SIG : Différence entre versions
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− | + | L'industrialisation de la petite ville de l'[[Aléo County]] continue sans ralentir, notamment en 1912 lorsque la [[Queens Motor Company]] est fondée. La compagnie automobile sera le principal client et partenaire de SIG durant de nombreuses décennies, SIG lui fournissant une grande quantité de cuivre et de métaux nécessaire à l'usinage des premiers moteurs et camions de la QMC. | |
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+ | La ville continue sa croissance pour atteindre 32'500 habitants au début de la première guerre mondiale. La guerre favorise la production industrielle, même si de nombreuses petites entreprises ferment leurs portes à cette époque. Il ne reste majoritairement plus que les grandes usines. La Lowell Cooper Company fusionne en 1919 avec plusieurs sociétés industrielles dont elle était l'actionnaire majoritaire pour former le Simland Industrial Group, qui englobe l'extraction du minerai de cuivre, la découpe de matériaux ferreux, la cimenterie (tri des remblais des mines). | ||
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+ | En 1920, la première usine de SIG est construite en contrebas du Mont Mays dont est extrait à l'époque près de 45% du cuivre simlandais. Il s'agit d'une usine d'extraction cuprifère, dans le but de traiter directement les minerais sur place, ce qui n'était jusqu'alors pas le cas. Il s'agit au moment de sa construction de la plus grande usine de la petite ville et va influer sur toute l'économie locale, drainant des investisseurs potentiels et prolongeant le boom économique durablement. | ||
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+ | Durant la deuxième guerre mondiale, SIG exporte la majeure partie de sa production à l'étranger : aux États-Unis mais surtout en Angleterre. Tout comme l'usine de la [[Queens Motor Company]], les sites de production sont bombardés par l'aviation japonaise en 1944 afin d'enrayer l'effort de guerre local avant l'invasion de [[Campton]]. Malgré les dommages matériels, l'usine continue de produire. A l'époque, la société est déjà jugée trop grande pour faire faillite, au contraire de nombreuses entreprises locales pour qui la guerre a eut une influence néfaste. | ||
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+ | En 1945, le chiffre d'affaire était en baisse avant même le début de la guerre malgré une demande élevée et un filon de minerai inépuisable et la direction de la société comprend que pour survivre à très long terme, elle doit diversifier ses activités. La deuxième guerre mondiale fut novatrice dans de nombreux domaines, et l'industrie en profita grandement. Forte de ses revenus des ventes aux alliés, SIG s'engage a acquérir de nouvelles entreprises prometteuses. | ||
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+ | En 1947, SIG obtient une participation majoritaire dans Scott&Dutton (S&D), ancien fabricant d'armes à feu du [[Queens]], basé à [[New Amsterdam]]. L'entreprise est intégrée au groupe dans la nouvelle division SIG Firearms et profite de la renommée ainsi que du réseau de l'ancienne S&D. SIG devient donc à son tour fabricant d'armes à feu. | ||
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+ | En 1958, suite au rachat de différentes compagnies actives dans l'emballage, secteur en pleine expansion, la division SIG Packaging est créé. Cette division, qui produit majoritairement des machines et chaines à emballer industrielles, se spécialise dans la création de nouveaux produits d'emballages innovants et précurseurs, comme la brique de lait refermable. Elle vend ainsi un concept suivi de tout le matériel d'emballage nécessaire aux firmes agro-alimentaires qui se conforment au changement des habitudes alimentaires modernes. | ||
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+ | En 1975, suite à la faillite de la société Simelectronics et à son rachat par SIG, la division SIG Electrics est alors créée. Elle reprend l'activité initiale de l'entreprise, à savoir la fabrication de circuit-intégrés et de microprocesseurs. Bien que modeste, cette division sera de plus en plus rentable pour le groupe, dépassant même la division Firearms. | ||
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+ | Dès 1960-1965, l'entreprise devient un groupe industriel simlandais de premier ordre, bien que son influence ne se cantonne presque qu'au [[Queens]] alors. Pourtant, elle exporte un nombre toujours grandissant de marchandises, notamment vers les États-Unis, le Japon et la Corée. Les premières succursales s'ouvrent à Los Angeles en Californie en 1970, à Yokohama en Japon en 1974 et à Vancouver au Canada en 1977. Dès lors, une politique d'internationalisation est initiée par la direction, qui voit là une possibilité de s'affirmer sur de nouveaux marchés. | ||
