Houdeland Wagen
Houdeland Wagen N. V.
Logo d'Houdeland Wagen
| Création | 1902 |
|---|---|
| Fondateurs | Jan Peterbergen |
| Forme juridique | Société Anonyme |
| Slogan | Le plaisir de conduire |
| Siège social |  Zotterveld
|
| Direction | Pieter Petermans |
| Activité | Automobile |
| Produits | Voiture, moteurs |
| Effectif | 9.793 |
| Chiffre d'affaire |  7,087 Mds de §
|
| Résultats net | 3,96 Mds de §
|
 Portail Économique
| |
Houdeland Wagen, abrégé en HW, est une marque d’automobile simlandaise basée à Zotterveld aux Plaines de l'Avalon. Avec 2.800.000 véhicules vendus à travers le monde (pour la plupart à Simland) en 2015, HW occupe le premier rang parmi les marques automobiles simlandaises. La marque appartient à HW Groep qui détient une partie de l'Hanovrier Autos Konzession (HAK).
Sommaire
Histoire
Genèse
Le fondateur de la marque, Jan Peterbergen, était un champion de courses cyclistes, né le 18 décembre 1878 à Ettelghem. Il avait obtenu beaucoup de succès en tant que coureur en Europe. Ses exploits l'avaient rendu célèbre, ce qui lui permit d’obtenir les fonds nécessaires afin de créer sa propre marque de cycles. Les affaires étaient prospères pour l'homme d'affaire avalonais qui décida au tournant du siècle de diversifier ses activités et de créer sa propre marque de voitures. Il entreprit alors des formations de mécanicien et pilote notamment chez Ford et Mercedes. La première voiture digne de ce nom est sortie de son atelier le 31 janvier 1902. L'élégance du modèle plait à la bourgeoisie de Zotterveld et les commandes affluent. Les affaires sont prospères et Peterbergen est obligé d'engager à tour de bras pour maintenir la cadence et honorer ses clients. Après plusieurs agrandissements successifs, l'usine originelle située à Ettelghem est devenue beaucoup trop exiguë.
Le 3 août 1915, l’annonce était faite qu’une usine flambant neuve allait être construite sur un immense terrain en bord de la Salt à Zotterveld. C'est le début d'une grande succès story. A son apogée, l'usine, le plus grand bâtiment des Plaines de l'Avalon abritait 16.900 ouvriers et fonctionnait jour et nuit. Les ingénieurs, pour la plupart débauchés à l'Université Catholique de Zotterveld et à l'Université Libre d'Aurora rivalisaient d'ingéniosité face aux modèles américains et japonais. Grâce a cette ingéniosité, l'entreprise résista bien à la grande récession de 1929.
Depuis la seconde Guerre Mondiale
Lors du second conflit mondial, la production de voiture fut diminuée au profit de la création et de la fabrication de moteurs pour les avions alliés (la famille Peterbergen ayant des racines belgo-néerlandaises, il lui tenait à cœur d'aider les pays de ses ancêtres). Le fondateur Jan Peterbergen décède en 1949 à l'âge de 71 ans et laisse l'entreprise à son fils Jozef.
La HW 300 naît en 1951. Son lancement coïncide avec l'arrêt de production des moteurs d'avion. Ce modèle a connu une popularité importante dans le Simland de l'après-guerre. Le parc automobile simlandais est alors composé surtout de camions, de motocyclettes et de moyens de transports publics. La 300 est née d'un plan de développement d'entreprise lancé à la même époque par les pouvoirs publics, et devient le symbole officieux de la reconstruction. Elle s'adresse à une clientèle aux moyens modestes, mais qui demande un véhicule économique, capable de se déplacer aisément en ville et de transporter personnes et bagages, et qui soit, surtout, une véritable automobile confortable.
Dès la première année, les concessionnaires enregistrent de nombreuses commandes de la nouvelle voiture et doivent même en refuser. La cadence de production explose, contribuant ainsi à faire chuter davantage les coûts de production. Grâce à ces nombreuses ventes, le constructeur avalonais continuera ensuite de dominer le marché national.
