SSPA
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| SSPA | |
| PDG | Yu Langlay |
| Date de création | 4 décembre 2011 |
| Activité(s) | Société de défense des animaux |
| Forum | Lien vers le sujet |
| Siège social | |
| Adresse | |
La Société Simlandais de Protection des Animaux ou "SSPA" est une association à but non lucratif qui permet la préservation des espèces animales simlandaise dans tout le pays. Débutant en 2011 avec des labels ainsi qu'un projet de cartographie des espèces dans ancien état des Comores puis de Papaya, la SSPA a aussi été dans des procès face à des simlandais pour la protection de certaines espèces comme les phoques dans le procès contre Metri. La SSPA a par la suite oeuvrait en silence avec un nouveau projet pour le Lewsland concernant la cartographie des espèces. Aujourd'hui la société se lance dans un nouveau projet en se disant un phrase simple : "Pourquoi faire selon les états puisqu'il y a Simland ?"
Sommaire
Cartographie des Espèces
Espèces Terrestres
Le Caribou
Le Castor Simlandais
Le Gerenuk
Le Glouton
Le Gnou
Le Grizzly
Le Lion des Plaines (ou Lion Nain)
Le Flamant Rose
Le Gibbon Doré (ou Gibbon Comorien)
Le Leopard des Neiges (ou Panthère)
Espèces Marines
Le Lion de Mer
Le Requin de Recif
Centres de la SSPA
La SSPA possède plusieurs centre dans le pays qui permette l'étude et la préservation des espèces animales simlandaise. Il en existe 5 en tout.
- Le Centre mère de la SSPA de Dayle est la maison mère, s'occupant principalement de la paperasse et des études de statistiques.
- L'Observatoire nordique Langlay de Valik qui observe et étudie l'écosystème polaire ainsi que la climatologie. Le centre a été entièrement financé par Yu Langlay.
- L'Observatoire des espèces marines de Lewiston qui est spécialisé dans les espèces vivant dans l'eaux, les mammifères marins ... le centre se trouve dans le plus grand aquarium du pays.
- Le Centre de la Réserve Helvetica de Santa Maria est spécialisé dans la sauvegarde et la reproduction des espèces les plus menacés tel que le gibbon par exemple.
- Le Natural Hirohito center à Fukuota est un point d'observation des espèces tropical mais aussi de laboratoire pour étudier les biomes des espèces.
Projets et Mobilisations
- 2011 : Le massacre des phoques aux Lewsland.
Dans cette première mobilisation de la SSPA dans l'aide des animaux, la société s'est penché sur le cas du massacre des phoques au nord du Lewsland par des firmes de cosmétiques et de luxe et dont le gouvernement lewslandais laissait passé outre les lois de protections visant à éviter les génocides animales. Un procès fut ouvert par la SSPA contre le Général Metri, qui avait participé à ce massacre en s'essayant à des manigances pour ne pas que le gouvernement de l'état intervienne. Dans cette histoire, le général fut condamné a une peine et la SSPA remporta le combat. Aujourd'hui le Lewsland s'excuse encore pour cette histoire et a décider via son programme "Flore et faune du Lewsland" soutenu par le Lewsland Grünen, de protéger son patrimoine naturel et animal !
- 2013 : Papaya et la déforestation de masse.
Lors de la mandature de Sebastien en Papaya, l'état sudiste de Simland, un plan de déforestation accéléré fut lancé dans l'optique de libérer de l'espace pour la construction de ville et village moderne afin de rendre l'état attractif et d'augmenter sa population. Un plan qui en oublia fortement les nombreuses espèces animales et végétales rares et uniques dans ses riches et grandes forets forment l'Opikanoba. Ce riche patrimoine naturel abrite en autre le Tigre de Papaya, le Cheval de Przewalski, le Dragon de Komodo, l'Okapi mais aussi surtout l'une des espèces les plus menacés du pays et vivant dans la Réserve Naturel Helvetiki dans les iles nord des Comores. Cette réserve est le seul lieu de vit du gibbon et qui a failli être supprimé par l'industrie du bois et de l'immobilier avec l'accord du gouvernement de Papaya ! Heureusement, la mobilisation de la population régionale et nationale ainsi que l'intervention des ancien gouverneur des Comores, Yu Langlay et The Angel Resurrection ont fait radicalement changé les choses afin que Sebastien se rétracte sous la pression.
- 2016 : La pêche massive des baleines à Hirohito.
Nouveau massacre mis à vue par les médias simlandais (Agence Simland Presse) et dont la SSPA compte bien s'emparé avant de changer les choses, le massacre des baleines sur les iles Hirohito dans la mer du Japon. Une mobilisation qui semble néanmoins plus complexe au vu de l'histoire de cette chasse qui est aussi une économie nourricière pour cette région reculé de Simland et dont le gouvernement de Méridionie ne semble pas en mesure de lui même régler les conflits entre les défenseurs du plus gros animal au monde et les pêcheurs voulant nourrir leurs familles. Pourtant tout pourrait basculé avec la venu de la maire Yatsumi Toshikawa qui possède un tendance dans le Parti Ecologiste Hirohito.
Pour plus d'information : L'Affaire Baleine
Dans ce graphique l'on observe beaucoup de chose ! Les états les plus avancé dans la sauvegarde de leur environnement et des espèces présentent sur les territoires sont souvent aussi ceux qui possèdes des espèces en voie d'extinction ou qui ont subit un génocide animal tel que Papaya ou le Lewsland. Ce sont aussi des états où la présence de la SSPA est très important. La quasi totalité des états optent aussi pour un programme dépassant largement le seuil des 50% d'investissement (qui signifie un investissement financier, politique et d'intervention humaine), seul deux états sont encore dans une réticence, le Thoulak qui profite d'une large industrialisation minière de ses terres ainsi que de l'industrie du bois, provoquant ainsi la destruction d'habitats naturels ou encore la chasse interdite et la Méridionie qui fait opte pour une politique de l'autruche tant que les fonts renflouent les caisses de l'état. La SSPA félicite aussi principalement deux états où elle estime n'avoir aucun recourt à effectué, l'Hudson et la Whamphalie qui ont fait de l'environnement un atout majeur pour l'économie via le tourisme vert et la sauvegarde des milieux naturels. Au Thoulak, cela semble plus difficile bien que l'état ne montre pas de grand signe de génocide animal.
