L. Angelus

Secrétaire d'État et Maire

Vice-Président de la Nation de Simland
L. Angelus
mandats nationaux
Secrétaire d'Etat - Immigration (OFD)
10 novembre 2011 - janvier 2012
Président	J-Bar
Gouvernement	Gouvernement J-Bar
Prédécesseur	création du poste
Successeur	Fololilalimb
Ministre d'État
3 juillet 2011 - 10 novembre 2011
Président	Maël
Gouvernement	Gouvernement Maël II
Prédécesseur	Thib
Successeur	pas de successeur
Ministre de l'Intérieur
11 Mai 2011 - 10 novembre 2011
Président	Maël
Gouvernement	Gouvernement Maël
Prédécesseur	L. Angelus
Successeur	en cours
Vice-Président
2 Mai 2011 - 11 Mai 2011
Président	Jardas
Gouvernement	Gouvernement Jardas III
Prédécesseur	Halotime
Successeur	Taupin
Ministre de l'Intérieur, des Transports et de l'Équipement
7 Novembre 2010 - 11 Mai 2011
Président	Jardas
Gouvernement	Gouvernement Jardas III
Prédécesseur	Zacksmachine
Successeur	L. Angelus
mandat local
Maire de Santa Maria
Durée du poste	7 Août 2009 - en cours
Biographie
Date d'arrivée	14 Janvier 2009
Parti politique	USC
Naissance	07 Septembre 1980 (à Los Angeles)
Nationalité d'origine	Français
Résidence actuelle	Santa Maria
Diplômé de	University of Santa Maria - Droit
Profession	Homme d'Etat Juriste
Voir le profil détaillé de L. Angelus

Lucius Angelus, L. Angelus (souvent abrégé LA) est un homme d'état simlandais. Arrivé en janvier 2009 (lecteur du wikisimland depuis janvier 2008), il est maire de Santa Maria, Papaya. Depuis 2010 il a occupé différents postes politiques important pour le gouvernement fédéral de Simland et en particulier le Ministère de l'Intérieur.

Enfance

Né aux Etats-Unis à Los Angeles, d’un père simlandais diplomate et d’une mère américaine Professeur en Biologie, sa jeunesse est marquée par de nombreux déménagements à travers le monde : France, Russie, Allemagne et Royaume-Uni. Ceci explique sans doute sa bonne maîtrise de l’Anglais (sa langue natale), du français, de l’allemand, de l’italien, du japonais et enfin du latin (qu’il étudia à l’Université). Après avoir obtenu son diplôme de fin d’étude il envisage un temps de partir étudier la Chimie à la prestigieuse Université de Mercentille, mais il entame finalement des études juridiques à l’Université de Santa Maria. Il en ressort diplômé de droit public et de science politique. Il commence à travailler au service juridique de l’entreprise de Chimie MKSF à Santa Maria, alors présidée par son grand père. Proche des courants conservateurs il s’engage en politique au sein de l’USC. Il devient le plus jeune conseiller municipal de Santa Maria.

Conquête de la Maire de Santa Maria

La mandature suivant son entrée au conseil municipal, il préside la commission de sécurité. Il réorganise alors les services de polices de la ville, les rendants plus présents et pratiquant une politique préventive et ferme. L’année suivante il intègre la commission des transports et milite pour la restructuration des voies de contournements. Il assume ensuite la présidence de cette commission et fait voter la construction de plus 100km de voies expresses pour désengorger le centre ville. Il propose alors l’édification de deux nouvelles lignes de métro. Cette politique efficace le propulse à la tête des sondages, il devient une figure inévitable du paysage local. Il est choisit par son parti pour remplacer le maire à l’élection suivante qui souhaitait se mettre en retrait. Il démarre sa campagne bénéficiant d’un bon bilan ce qui lui assure un net avantage sur l’opposition qui depuis l’incorporation à Simland n’a jamais gagné. Il propose entre autre un agrandissement de l’aéroport devenu trop petit, et la création d’un nouveau quartier d’affaire sur sa zone d’activité. Il est finalement largement élu avec 63% des voix. Une fois élu il continue de dynamiser Santa Maria au sein de l’état du Grand Sud, elle est à ce jour l’une des villes les plus actives et riches de la côté Est de Simland.

Premiers pas en politique nationale

Ses multiples succès à la tête de Santa Maria lui permettent de s’affirmer comme une figure de son parti. Il s’engage plus fortement dans la politique de l’Etat. Il est à l’origine de la création de l’Institut Technologique du Grand Sud, une Université d’excellence délocalisée sur plusieurs sites à travers l’état. Il finit par devenir une figure de la politique nationale. Enfin à l’élection présidentielle d’octobre 2010 il participe à l’équipe de campagne du futur président Jardas. Il prend par la suite part aux débats publics. A l’occasion de l’élection de Jardas il est appelé aux fonctions de Ministre de l’Intérieur, des Transports et des Equipements, poste qu’il occupera pendant toute la durée du mandat présidentiel.

