Bloods

Un article de WikiSimland 3.0.
Aller à : navigation, rechercher
Bloods Of Campton
Red Gang
Bloods.jpg
Pays Simland Drapeausimland ico.jpg
État Queens Drapeau Queens.png
Ville Campton1419004144-essaicamptonpetit.png
Chefs et associés
Chefs Arnold Gonsip et James Rewarders
Associés Billy Mac Finders et Matthew Walt
Activités
Principale(s) Trafic de drogue, d'armes,règlements de compte
Secondaire(s) Corruption, menaces
Rivaux Crips ,
Localisation
Superficie East Campton, South Campton.
Statistiques
Création
1972
Nombre de victimes entre 30.000 et 35.000.
Classement gangs 2ème
Territoires revendiqués Mullholland et Baxter

Présentation

Les Bloods (autrement appelés "Bloods of Campton") sont un des gangs emblématiques de la ville de Campton au Queens et un des plus dangereux également. Il a été crée par John Mac Kenzie et Richard Wittson en 1972 pour répondre à la menace d'un autre gang rival : les Crips. C'est d'ailleurs à partir de cette date là que la Guerre des gangs a commence à Campton.

Les Bloods contrôlent l'est et le Sud de Campton et souhaitent diversifier leurs activités à Mullholland et Baxter, des territoires appartenant aux Crips. Les Bloods font partis d'une alliance de gang appelée les People Nation, alliance qui sévit dans toute la fédération de Simland et rivalisant avec les Folks Nation, autre alliance rivale.

D'après le classement des gangs les plus dangereux de Simland, les Bloods sont le 2ème en terme de crimes mais aussi en terme d'effectif, ils serait plus de 700 individus, un chiffre en augmentation depuis 2010 après avoir longtemps chuté.

Longtemps ancré à Campton, les Bloods tout comme les Crips ont tendance à se développer en dehors de la ville vers d'autres grandes villes grâce aux alliances de gang. On retrouve beaucoup de gangs similaires ou des gangs se revendiquant des Bloods à New Amsterdam.

Les membres des Bloods se reconnaissent entre eux grâce à des gestes mais aussi grâce à des codes vestimentaires tournant autour du noir mais surtout du rouge.


Histoire

Dans les années 50-60, Campton voit sa population s'agrandir grâce à une forte immigration en provenance des Caraïbes, d'Amérique Latine et de Papaya. La population afro-simlandaise fait son apparition au même titre que la population latino Simlandaise. Ces populations sont concentrées dans des ghettos tout autour de Downtown où les populations blanches ont fui la Ville.

Ces ghettos ouvriers font le bonheur des entreprises qui peuvent disposer d'une main d'oeuvre pas cher et peu qualifiée. Au milieu des années 70, des revendications apparaissent chez ses populations et les habitants de ces ghettos se sentent complètement délaissés par les autorités. La crise économique fait son apparition et ses populations sont victimes du chômage, de l'insécurité et d'actes racistes de la part de la Police.

Au début des années 70, plusieurs gangs se forment, ils sont souvent d'inspiration ethnique et sociale. En 1972, Ils finissent par se réunir en 2 groupes distincts: les Crips et les Bloods. Les Crips seront les premiers à se former et à prendre le marché de la drogue (crack notamment) et à devenir influent dans tout les ghettos.

Les Crips vont même apparaître dans les ghettos de South Campton. En réaction, les Bloods décident de concurrencer les Crips sur le marché de la drogue et décide de reconquérir des territoires perdus. C'est ainsi que la Guerre des gangs de Campton éclate dès 1972. En 1994, suite aux emeutes de Campton, les deux chefs fondateurs des Bloods: Richard Wittson et John Mac Kenzie seront tués par un commando des Crips. Les deux chefs actuels vont prendre le relais dès la fin des années 90.

Il faudra attendre la fin des années 2000 pour entendre reparler des Bloods et une 3ème guerre des gangs. Depuis 2010, leur nombre a augmenté passant de 560 en 2010 à 700 aujourd'hui. Les Bloods ont fait près de 35.000 victimes depuis leur création. Avec leur rivaux, ils font la réputation sulfureuse des ghettos de Campton.

