Rivendale

Cet article/section n'est pas terminé(e) et est en cours de modification importante. Une version de meilleure qualité sera bientôt disponible. Merci d'en discuter !

Villes de Simland

Rivendale
Surnom : The Rainy Emerald L'Émeraude Pluivieuse
Pays	Simland
État	Queens
Boroughs	Rivendale Lawnwood Evergreen Shelby Austin Peak Mont Kinley
Organisation
Fondation	1681
Municipalité	1796
Type	Semi-indirecte
Législatif	City Council of Rivendale
Exécutif	Rivendale Mayor Office
Maire	Matthew Allen McKnight
Géographie
Superficie	Totale : 238,4 km2 Terre : 221,8 km2 (93%) Eau : 16,7 km2 (7%)
Altitude	341 m Hudson River 721 m Prosper Hill 1246 m Berryview Station
Point Culminant	Mont Bradley à 3409 m
Population
Ville	631'934 habitants
Agglomération	1'074'812 habitants
Densité	2'650,73 habitants/km2
Informations
Fuseau Horaire	UTC -11
Code Postal	10-720, 10-721, 10-722, 10-723, 10-752, 10-753, 10-754
Site Officiel	City Of Rivendale.eu
Carte Globale

Rivendale est la capitale du North Queens, l'une des divisions administratives de l'État du Queens. Son emplacement stratégique, située le long du fleuve Hudson et aux débuts de contreforts de la chaine de Spiritains en fait un passage obligé pour tous les voyageurs en destination du nord de Simland, via le Désert des Grandes Plaines et Azaleas.

La ville est le centre d'North Queens Urban Area dont la population de Rivendale constitue la majeure partie des habitants. Distante d'environ 123km de New Amsterdam et de 286km de Azaleas, la ville a grandement profité de la croissance économique sans précédent offerte par le rayonnement international de ceux deux pôles importants.

Rivendale accueille en le siège simlandais de plusieurs sociétés internationales, telles que Kirland Ellis, bureau international d'avocats, Citigroup, grande institution financière américaine et General Motors, multinationale automobile américaine. En outre, la ville reçoit le siège de la Ligue Simlandaise de Hockey sur Glace ainsi que d'autres institutions d'importance nationale.

En 2011, la ville comptait 631'934 habitants et son agglomération près de 1'074'812 habitants. En 2007, environ 69,7% de la population était de langue et de culture anglaise, 30,3% était de langue et de culture autre que l'anglais dont 18,5% langue et de culture française faisant ainsi de Rivendale une ville cosmopolite.

Histoire

Étymologie

Rivendale provient des mots riven et dale, tous deux issus de l'anglais moyen-ageux. Le premier, riven, participe passé du verbe to rive qui signifait "déchirer par la force, diviser, cliver." Le second, dale, qui désigne "une vallée dans un secteur accidenté". L'expression fait référence au fleuve Hudson qui scinde la plaine en deux et absorbe la rivière Poisson Blanc.

Origine et Colonisation

Cet article/section n'est pas terminé(e) et est en cours de modification importante. Une version de meilleure qualité sera bientôt disponible. Merci d'en discuter !

Avant l'arrivée des colons européens, la vallée d'Hudson était occupée en majorité par des simérindiens Lenape dont plusieurs villages se trouvaient sur les contreforts de la chaine de Spiritains, bien que des vestiges de hameaux furent retrouvé plus au sud, principalement à New Amsterdam et le long du fleuve. Leur économie reposait sur les produits de la pêche, de la chasse et de l'agriculture (maïs, haricots et courges). On estime que la population qui s'étendait dans la région du North Queens à cette époque avoisinait 25'000 autochtones.

L'exploration de la vallée débuta en 1609 lorsque le navigateur Henry Hudson redécouvre la baie de New Amsterdam, alors nommée Nouvelle Angoulême par l'explorateur italien Giovanni da Verrnazano en 1524 en l'honneur de celui qui finança son expédition, François 1er, roi de France et comte d'Angoulesme, et remonte le fleuve jusqu'à l'embouchure de la rivière Poisson Blanc où il rencontre les simérindiens.

En 1624, par la fondation de New Amsterdam par une trentaine de familles de colons néerlandais de la Compagnie des Indes Orientales, la région entière devient officiellement une possession des Pays-Bas. Dès lors, un nombre toujours plus grandissant d'explorateur remontent le fleuve et revendiquent tour à tour les rives du fleuve. La Nouvelle-Suède, fondée en 1638, fut annexée à la Nouvelle-Néerlande en 1655 jusqu'à la conquête par les Anglais de New Amsterdam qui fut rebaptisée New York en l'honneur de Jacques, duc d'York et frère du roi Charles II en 1664, ce qui en ferra une colonie royale.

