Guerre des gangs de Campton : Différence entre versions

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(Emeutes et 2ème guerre des Gangs (1992-1995))
(la "paix relative" (1995-2008))
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La période qui suit est beaucoup plus paisible. La situation des ghettos devient une préoccupation majeure et les pouvoirs publics décident d'améliorer le quotidien des populations avec des réaménagements, des plans de rénovation urbaine, des politiques sociales fortes.
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De plus, les mentalités évoluent, la population noires et latino n'est plus autant victime de racisme et de stigmatisation avec le statut officiel de citoyens. Sur le plan de criminalité, les gangs sont délaissés, les chefs des Crips et des Bloods sont régulièrement arrêtés et croulent sous les procès.
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C'est la "paix relative". Relative car les activités mafieuses se poursuivent dans la ville et la criminalité reste très forte dans certains quartiers. Toutefois aucune émeutes et aucune activité criminelles mafieuse liée à un gang n'est à déplorer durant cette période.
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La situation économique est également meilleure permettant l'intégration des populations.
  
 
===La 3ème guerre des gangs (depuis 2008)===
 
===La 3ème guerre des gangs (depuis 2008)===

Version du 22 avril 2016 à 14:55

Guerre des Gangs de Campton
Histoire de Campton
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Pays Simland Drapeausimland ico.jpg
État Queens Drapeau Queens.png
Ville Campton1419004144-essaicamptonpetit.png
Causes et conséquences
Causes Bavures policières, tensions raciales et sociales.
Conséquences Augmentation de la délinquance, des trafics d'armes et de drogues
Dates
Début 1980
Fin Toujours d'actualité
Localisation
Quartiers Ghettos de Campton
Statistiques
Couts dégradations
90 millions de simléons
Nombre de victimes 4.800 personnes depuis 1992
Trafics armes, drogues dont crack et marijuana.
Plus gros dégats ghetto de South Campton

Contexte

Bavures policières et vague de racisme

Alors que la vague d'immigration en provenance des Caraïbes est en phase de se terminer à la fin des années 60 et début des années 70, les familles sont regroupées dans des quartiers ouvriers insalubres où ils sont agglutinés les uns sur les autres. En 1972, face à l'oubli des autorités publiques, ces populations se retrouvent à l'abandon et sont obligées de faire vivre leur quartier par leur propre moyen.Les services publics n'existent plus ou très peu.

Cette situation sociale est également le théâtre d'une vague de stigmatisation envers la population noire. Le racisme est monnaie courante et les tensions s'accentuent. Les enfants de ces immigrés sont également stigmatisés bien que Queensiens.

Cette population est également la première à être touchée par la crise économique car peu qualifiée. Ces situations entraînent des manifestations sociales pour la revendication des droits des noirs. Beaucoup n'étant pas considérés comme citoyen à proprement parler. Les manifestations sont importantes et parfois violentes. La Police de Campton intervient violemment et est accusée de bavures policières. En février 1972, plusieurs policiers sont accusés d'avoir volontairement utilisés leurs armes envers les manifestants noirs pour enrayer la manifestation pacifique. Cette situation va entraîner la création de deux gangs à tendance noir: les Bloods et les Cripssur fond de domination des territoires et sur fond de trafic de drogues.

Revendication des droits civiques noires et latino

Les populations noires vont revendiquer des droits civiques à l'image des Etats-Unis 10 ans plus tôt. En 1972, les noirs suivis par les latinos vont revendiquer une citoyenneté à part entière se considérant comme Queensien et non comme des immigrés.

Ces revendications vont dénoncés le racisme, les bavures policières et toutes les formes de discriminations en fonction de l'origine, de la couleur de la peau ou du lieu d'habitation.

La création de gangs rivales ne va pas plaire aux organisations pacifiques qui vont manifester dans les rues de leur ghetto. En 1974 l'Association des Noirs de Campton est créée pour contrer la violence des gangs.

Trafic de drogues et d'armes

En 1972, la création des Crips et des Bloods se fait sur fond de violence. Chaque gang souhaitant imposer sa propre loi. Si au départ les gangs sont crées en réponse aux bavures policières, ils vont se diversifier sur le trafic d'arme et de la drogue.

Le crack et la marijuana sont un fléau qui ne cesse de progresser, les gangs vont profiter de cette augmentation pour imposer leur loi et s'imposer dans des territoires. La rivalité entre les 2 gangs débute, c'est le début de la guerre des gangs en 1972.

Histoire

La 1 ere guerre des gangs 1972-1989

En 1972, les ghettos du Sud de la ville ( South Campton, Mullholand et Baxter) sont le théâtre de violences récurrentes à cause de la drogue et des armes. La Police réprimande violemment les dealers et les prisons sont remplies très rapidement. En 1975, les autorités sont vite débordées, le phénomène s’amplifie dans d'autres ghettos de la ville et de nombreux règlements de compte sont visibles.

