Junetown
Villes de Simland Junetown | |
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Etat | Génésie (07) 31px |
Langues Courantes | Français | Anglais |
Administration | |
Maire | Tomy Kentleprix |
Données statistiques et géographiques | |
Gentilé | Villejunais(e) |
Population | 1.697.507 habitants |
Situation géographique | |
Junetown sur le Forum |
Junetown (anciennement Villejuin) a été fondée le 7 Juin 1724 par Gilles Lamenon de Saurennes en personne. Avec presque 1,7 millions d'habitants, c'est la plus grande ville du Bassin de Simland.
Sommaire
Histoire
Carte Historique
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La Domination Francophone (1724-1874)
Le 7 Juin 1724, Gilles Lamenon de Saurennes reçoit l'ordre de fonder une forteresse centrée dans la colonie Française de Nouvel Hainaut, dans le but de "contrecarrer les ambition belliqueuses des Anglois". Il décide de la fonder là où la rivière Saint George se jette dans le fleuve Avalon, sur l'île des Rois, et choisit pour nom Villejuin (rappel : on était le 7 juin). En plus d'être située à l'intersection des la Routes Coloniales n°15, n°14 et n°24, elle est située au millieu d'une "cuvette" et est très facilement défendable. Peu à peu, la ville se développe autour de la pointe est de l'île(voir carte), en grande partie grâce à sa position fluviale stratégique, qui favorise le commerce. Dès 1820, la ville se développe également hors des murailles. En 1830, quelques habitations sont construites sur la rive droite de la Rivière Saint George. La ville se développe de plus en plus vite, et atteint même les 100 000 habitants en 1875, soit 1/5 de la populatin de Paris à l'époque, ce qui en faisait une des plus grandes villes du continent Simlandais. Mais les Anglais arrivent l'année suivante...
Les Sièges de Villejuin (1874-1883)
Le Premier Siège de Villejuin (1874)
Début 1770, la colonie Anglaise du Queens devient belliqueuse et commence à faire quelques escarmouches dans le sud de la Génésie (le nom du Nouvel-Hainaut depuis 1809, indépendant) et les Villejunais comprennent qu'il faut fortifier la ville. L'île des Rois est déforestée et cultivée, et une muraille est construite tout autour de l'île, empêchant tout débarquement. Le pont Nord et le pont Est sont détruits, et un pont-levis est aménagé au bout du pont Ouest pour réguler toutes les entrées dans la ville. Toutes ces installations sont terminées en 1774. Pour que l'Angleterre domine la péninsule Simlandaise, Villejuin, ville stratégique, sur la route de la Capitale et des Grands Lacs, sur un des fleuves principaux du continent Simlandais, doit être prise. Le 16 Avril 1874, les armées anglaises arrivent par la Route Coloniale 15. Le premier siège de Villejuin commence. Rapidement, les Brittaniques s'aperçoivent que Villejuin peut tenir très longtemps, grâce à ses champs, ses murailles, ses fleuves, etc. et la surnomment The little Trojan, la petite Troie. Ils abandonnent le siège le 27 décembre 1874, et se dirigent vers Saurennes, capitale de la Génésie.
Le Deuxième Siège de Villejuin (1876-1883)
16 Mars 1876 : Saurennes tombe. La Génésie est renommée Midland et devient un protectorat Brittanique. Mais Villejuin n'est pas encore Anglaise. De retour vers New Amsterdam, les armées anglaises encerlent pour la deuxième fois la ville de l'Île des Rois. Le deuxième siège de Villejuin va durer 9 ans. La tactique du leader de la ville de l'époque est de ne pas faire de sortie. Les Anglais ont la tactique inverse, d'où la durée du siège. Mais le général Anglais est relevé de ses fonctions le 14 mai 1883. A peine arrivé, celui-ci ordonne l'assaut. Il fait construire des barges et l'assaut est donné à l'est et au sud de l'île, à l'aide de crampons et de. La bataille est une boucherie. Sur 25 000 hommes engagés dans la bataille, 22 000 vont trouver la mort, dont 11 000 enrôlés de force dans l'armée Brittanique. C'est finalement les brittaniques qui l'emportent, grâce à leurs canons et à l'endroit où ils ont attaqué. Villejuin est rasée ainsi que ses murailles (au cas-où la ville se rebellerait), sa population massacrée, et la ville, renommée Junetown, est reconstruite dans une logique plus "moderne brittanique".