William Penn négociant avec les simérindiens

Le roi d'Angleterre Charles II octroya une charte à William Penn en échange de l'annulation d'une dette que le gouvernement devait à son père, l'amiral William Penn, héros de la marine. Une session donna lieu à la signature du traité le 4 mars 1681, toujours célébré de nos jours sous le nom de "Charter Day". Par ce document, la ville de Rivendale était officiellement fondée. William Penn (1644-1718) était un quaker anglais : il appartenait à un groupe religieux dissident, persécuté en Angleterre, qui rejetait la hiérarchie ecclésiastique et prônait l'égalité, la tolérance et la non-violence. La ville devint rapidement un refuge pour tous ceux qui étaient opprimés par leur foi en Europe. Même si Charles II lui en avait donné la propriété, William Penn acheta la terre au simérindiens afin d'établir avec eux des relations pacifiques. Il aurait signé un traité d'amitié avec le chef Lenape Tamanend à Shackmaxon, un ville autochtone, en 1683.

Domination Anglaise

En 1664, l'arrivée des anglais sur toute la côte est du continent va repousser les colons néerlandais plus au nord, dans les Grandes Plaines et le Continental State. Néanmoins, l'économie locale sera limité par l'opposition que fera les simérindiens Lenape aux nouveaux colons anglais, dont la politique est une cassure vis à vis des précédentes puissances européennes, plus tolérantes et qui pratiquaient un important commerce avec les indigènes. La fondation pacifique de Rivendale ainsi que la tolérance religieuse de la communauté des quakers encouragera l'économie. En effet, en plus du commerce effectué par la ville auprès des autochtones, la colonie reçoit, grâce à sa bonne volonté politique auprès des Lenape, plus de terres, particulièrement sur les contreforts des Spiritains, dont l'exploration démontrera une riche diversité géologique.

Rivendale au début de XVIe siècle

Après la Guerre de Trente Ans qui déchira le Vieux Continent entre 1618 et 1648 et particulièrement l'empire germanique, un grand nombre de luthériens allemands (estimé à 50'000 individus) s'installent dans le North Queens, attirés par l'ouverture d'esprit religieuse de la colonie. Les historiens ont aujourd'hui prouvés qu'une grande partie d'entre eux se déplaceront plus au nord le siècle suivant, favorisant la modernisation « prussienne » des États du nord-ouest. De plus, la liberté de culte poussa les hugenots, alors en persécutés en France à quitter l'Europe à la suite des Dragonnades et de la révocation de l'édit de Nantes de 1685, pour s'installer dans la ville, au détriment de New Amsterdam

Une certaine rivalité se développera alors entre les deux colonies britanniques, car toutes deux avaient d'indéniables qualités qui, de fait, se complétaient. Ainsi, Rivendale profita grandement de l'explosion démographique du début du XVIe siècle de New Amsterdam et de son économie grandissante avec l'empire anglais. Toutefois, l'arrivée en 1708 de baptistes irlandais et gallois, alors ennemis de la couronne, ravive des tensions entre les deux villes. New Amsterdam est en effet une colonie anglicane où liberté de culte n'est pas flexible et les néo-terdamaois reprochent aux habitants de Rivendale' d'accueillir des révolutionnaires.

L'Armée Continentale aux prises avec les milices du Queens, loyales à la couronne, pendant la Bataille de Brandywine en 1761

Cependant, l'ouverture de la première mine dans la chaine des Spiritains, sous le Mont Richemont en 1713 renforce la dépendance économique mutuelle des deux régions tandis que New Amsterdam poursuit sa croissance pendant la première partie du XVIe siècle, apaisant les différents politiques. En 1748 Rivendale devient l'un des principaux foyers de la Révolution Simlandaise, de par sa population cosmopolite. Les Fils de la Liberté, une organisation de patriotes simlandais, étaient très actifs dans la ville : ils résistaient aux mesures fiscales imposées par la métropole et incitaient les colons à boycotter les marchandises anglaises. La ville est libérée par l'Armée Continentale à la suite de la Bataille de Brandywine en 1761 alors que les troupes britanniques se replient en direction de New Amsterdam afin de protéger leur dernier bastion d'importance dans le Queens, qui ne tombera qu'en hiver 1776, soit 28 ans après le début des contestations. En 1783, après la reconnaissance de l'indépendance des États de Simland par la Grande Bretagne, Rivendale devient officiellement simlandaise.

Essor Industriel

En 1796, la ville de Rivendale se dote d'une charte lui octroyant la capacité de s'autogouverner et de recouver des impôts. Cet évenèment est un point capital dans le développement de la ville, car le système qui prévalait alors redirigeait toutes les recettes à l'État du Queens. Suite à la ratification de cette charte, Rivendale obtient officiellement le statut de municipalité et doit se pourvoir d'un conseil municipal, le City Council of Rivendale qui sera chargé d'élaborer les lois propres à la ville et d'un maire, autorité détenue par le Rivendale Mayor Office, qui sera, lui, en charge de la mise en application de ces lois. //détail bâtiments

//ruée vers les mines (1820-1850)

//industrialisation (1880-1910)