La HW 400, sort en 1972. Caractéristique typiquement locale, elle existe également en plusieurs variantes, notamment en version 4x4 pour le marché américain (surtout en Alaska). Ce nouveau modèle est un succès commercial retentissant. Les versions deux et quatre-portes seront ensuite équipées d'un hayon. C'est aussi la fin d'une époque : la production de la mythique 300 s'arrête. La dernière 300 quitte les chaînes de montage le 3 août 1973 après que 800 000 ont été produites, c'est un tournant majeur dans l'histoire de la marque. Cet événement permet de moderniser énormément le site de production, via la création et la restructuration de la chaine de montage principale.
Choc pétrolier et renouveau
Malheureusement, suite à la crise due au choc pétrolier l'année suivante, HW peine à récupérer les investissements consentis pour la modernisation de ses structures et les travaux prennent du retard. Pour équilibrer les comptes, l'entreprise doit pour la première fois de son histoire, licencier des ouvriers. Les effectifs passent d'environ 15.000 ouvriers à 11.500. La situation financière une fois rétablie, la marque peut se concentrer sur le développement de nouveaux modèles. Et c'est avec la 500 que la marque revient sur le devant de la scène. Les consommateurs retrouvent ce qui avait fait le succès de la marque : des voitures fiables, pas trop cher mais surtout confortables.
Les travaux prennent fin en 1981 et l'usine est immense, six bus à impériales doivent d'ailleurs transporter les ouvriers sur le site, ce qui occasionne des bouchons monstres aux abords de l'usine. Cette situation amène les autorités communales fraîchement élues et notamment le nouveau bourgmestre Charles Francis Christiaansens Senior à trouver une solution pour désengorger le Nord de la métropole qui est complètement saturé par le flux de travailleur. Il est décidé qu'une autoroute de 4.2 km soit construite au sein même de l'usine afin de transporter les travailleurs au cœur de l'usine le plus rapidement possible. Une voie de chemin de fer d'une longueur de 2.1km est également construite pour faciliter l'accès au site de production. Après plusieurs années de travaux, les infrastructures permettent de rétablir la mobilité dans tout le Nord de la ville.
De nos jours
L'usine a encore perdu des ouvriers pour finalement atteindre environ 10.000 équivalents temps plein à l'aube de 2015 du fait d'un ralentissement de la croissance mondiale ainsi qu'à cause des hausses successives des prix du pétrole. Ces pertes d'emploi sont également dues à l'automatisation des chaines de production. Elle n'en demeure pas la première industrie de la Houde en terme d'emploi.
Le nouveau modèle HW 600 a permis de percer un peu le marché africain et chinois grâce a un design moderne tout en restant abordable. Les résultats nets, depuis quelques années sont dans le vert, ce qui permet à l'entreprise d'être une des plus compétitives de Simland.
Clients importants
Le groupe automobile a parmi ses clients de nombreux services publiques fédéraux et fédérés. Parmi ceux-ci, l'on retrouve le Rivendale Police Department.
Identité visuelle
Logo de 1902 à 1940
Logo de 1940 à 1978
Logo de 1978 à 2000
Logo actuel
Usine
Siège social de l'entreprise.
Autoroute jusqu'à l'usine avec gare.
Bureaux de l'usine
Usine principale
Entrepôts divers
Chaîne de montage n°1
Réserves de pétrole
Champ éolien de l'usine
Plateforme multimodale
|
|
Ceci est une page du Portail économique |
|
|---|---|---|
| Découvrez la vie économique de Simland grâce au portail économique | ||
|
Ceci est une page du Portail de l'automobile simlandais |
|
|---|---|---|
| Houdeland Wagen (HW) • Nyokö Motors Company • Queens Motor Company (QMC) • Wakete Motion Company (WMC) • Hanovrier Autos Konzession (HAK) | ||
Portail du Grand-Duché des Plaines de l'Avalon  Portail de la Fédération Simlandaise
|
|---|