Le Mandat Jardas

Sous la mandature du président Jardas il lance une grande consultation nationale au sujet d’une liste électorale nationale. Organisant les débats il finis par rendre un rapport au président en défaveur du projet, qui est dés lors abandonné par l’administration Jardas. Il organise l’élection du Juge Fédéral de novembre 2010 (voyant la réélection d’Alex Lews). Il réorganise par la suite les services fédéraux de police judiciaire, il définit leurs missions. Il leur permet de construire des sièges à travers le pays, à l’image du siège de la PFI à Utopia, et augmente considérablement leurs budgets. Il met tout son poids dans l’affaire d’enlèvement des 6 otages dans les Grandes Plaines qui se termina par la libération des 6 employés de PetroSimland. Il engage les forces de police contre le renouveau de la Mafia simlandaise. Côté transport il autorise l’ouverture de plusieurs entreprises privées d’équipement autoroutiers, et il encouraga la SACS dans ses actions de contrôle de l’espace aérien simlandais. Enfin il organisa une consultation des gouverneurs sur les équipements éducatifs d’excellence.

La Vice-Présidence

A la fin du mandat Jardas, il devint le 8ème Vice-Président de la Nation pendant 9 jours suite à la démission d’Halotime. Il resta neutre face aux distorsions de sa famille politique et essaya d’œuvrer vers un apaisement des relations entre le gouvernement et Halotime.

A la veille des élections, il bénéficiait d’une bonne image et d’un bilan convenable. Il s’engagea dans la campagne présidentielle d’Avril 2011 derrière Tonio et Jardas. L’élection tomba finalement en faveur de la candidature Maël / Taupin (AES).

Le Mandat Maël

A sa propre surprise il est de nouveau appelé aux commandes du ministère de l’Intérieur pour tout un mandat. Seul ministre USC il s’intégra dans ce nouveau gouvernement et lia des amitiés avec le Président et le Vice-Président, ainsi qu’avec MaxCC avec qui il eut l’occasion de débattre vivement à de multiples reprises. Chargé d’un dossier épineux qu’il mena avec fermeté et écoute, il mena la réforme de la Régionalisation au cours de laquelle les états furent rassemblés face à la crise d’activité frappant les états. Malgré beaucoup de contestations et une efficacité à cours terme controversée, cette réforme peut aujourd’hui être considérée comme une réussite considérant la baisse du nombre de grands électeurs actifs.

Confirmation d'un statut

Suite au départ de Thib du gouvernement, L. Angelus est nommé Ministre d'État par le président Maël. Il reçoit la charge de mener la réforme des Lois et notamment de la rédaction de la nouvelle Constitution (la IIIe). Avec le Vice-Président Taupin il fut le co-auteur de la IIIe Constitution, à l’origine de l’élargissement des pouvoirs des gouverneurs et introduisant pour la première fois le processus d’amendement. Fort de cette nouvelle Constitution, l’état simlandais organisa alors l’élection de la première génération de gouverneur post-régionalisation et aux pouvoirs étendus. A la fin du mandat Maël, L. Angelus prit la décision de se présenter à l’élection d’octobre 2011 soutenu alors par l’USC et l’AES il choisit Thib comme colistier avec qui il avait travaillé sous les présidences Jardas et Maël.

Candidat à la Présidence

Se lançant à la course présidentielle il effectue son discours d’ouverture à Brockbain City. Dans son discours il mit en avant l’expérience acquise pendant 1 an au ministère de l’Intérieur et proposa de donner les outils à chacun pour mieux jouer. Pour cela il proposa de donner plus de pouvoir aux régions, de promouvoir Simland au travers d’une meilleure communication visuelle et grâce à une encyclopédie sur les villes et les régions, de stimuler la communication entre les citoyens, et enfin il proposa une réforme novatrice de l’économie. Au cours de sa campagne il essuie des revers personnels suite au suicide d’un de ses plus proches amis et à la disparition de ses deux grands-parents dans un accident de la route. Dépassé par la candidature de J-Bar il délaisse l’espace public pour se recueillir. Il est au final éliminé à l’issu du premier tour avec 20% des voix.

Après l'élection

Après sa défaite au premier tour, il choisit d’appuyer la candidature de J-Bar. En 2012 il avoua dans une interview avoir commis une réelle erreur ce soir là. Après l’élection de J-Bar il fut appelé au département de l’Immigration. Il participa aux prémices de l’opération Louisiane. En janvier 2012 il est remercié du gouvernement suite au manque de résultats qu’il fournit alors. Il se retira alors à Santa Maria pour mettre de l’ordre dans ses affaires. Il réorganisa l’entreprise MKSF qu’il reçut en héritage de son grand-père. Il ne participa aux débats sur la Confédération préférant se recentrer sur sa ville.

Retour sur la scène politique

A partir de septembre 2012 il fit son retour dans les affaires de Papaya, et finalement dans les affaires nationales en souhaitant se présenter à l’élection de novembre 2012. Avant de s’effacer devant la candidature d’Halotime qu’il a jugé capable de conduire Simland dans la bonne direction avant le premier tour. Il est appelé alors comme Consultant pour l’élaboration de la nouvelle Constitution mettant fin à la Confédération.

Anecdotes

• L. Angelus est premier chanoine de la cathédrale de Santa Maria, un titre honorifique donné aux maires de Santa Maria.
• L. Angelus ne sucre pas son café.
• La saison préférée de L. Angelus est l’hiver qu’il passe quand il le peut dans le Lewsland.
• L. Angelus nourrit une admiration pour les Etats-Unis et le Japon.