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+ | La société continue de s'étendre localement aussi, avec l'ouverture de 4 usines à [[Simland]] afin de couvrir ses besoins. Elle profite néanmoins de main d'oeuvre bon marché dans les pays émergents, tels que l'Indonésie et la Chine où quelques usines ''"locales"'' ont suppléé le travail et la qualité simlandaise. Elle est inscrite à la bourse de [[Simland]] depuis 1982. Les résultats des secteurs sont inégaux, et outre la métallurgie (et le cuivre), les produits SIG peinent à s'exporter avec efficacité sur la durée. | ||
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+ | Dès la fin des années 1990, la chutes des ventes tous secteurs confondus ont plongé l'entreprise dans la tourmente. Constatant l'échec de la politique internationale, le nouveau directeur de l'époque, John Graham Jr, entreprend de réformer massivement le groupe. Elle se scinde en deux entités distinctes, la nationale et l'internationale, qui est liquidée en 1998 moyennant la vente de tous les sites à l'étranger. L'organigramme de la société est grandement simplifié, les postes de travail rapatriés surtout à [[Simland]] et le catalogue de produit réduit au plus rentable et populaire. | ||
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+ | En 2008, SIG déménage sa raison sociale au 31 Kings Street à [[Rivendale]], dans la [[Pacific Union Tower]] qu'elle partage avec d'autres compagnies. | ||
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− | SIG Minerals | + | SIG Minerals est le fer de lance de l'entreprise. Il s'agit du plus gros secteur, en terme d'infrastructures, de personnel et de revenus. Il englobe l'extraction minière du cuivre, du zinc et du fer, de leur traitement métallurgique (fonte et traitements), de la réutilisation des remblais des mines (cimenterie). Elle possède de nombreuses usines disséminées à travers l'état. |
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==Centres de productions== | ==Centres de productions== | ||
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*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Histoire_de_la_production_du_cuivre Histoire de la production du cuivre] | *[http://fr.wikipedia.org/wiki/Histoire_de_la_production_du_cuivre Histoire de la production du cuivre] | ||
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Version du 12 janvier 2017 à 14:49
Simland Industrial Group
Création | 1919 |
---|---|
Fondateurs |
Tristan Howard Gale Jonathan Perkins |
Forme juridique | Société Anonyme |
Slogan | Doing the work for you! |
Siège social | Rivendale |
Centre de production | Lowell |
Direction | William Norridge Gale |
Activité | Extraction minière Métallurgie Armement Manufacture |
Produits | Cuivre, Zinc, Semi-conducteurs Emballages Armes à feu |
Effectif | 3'250 |
Chiffre d'affaire | 1,81 Mds de § |
Résultats net | 0,41 Mds de § |
Portail Économique |
Simland Industrial Group, plus connu sous l'acronyme SIG est une société industrielle simlandaise basée à Lowell dans le Queens. Issue de la fusion des deux dernières mines de cuivre de Lowell en 1919, elle a couvert pendant presque 100 ans plusieurs domaines industriels au gré de son extension : extraction minière, métallurgie, armement et packaging. Il s'agit aujourd'hui d'une entreprise d'importance nationale, notamment dans le domaine du cuivre qui lui a valu sa reconnaissance mondiale ainsi que dans l'armement.
Histoire
Origine
En 1800 apparaissent à Lowell les premières mines d'importance sous le Mont Mays. L'arrivée du chemin de fer en 1848 renforce la révolution industrielle qui secoue la petite ville. L'ancêtre du Simland Industrial Group, la Lowell Cooper Company, est fondée à la suite de la fusion des deux dernières mines de cuivre de Lowell en 1882. Il s'agit alors de la plus grosse compagnie minière du Queens.
L'industrialisation de la petite ville de l'Aléo County continue sans ralentir, notamment en 1912 lorsque la Queens Motor Company est fondée. La compagnie automobile sera le principal client et partenaire de SIG durant de nombreuses décennies, SIG lui fournissant une grande quantité de cuivre et de métaux nécessaire à l'usinage des premiers moteurs et camions de la QMC.
La ville continue sa croissance pour atteindre 32'500 habitants au début de la première guerre mondiale. La guerre favorise la production industrielle, même si de nombreuses petites entreprises ferment leurs portes à cette époque. Il ne reste majoritairement plus que les grandes usines. La Lowell Cooper Company fusionne en 1919 avec plusieurs sociétés industrielles dont elle était l'actionnaire majoritaire pour former le Simland Industrial Group, qui englobe l'extraction du minerai de cuivre, la découpe de matériaux ferreux, la cimenterie (tri des remblais des mines).
Débuts
En 1920, la première usine de SIG est construite en contrebas du Mont Mays dont est extrait à l'époque près de 45% du cuivre simlandais. Il s'agit d'une usine d'extraction cuprifère, dans le but de traiter directement les minerais sur place, ce qui n'était jusqu'alors pas le cas. Il s'agit au moment de sa construction de la plus grande usine de la petite ville et va influer sur toute l'économie locale, drainant des investisseurs potentiels et prolongeant le boom économique durablement.
