Association Ecologique Simlandaise

Parti politique simlandais
Institutions simlandaises

Parti actif

Association Ecologique Simlandaise
Président	Thib1630
Fondation	Simsécologistes: 2004 PSV: 2005 AES: 4 septembre 2006
Siège	95, Richardson Avenue 16301 Brockbain
Vice-président	Taupin
Porte-parole	Aucun
Représentation du parti
Députés	?/?
Gouvernorats	1/16
Maires (villes de plus de 20000 habitants)	4
Derniers résultats	Sanosuke - 62,74% (le 4 novembre 2008, Élu président au second tour)
Idéologie	Écologie, Politique verte,
Nombre d'adhérents	50.000 (5 membres réels)
Couleur(s)	Vert
Portail Politique

L'Association Écologique Simlandaise (AES) est un parti politique simlandais à tendance écologiste, créé le 4 Septembre 2006. Il succède au Parti Simland Vert, lui-même remplaçant du parti Simsécologistes.

Histoire

2004 - 2006 : Les origines

Le parti Simsécologistes fut fondé par Manubest en 2004 puis rebaptisé PSV(Parti Simland Vert) en 2005. Ils défendaient des valeurs très fortement axées sur l'écologie et la protection de l'environnement, avec notamment les Plans Verts(I, II, et III), majoritairement rejetés par la population simlandaise. Suite à l'Affaire Manubest, J-bar reprit en main le parti le 11 juin 2006 en axant moins la politique sur l'écologie et la recentrant plus sur la social-démocratie. Sa véritable relance aura lieu le 3 juillet 2006, mais ne parvient pas à redresser la barre et semble sombrer petit à petit, Djay déclarera même à ce propos le 31 août 2006: «Les partis politiques ne sont pas essentiels pour l'avenir politique de Simland. À l'avenir je vois bien des candidats indépendants se présenter aux Présidentielles». Manubest définitivement exclu du paysage politique simlandais, J-bar renonçant rapidement à en conserver les rênes, Wahou lui succède le 4 septembre 2006 avec la fondation de l'AES qui remplace l'ancien PSV. La relance du seul parti simlandais à vocation écologiste va se faire progressivement. Le parti soutient dès novembre un projet de piste cyclable (La ligne verte) reliant Lostande Flor(SD) à Cap Ten(AP). Mais l'activité du parti semble à nouveau s'essouffler.

2007 : La vaine course à la présidence

Une affiche électorale de Khrystof lors de la campagne d'octobre 2007

Wahou ayant amorcé une baisse de régime et les membres souhaitant une présidence tournante justifiée pour plus d'activité, Max fut élu président de l'AES lors de l'assemblée générale du 9 mars 2007. C'est lors de cette même assemblée générale que Rafi est désigné candidat à l'élection présidentielle d'avril 2007 au nom de l'AES. Mais ce dernier ne recueille que 22% des voix au premier tour, ce qui est insuffisant pour accéder au tour suivant. Malgré cet échec, l'AES devient néanmoins le parti majoritaire du gouvernement Djay (2007) dans lequel Max est nommé premier ministre. Aux élections présidentielles d'octobre 2007, le candidat choisi par les membres pour représenter l'AES est Khrystof. Durant cette période, Max, membre fondateur de l'AES, décide de quitter le parti pour se présenter sous les couleurs du PDS, des membres comme Rafi le rejoindront alors, n'approuvant pas la politique de Khrystof. En effet, lors des primaires au sein de l'AES, la tension était nettement palpable entre les deux candidats à l'investiture: Max et Khrystof, avant le retrait de Max. Mais Khrystof passera le premier tour en tête avec 45% des suffrages, avant de perdre au second tour face à Max avec 45,2%. Suite à cette défaite, il décide de quitter le parti. Dans le Gouvernement Max, l'AES occupe tout de même deux ministères : celui des transports avec Ag et celui du tourisme et de l'environnement avec Wahou. En décembre 2007, Ag devient le premier ministre de ce gouvernement, qui reprend ainsi la cohabitation AES-PDS, comme sous le gouvernement Djay (2007).

Avril 2008 : La victoire inattendue

Des membres AES lors d'une réunion de campagne en mars 2008

Après la défaite d'octobre 2007 qui aura profondément déstabilisé le parti, avec le départ de membres comme Khrystof, Max, Rafi et Wham17000, le parti parvient toutefois à se relever grâce à Ag, soutenu par Mael et Wahou. Le parti est alors très diminué après cette seconde défaite consécutive aux présidentielles et sans personnalité d'envergure au sein du parti. Au fil des réunions, l'organisation en interne se construit progressivement et l'AES entame finalement assez sereinement et de manière soudée, bien que mal placé dans les différents sondages, l'échéance présidentielle d'Avril 2008 avec Ag à sa tête. Sim Fan déclarera même: «L'AES a de grandes chances d'avoir un de ses membres comme président, la preuve en est qu'ils ont déjà un des leurs premier ministre.» Le candidat Ag parvient à passer le premier tour, profitant du mauvais score du PDV, pourtant donné favori, qui ne parvient même pas à passer au second tour. Profitant du report de voix du parti violettiste, l'AES s'impose largement face aux centristes et remporte pour la première fois de son histoire les élections présidentielles simlandaises. L'AES devient alors l'un des plus importants partis de Simland.