Activités

Dessin graphique d'un blood.


Le trafic de drogue, d'armes et les meurtres sont les activités principales des Bloods qui tentent depuis les années 80 de conquérir le marché du crack puis depuis les années 90 le marché de la marijuana. La légalisation de la marijuana à Papaya a considérablement augmenté les appétits de conquête des Bloods qui souhaitent se répandre dans tout le Sud de Simland.

En parallèle et afin de se défendre des Crips, les Bloods sont également rentrés dans le trafic d'armes et commercent avec de nombreuses mafias du Queens ou encore du Thoulak.

Depuis 20 ans, les Bloods ont diversifié leurs activités en se spécialisant dans le proxénétisme, les meurtres et les règlements de compte. Ils sont responsables de nombreux meurtres notamment dans les teritoires ennemis mais aussi dans les territoires à conquérir.


En parralèlle avec leurs principales activités, les Bloods n'hésitent pas à commettre des viols, des vols en tout genre poussant les autorités à réagir de manière brutale et provoquant l'exaspération de l'opinion public. Enfin la corruption est également de mise puisque les Bloods se sont spécialisés dans les pots au vins concernant la Police de Campton ou encore certaines institutions locales comme des associations, la mairie etc...

L'objectif étant de pouvoir faire ses activités sans que les autorités ne viennent les déranger ou les dénoncer sous peine de menaces. Cette pratique était très utilisée dans les années 90 entre 2 guerres des gangs.

Codes

Signes des Crips et des Bloods

Langage des signes et langues

Cela peut paraître très curieux mais les Bloods se reconnaissent grâce à un système de codes très particulier. Une forme de langage des signes qui signifie l'appartenance au gang. Autre curiosité: les Bloods parlent anglais entre eux mais parlent le Zoulu en dehors du gang. Une langue complètement inconnue au Queens qui permet aux membres du gang de se comprendre sans se faire comprendre par les Crips et la Police.

Le créole antillais est parfois parlé, les chefs de gang parlant un mélange de zoulou et de créole permettant de complexifier la compréhension. Les Associés privilégient le Zoulou.

Certains utilisent également les sifflements ou encore communiquent entre eux via les armes.

Le langage est donc très particulier en ce qui concerne les Bloods.

Le Rouge et le Noir

Ce sont les couleurs principales du gang et plus particulièrement le rouge sang pour signifier l'appartenance au gang. Le symbole du gang est d'ailleurs le foulard de couleur rouge, beaucoup de membre le porte.

Enfin, les Bloods utilisent la couleur rouge pour revendiquer à peu près tout: un meurtre, une limite de territoire ou encore une activité diverse. Les Bloods se reconnaissent via le code vestimentaire et via également l'étoile à 5 branches qui est typique du gang. Ils soutiennent toutes les équipes sportives portant le rouge et l'étoile à 5 branches. Cela est valable pour le basketball notamment.

Les grafitis imbibés de rouge marque une limite de territoire appartenant aux Bloods, le Sud et l'Est de la Ville en sont remplis. Enfin le Noir peut se combiner avec le rouge, il signifie l'origine afro-antillaise du gang qui est principalement noir dans son ensemble. Le noir représente aussi le néant des ghettos ou encore la censure que le gang dénonce régulièrement.

Les bloods dans l'opinion

Code vestimentaire des Bloods.

L'opinion public craint énormément les Bloods (comme n'importe quel gang) et la mauvaise réputation du gang ne fait qu’accélérer cette crainte. Toutefois, l'appartenance au gang est très répandue chez certains sportifs ou encore artistes. C'est particulièrement le cas dans le monde du basketball et du hip hop.

Enfin, la notion de guerre des gang et le mouvement Gangsta Rap ont permis à ces gangs de se faire une renommée artistique pendant les périodes calmes. Aujourd'hui, le mythe des Bloods apparaît ouvertement dans les vêtements, les publicités tout comme les Crips. Certains y voit de la publicité gratuite d'autres considérant que la guerre des gang possède une part de "légende urbaine".

Ce lobbying des gangs est régulièrement contesté par les politiques mais apprécié chez les jeunes générations de l'opinion public. La notion de gang assurant l'appartenance à un groupe.