Durant la deuxième guerre mondiale, SIG exporte la majeure partie de sa production à l'étranger : aux États-Unis mais surtout en Angleterre. Tout comme l'usine de la Queens Motor Company, les sites de production sont bombardés par l'aviation japonaise en 1944 afin d'enrayer l'effort de guerre local avant l'invasion de Campton. Malgré les dommages matériels, l'usine continue de produire. A l'époque, la société est déjà jugée trop grande pour faire faillite, au contraire de nombreuses entreprises locales pour qui la guerre a eut une influence néfaste.
Extensions
En 1945, le chiffre d'affaire était en baisse avant même le début de la guerre malgré une demande élevée et un filon de minerai inépuisable et la direction de la société comprend que pour survivre à très long terme, elle doit diversifier ses activités. La deuxième guerre mondiale fut novatrice dans de nombreux domaines, et l'industrie en profita grandement. Forte de ses revenus des ventes aux alliés, SIG s'engage a acquérir de nouvelles entreprises prometteuses.
En 1947, SIG obtient une participation majoritaire dans Scott&Dutton (S&D), ancien fabricant d'armes à feu du Queens, basé à New Amsterdam. L'entreprise est intégrée au groupe dans la nouvelle division SIG Firearms et profite de la renommée ainsi que du réseau de l'ancienne S&D. SIG devient donc à son tour fabricant d'armes à feu.
En 1958, suite au rachat de différentes compagnies actives dans l'emballage, secteur en pleine expansion, la division SIG Packaging est créé. Cette division, qui produit majoritairement des machines et chaines à emballer industrielles, se spécialise dans la création de nouveaux produits d'emballages innovants et précurseurs, comme la brique de lait refermable. Elle vend ainsi un concept suivi de tout le matériel d'emballage nécessaire aux firmes agro-alimentaires qui se conforment au changement des habitudes alimentaires modernes.
En 1975, suite à la faillite de la société Simelectronics et à son rachat par SIG, la division SIG Electrics est alors créée. Elle reprend l'activité initiale de l'entreprise, à savoir la fabrication de circuit-intégrés et de microprocesseurs. Bien que modeste, cette division sera de plus en plus rentable pour le groupe, dépassant même la division Firearms.
Internationalisation
Dès 1960-1965, l'entreprise devient un groupe industriel simlandais de premier ordre, bien que son influence ne se cantonne presque qu'au Queens alors. Pourtant, elle exporte un nombre toujours grandissant de marchandises, notamment vers les États-Unis, le Japon et la Corée. Les premières succursales s'ouvrent à Los Angeles en Californie en 1970, à Yokohama en Japon en 1974 et à Vancouver au Canada en 1977. Dès lors, une politique d'internationalisation est initiée par la direction, qui voit là une possibilité de s'affirmer sur de nouveaux marchés.
La société continue de s'étendre localement aussi, avec l'ouverture de 4 usines à Simland afin de couvrir ses besoins. Elle profite néanmoins de main d'oeuvre bon marché dans les pays émergents, tels que l'Indonésie et la Chine où quelques usines "locales" ont suppléé le travail et la qualité simlandaise. Elle est inscrite à la bourse de Simland depuis 1982. Les résultats des secteurs sont inégaux, et outre la métallurgie (et le cuivre), les produits SIG peinent à s'exporter avec efficacité sur la durée.
Actuellement
Dès la fin des années 1990, la chutes des ventes tous secteurs confondus ont plongé l'entreprise dans la tourmente. Constatant l'échec de la politique internationale, le nouveau directeur de l'époque, John Graham Jr, entreprend de réformer massivement le groupe. Elle se scinde en deux entités distinctes, la nationale et l'internationale, qui est liquidée en 1998 moyennant la vente de tous les sites à l'étranger. L'organigramme de la société est grandement simplifié, les postes de travail rapatriés surtout à Simland et le catalogue de produit réduit au plus rentable et populaire.
En 2008, SIG déménage sa raison sociale au 31 Kings Street à Rivendale, dans la Pacific Union Tower qu'elle partage avec d'autres compagnies.
Divisions
Division métallurgie
SIG Minerals est le fer de lance de l'entreprise. Il s'agit du plus gros secteur, en terme d'infrastructures, de personnel et de revenus. Il englobe l'extraction minière du cuivre, du zinc et du fer, de leur traitement métallurgique (fonte et traitements), de la réutilisation des remblais des mines (cimenterie). Elle possède de nombreuses usines disséminées à travers l'état.
- produits
Division manufacture
Section emballage
SIG Packaging est le ...
Section électrique
SIG Electrics...
Division armement
SIG Firearms est le plus petit secteur de l'entreprise. Il comprend la conception d'armes à feu, leur fabrication, leur commercialisation.
- produits