Octobre 2008 : La confirmation de la popularité du parti

Des membres AES réunis en septembre 2008

Le 1er septembre Ag annonce que: «Le mandat actuel se déroule plutôt bien, je me sens à l'aise en tant que président mais je sais que je ne me représenterais pas en octobre et que ce mandat sera certainement le dernier mandat gouvernemental que j'occuperai.» À la fin du mandat Ag, l'AES fait le choix d'une alliance avec le PDV, son principal allié politique, et décide d'approuver la candidature de Sanosuke. Cette alliance va offrir à Mael le poste de colistier. L'Alliance AES-PDV triomphe (62,74% des voix au second tour), et l'AES est alors le parti le plus représenté dans le nouveau gouvernement. La campagne électorale est aussi marquée par le départ d'Ag du poste de président de l'AES, et de celui de James à la vice-présidence, après plus d'un an à la tête du parti; ils sont remplacés respectivement par Alex Lews et Toto, marquant un tournant dans la vie du parti.

2009 : Période de doutes

L'année 2009 commence dans la plus grande confusion au sein du parti, la nouvelle équipe directrice a du mal à rassembler ses troupes et les membres semblent avoir des difficultés à définir leur stratégie pour l'échéance d'avril 2009. L'annonce, le 9 avril, d'une alliance AES-Centre avec Alex Lews et Napoléon La Violette(en tant qu'indépendant) peine à convaincre les membres de l'AES qui reprochent à leurs dirigeants de ne pas les avoir consulté suffisamment au sujet de l'alliance. Ag, figure historique du parti, déclare même vouloir quitter celui-ci: «Quitter l'AES est aussi dans mes idées, je ne me retrouve plus trop dans l'image actuelle du parti, dans aucun d'ailleurs je pense.» C'est un coup de tonnerre, et dans les jours qui suivent, les esprits vont s'échauffer au sein de l'AES. Le 15 avril, Napoléon La Violette dissout l'alliance pour se présenter seul à l'élection présidentielle. Le parti n'a alors aucun candidat, est totalement désorganisé et a perdu toute orientation. Le 20 avril, Alex Lews démissionne de son poste de président de l'AES. Les dissensions entre les membres grandissent et certains quittent le parti. Toto assure l'intérim à la tête du parti après le 20 avril. Mais l'organisation est défaillante, malgré la bonne volonté de certains membres et les tentatives d'Ag pour relancer la machine, Alex Lews déclare le 17 mai: «Je crains que l'AES ne sombre!» Pourtant deux jours plus tard, Mael décide de reprendre en main le parti et de conduire un «projet de parti démocratique». Mais malheureusement, les actes ne suivront pas les paroles. Le parti semble vouer à disparaître, il n'est plus le grand parti simlandais qu'il était un an plus tôt et est déserté par ses membres. Cependant, de jeunes membres veulent adhérer au parti à l'automne, donnant ainsi l'espoir d'une renaissance peu avant les élections présidentielles d'octobre 2009 auxquelles l'AES ne participera pas une nouvelle fois. En décembre, Krides prend l'initiative de reprendre les rênes du parti, mais là aussi, le parti semble toujours aussi moribond. En février 2010, de nouveaux membres adhèrent au parti, un nouveau départ pour l'AES semble se dessiner.

2010 : La renaissance

Avant les élections d'avril 2010, le parti écologiste simlandais vie reprend petit à petit. Mais encore une fois, le parti à des difficultés à se relever, et Krides quitte le parti pour rejoindre le MSU. La situation à l'été 2010 est à l'image de Simland, catastrophique et moribonde. Mais contre toute attente, thib1630, un jeune Simlandais, va décider de reprendre en main le parti le 17 septembre 2010. De nouveaux membres y adhèrent et une nouvelle équipe dirigeante constituée de thib1630 au poste de président de l'AES et de Taupin à celui de vice-président est nommée. Pour marquer le renouveau du parti, celui déménage ses locaux à Brockbain et sa charte est remise à jour. Le parti veut à nouveau devenir un grand parti dans le paysage politique simlandais et n'hésite pas à multiplier les prises de position et les actions coup de poing comme la manifestation devant le siège de Thoulak Énergies début octobre pour réclamer la fermeture des centrales à charbon thoulakiennes. Le parti, jugé par ses dirigeants encore trop faible pour se présenter aux élections d'octobre 2010 choisit de soutenir le ticket Alex Lews - Aachenar.

Organisation interne

L'AES est présent à travers toutes les grandes villes de Simland.

Siège social, Ramur City

Le siège de l'AES à Ramur City

L'AES Building est implanté à la fois dans Central Park et sur l'avenue centrale de Ramur City. Il a un accès direct à la gare TGV Ramur City par la ligne de tramway rouge. Il est construit avec des matériaux écologiques et représente la simplicité et la pureté de l'Ecologisme en 7 étages + 4 sous-sol soit 2 400 m carrés de bureaux, 24 salles de réunion, un restaurant bio, une salle des congrès et quelques chambres. C'est dans ce batiment que l'AES se réunit pour les grands événements annuels du parti avec les élections de président du parti ou des primaires AES. Cependant l'AES a pour intention de déménager sous peu il se pourrait qu'elle met en vente son immeuble.

Résultats électoraux

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