 1500 habitants. Cette jeune colonie devient alors la capitale de la province éponyme et Raúl de Reyes est nommé gouverneur. Dès lors, la ville va continuer rapidement son expansion, grâce au développement de l'agriculture, de l'élevage et de l'exploitation des ressources forestières et, à partir du début du XVIIème siècle, des ressources minières.

Le 31 mai 1598, Raúl de Reyes lance de grands travaux à Aceira3: la construction d'un port à l'endroit même où ont débarqués les premiers colons (Puerto d'Aceira), la sécurisation de la route reliant ce nouveau port à la ville et la construction d'une résidence pour le gouverneur au centre de la cité. Cela va donner à Aceira une nouvelle dimension, celle d'un important comptoir commercial, notamment grâce à sa position stratégique: c'est avec Utopia une escale idéalement placée entre les Indes et le Nouveau Monde. Ces travaux vont durer plusieurs années et ne s'achèveront qu'en 1610, quelques années après la mort de Raúl de Reyes en 1603.

C'est Alfonso Bertoldo De Cassiliaña qui lui succède au poste de gouverneur de la province acéiroise, en novembre 1603. Lui aussi va participer activement au développement et l'expansion d'Aceira et sa province. Afin de sécuriser un peu plus la province, il fait construire plusieurs fortins sur les côtes et le Fuerte de la Navidad(Fort de la Navidad) autour de l'Iglesia de la Navidad, dont les travaux débutent en décembre 1605. La Navidad constitue alors un nouveau village fortifié situé à un peu plus de deux kilomètres à l'ouest d'Aceira. A la fin de l'année 1606, la région acéiroise compte déjà plus de 2500 habitants (soit une augmentation d'environ 70% en seulement 10 ans).

Le développement de la ville aux XVIIème et XVIIIème siècles

Jusqu'en 1620, l'essor économique d'Aceira s'est poursuivi, attirant de nombreux immigrants. Mais avec le début de la Guerre de Trente Ans en Europe durant l'année 1618, la majorité des soldats présents à Aceira sont rappelés en Europe pour défendre l'Empire Espagnol. Or depuis quelques années les populations autochtones se méfient des colons qui ne cessent d'étendre leur influence et les autochtones accusent les espagnols de «voler» leurs terres. De plus, le phénomène d'acculturation (conversions au christianisme, apprentissage de l'espagnol) va accentuer les tensions entre les populations simérendiennes et les colons espagnols. Inévitablement, avec le départ des forces armées qui protégeaient la colonie, celle-ci va se retrouver très affaiblie face à d'éventuelles attaques ennemies.

Le 8 mai 1621, profitant du départ des soldats espagnols, une centaine d'autochtones des tribus Akapaya et Moaiis attaquent le village de Bosquada, un village de paysans, construit à partir du milieu des années 1610. Sans défense, beaucoup des habitants de La Bosquada se réfugient dans le Fort de La Navidad où sont encore postés une vingtaine de soldats. Cette attaque causera la mort de trois colons et marque le début d'une période de troubles entre les espagnols et les peuples Akapaya et Moaiis.

La révolution industrielle au XIXème siècle

Le XXème siècle: l'économie du tourisme

LogoQuartiers.jpg Les quartiers de la ville

Centre-ville

Centre historique d'Aceira.

Costa del Sol

Côte touristique fortement urbanisée à partir des années 50.

El Pequeño Cabo

Anciennement commune de Cap-Blanc(Cabo Blanco) jusqu'en 1642.

La Navidad

Commune indépendante jusqu'en 1703.

Pequeña Colina

Anciennement commune d'Oronan jusqu'en 1642.

Baja Ciudad

Urbanisé à partir de 1610.

Bosquada

Commune indépendante jusqu'en 1858.

Barrio del Negocio

CBD construit à partir de 1964.

Zone commerciale «Carretera del Norte»

Construite à partir de 1973.

Barrio del Puerto

Port d'Aceira et son quartier, anciennement commune de Puerto d'Aceira jusqu'en 1668.

Agglomération

Urbanisme

Transports et infrastructures

Accès à la ville

Par la route
Par le train

Transports urbains

Port d'Aceira

Histoire
Activité actuelle

Monuments

Parcs et jardins

Parc de la Liberté (Centre ville), Jardin Botanique (Ville basse), Parc perché (La Navidad)

Lieux de culte et cimetières

Economie

Emplois

Secteurs d'activités

Culture et éducation

Education

Carte scolaire

Universités et enseignement supérieur

Culture

Musées

Opéra

Cinémas et salles de spectacle

Bibliothèques

Les Arènes (Las Arenas)

Histoire et architecture
La Feria d'Aceira

Traditions et culture locale

Événements et festivités

Santé

Administrations et services publics

Maires d'Aceira

Cultes

Tourisme

Sport

Equipements sportifs

Clubs de la ville

Football: Real Aceira

Basket-ball: Aceira Juniors

Album photo

Notes et Références

  1. D'après le journal de bord de Raúl De Reyes, Dario de a bordo, R. De Reyes, 1594, folio 2, Manuscrit original disponible à la Bibliiothèque Centrale d'Aceira.
  2. D'après le journal de bord de Raúl De Reyes, Dario de a bordo, R. De Reyes, 1594, folio 5, Manuscrit original disponible à la Bibliiothèque Centrale d'Aceira.
  3. Décret du gouverneur de la province d'Aceira, R. De Reyes, 31 mai 1598, disponible à la Bibliiothèque Centrale d'Aceira.


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