Les gangs souhaitent obtenir le monopole sur le marche du crack et de la marijuana, plusieurs kilos et tonnes de drogues sont saisis mais rien n'y fait. Très vite, les Bloods et les Crips revendiquent tel ou tel crime.

Tout au long des années 80, la guerre des gangs devient le principal fléau de la ville renforçant le sentiment de stigmatisation des populations et des ghettos.

Les premiers plans de sécurité apparaissent vers 1986, les effectifs policiers se multiplient et la question de l'insécurité devient très vite une préoccupation majeure des politiques de la ville.

Suite à ces plans de sécurité massifs, de nombreux gangsters sont arrêtés, de plus les prix du crack et de la marijuana baissent considérablement limitant les activités des gangs. En 1989, aucune agression en relation avec les gangs n'est à déplorer, c'est la première fois depuis 1972. Officiellement, les politiques annonce la fin de la guerre des gangs sans arrêter les principaux leaders.

Droits civiques et manifestations sociales(1989-1992)

A la fin des années 80, les manifestations pacifiques reprennent de plus bel en revendiquant les droits civiques pour les populations noires et latinos. La mairie de l'époque refuse catégoriquement, le droit de vote est toutefois accordée mais uniquement pour les hommes noirs.

Ces inégalités et ces refus entraînent plusieurs semaines de manifestations. Le début des années 90 est particulièrement riche en tensions sociale.Le 23 juin 1992, Campton connaît sa plus grosse manifestation sociale de son histoire avec 400.000 manifestants dont une forte majorité de noirs et de latinos.

Cette manifestation sera pacifique mais la Police va commettre une grosse bavure en tirant à balle réelle sur un cortège de jeunes adolescents prétextant "un danger immédiat". Cette bavure va provoquer une grosse colère chez les manifestants qui va tourner à l'émeute. Il y aura 13 morts dont 3 policiers. C'est le début des emeutes de Campton.

Emeutes et 2ème guerre des Gangs (1992-1995)

Artdetail.gif Article détaillé : Emeutes_de_Campton

Les émeutes de Campton seront liées à des tensions sociales mais les principaux gangs profitent de l'occasion pour retrouver leur activité. Le trafic de drogue et d'arme reprend et les gangs se servent des émeutes pour prendre des territoires tout en poursuivant leur activité de règlement de compte. C 'est la deuxième guerre des gangs.

De 1992 à 1996, les ghettos de Campton vivent dans la peur de nouvelles émeutes quasi quotidiennes et dans la peur d'une nouvelle guerre des gangs.

De nouveaux gangs apparaissent en fonction des ethnies pour pouvoir obtenir le monopole des trafics. Les Yakusas et les triades chinoises font leur apparition ainsi que la mafia italienne russe et simlandaise. Les émeutes et la guerre des gangs de rue arrangent les affaires des mafieux. La première moitié des années 90 est appelé "la période du crime".

En 1994, suite aux emeutes de Campton, les deux chefs fondateurs des Bloods: Richard Wittson et John Mac Kenzie seront tués par un commando des Crips. Les deux chefs actuels vont prendre le relais dès la fin des années 90.

Les autorités politiques semblent impuissantes face à ces situations et Campton est surnommée la "capitale du crime". Il faudra attendre de nouvelle élections municipales et l'abolition totale des arrêtés municipaux racistes et discriminatoires pour arrêter cette spirale infernale. Toutefois la situation dans les ghettos est calamiteuse et la ville s'est trop endettée dans la sécurité pour pouvoir améliorer le quotidien des habitants. En 1996, la ville est quasi ruinée par les politiques sécuritaires.

la "paix relative" (1995-2008)

La période qui suit est beaucoup plus paisible. La situation des ghettos devient une préoccupation majeure et les pouvoirs publics décident d'améliorer le quotidien des populations avec des réaménagements, des plans de rénovation urbaine, des politiques sociales fortes.

De plus, les mentalités évoluent, la population noires et latino n'est plus autant victime de racisme et de stigmatisation avec le statut officiel de citoyens. Sur le plan de criminalité, les gangs sont délaissés, les chefs des Crips et des Bloods sont régulièrement arrêtés et croulent sous les procès.

C'est la "paix relative". Relative car les activités mafieuses se poursuivent dans la ville et la criminalité reste très forte dans certains quartiers. Toutefois aucune émeutes et aucune activité criminelles mafieuse liée à un gang n'est à déplorer durant cette période.

La situation économique est également meilleure permettant l'intégration des populations.

La 3ème guerre des gangs (depuis 2008)

Les gangs de la ville

Bloods

Crips

Latino Boys

Les triades chinoises

Les Yakusas

Mafia italienne

Mafia russe

===Mafia simlandaise===