Junetown sous protectorat Anglais (1883-1956)
L'expansion Coloniale (1883-1940)
A partir de 1883, Junetown s'étend considérablement et le sud de l'île est rapidement industrialisé. La forêt bienheureuse est en partie coupée et les arbres sont remplacés par des cultures. La ville, malgré les taxes écrasantes qui y sont imposées par les Brittaniques, se développe à une vitesse fulgurante dans une architecture américanisée : les Brittaniques veulent en faire la New-York Simlandaise. La ville n'enverra que peu de soldats dans les milices coloniales de la Première Guerre Mondiale, et sa population n'en souffrira pas trop. Après la guerre, la croissance continue. La deuxième Guerre Mondiale aura moins de bienfaits que la première...
La Commune de Junetown (1940-1947)
Le 2 Février 1940, les soldats anglais évacuent la ville, pour défendre l'Angleterre et la France, emportant avec eux les caisses de la ville et 25 000 Villejunais "volontaires" avec eux. Ces derniers ne reviendront jamais. Le 20 Décembre, la ville, abandonnée par ses "maîtres", se rebelle. Au retour des Anglais, elle résiste. Mais, après une tentative de coup d'état communiste dans l'administration de la commune le 5 juillet 1947, les dirigeants communards décident de céder aux exigences des Brittaniques et de re-devenir anglaise.
La fin de la prépondérance Anglaise (1947-1956)
Entre 1947 et 1956, les Brittaniques construisent un aéroport et agrandissent le Port de Junetown. A l'indépendance du Bassin de Simland, on compte environ 600 000 villejunais.
Depuis 1956
Entre 1956 et 1970, Junetown s'américanise encore plus, et on constate tout de suite l'apparition de quartiers riches, comme Neuilly-sur-Avalon, et de quartiers dit de "CBD", au nord, à l'Est et à l'Ouest de la ville, le sud étant surtout réservé à des zones industrielles.
Le 25 septembre 1967 est inaugurée l'A4, grand axe de Junetown, qui va aider au développement encore plus rapide de l'agglomération Villejunaise. Le périphérique de la ville (A41) est inauguré dix ans plus tard. Une dérivation sera faite par la suite pour désengorger le périphérique nord : l'A40.
Le 25 Février 1984 est ouvert l'aéroport international de Junetown. Un deuxième terminal sera co'struit en 2000.
En 2003, Junetown entre dans la République Fédérale Simlandaise. Des élections sont organisées pour nommer le premier maire de Simland. L'élu est Jean-Françis Martin (PDS). Réélu en 2008, il meurt de la mucovicidose le 10 Août 2011. Son successeur est élu dix mois plus tard jour pour jour : Tomy Kentleprix .
La Ville
Plan d'Agglomération
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Infrastructures
Les Autoroutes à Junetown
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Il y a deux sociétés d'Autoroutes à Junetown : ADS (Société Autoroutes du Soleil) qui gère l'A4 et Rocades de Junetown, qui gère l'A40 et l'A41.
L'A4
L'A4 traverse Junetown d'est en ouest. Elle relie New-Amsterdam à l'A2, près de San Pedro (CO), en passant par Saint-Laurent et Montecito. Dans le centre-ville de Junetown, elle devient une avenue et en croise plusieurs autres, dans des carrefours à feux tricolores ou à sens giratoire. Elle re-devient ensuite une autoroute, et sort de Junetown. Elle est gérée par la société ADS.
L'A40
L'A40, anciennement tronçon de l'A41, quitte cette dernière, fait un léger détour par La Cadena, puis traverse l'Avalon et rejoint à nouveau l'A41. Elle est gérée par la société d'Autoroutes Rocades de Junetown.
L'A41
L'A41 fait le tour de Junetown. Un nouveau tronçon plus large a été construit en 2010 afin de désengorger l'accès à l'A4. L'ancien tronçon a été renommé A40.
La LGV
Junetown est déservie par la LGV Est-Ouest, ce qui la rapproche des grandes villes de Simland.
Les Routes Nationales et Départementales
En jaune sur la carte d'agglomération, vous pouvez constater qu'il y a beaucoup de routes nationales et départementales. C'est pourquoi nous n'allons parler que des routes principales.
- La RN1 part en direction d'Animus Spiritus et de Brockbain au nord, et de Guggisberg et Aceira au sud. Elle traverse le centre-ville.
- La RN4 part vers Saint-Laurent à l'est et vers Montecito et New Amsterdam à l'ouest. Elle traverse, elle aussi, le centre-ville.
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