Queens Motor Company : Différence entre versions
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A l'aube de la première guerre mondiale, le [[Queens]] et les autres pays de [[Simland]] en général, étaient dépendants des nations européennes en matière de moteurs automobiles. Il n'existait alors aucun producteur de mécanique, en dehors des manufactures classiques (moteurs de machine). La modernisation des armées et l'ouverture à un négoce mondial requérait la construction de moyens lourds : camions, bateaux et usines modernes notamment. Ainsi, la couronne britannique, dont dépendait encore le Queens à cette époque, ordonna au gouvernorat local de favoriser la création d'entreprises dans ce domaine précis. Les marchés métropolitains anglais et français étaient demandeurs de moteurs à explosion, et cette demande peinait à être satisfaite. De nombreuses primes furent créées dans à cette fin. | A l'aube de la première guerre mondiale, le [[Queens]] et les autres pays de [[Simland]] en général, étaient dépendants des nations européennes en matière de moteurs automobiles. Il n'existait alors aucun producteur de mécanique, en dehors des manufactures classiques (moteurs de machine). La modernisation des armées et l'ouverture à un négoce mondial requérait la construction de moyens lourds : camions, bateaux et usines modernes notamment. Ainsi, la couronne britannique, dont dépendait encore le Queens à cette époque, ordonna au gouvernorat local de favoriser la création d'entreprises dans ce domaine précis. Les marchés métropolitains anglais et français étaient demandeurs de moteurs à explosion, et cette demande peinait à être satisfaite. De nombreuses primes furent créées dans à cette fin. | ||
| − | C'est à cette époque que nait un mouvement de création d'entreprises automobiles à Simland. Entre 1900 et 1915, le nombre de producteurs d'automobiles ou de moteurs pour véhicules explose, et cela partout dans le pays. Le [[Queens]] n'échappe pas à cette tendance et voit de nombreuses petites compagnies émerger. La '''Queens Motor Company''' est l'une d'entre elles. Elle fut fondée officiellement le 15 mai 1912 par Benjamin Whitehead, ingénieur en mécanique issu de l'[[Université de Cambridge (Rivendale)|Université de Cambridge]], et Louis Ball, coureur automobile anglais. Profitant des structures existantes à l'époque, elle s'établit à [[Lowell]], à une trentaine de kilomètres de [[Rivendale]], bénéficiant ainsi des matériaux des mines de cuivre qui parsèment la région tout en restant à distance correcte d'un port de marchandises. Leur premier produit est un moteur essence deux temps de 4.5 litres offrant 12 chevaux. Bien que récent et malgré des défauts de jeunesse, sa conception est bonne | + | C'est à cette époque que nait un mouvement de création d'entreprises automobiles à Simland. Entre 1900 et 1915, le nombre de producteurs d'automobiles ou de moteurs pour véhicules explose, et cela partout dans le pays. Le [[Queens]] n'échappe pas à cette tendance et voit de nombreuses petites compagnies émerger. La '''Queens Motor Company''' est l'une d'entre elles. Elle fut fondée officiellement le 15 mai 1912 par Benjamin Whitehead, ingénieur en mécanique issu de l'[[Université de Cambridge (Rivendale)|Université de Cambridge]], et Louis Ball, coureur automobile anglais. Profitant des structures existantes à l'époque, elle s'établit à [[Lowell]], à une trentaine de kilomètres de [[Rivendale]], bénéficiant ainsi des matériaux des mines de cuivre qui parsèment la région tout en restant à distance correcte d'un port de marchandises. Leur premier produit est un moteur essence deux temps de 4.5 litres offrant 12 chevaux. Bien que récent et malgré des défauts de jeunesse, sa conception est bonne, il est amélioré et connait un succès relatif dès la première année de commercialisation. |
| − | En 1913, le marché automobile simlandais reste marginal, et la '''QMC''' peine a rentabiliser ses récents investissements malgré des moteurs robustes et fiables. Elle s'engage alors contractuellement avec les forces militaires britanniques pour leur fournir des moteurs de camion, moyennant un crédit qui sauvera la société de la faillite. L'année suivante, la première guerre mondiale éclate, et la jeune société peine à honorer les livraisons à terme. Malgré tout, elle survit à la guerre et en ressort même grandie : grâce à ses échanges avec la couronne, qui sont exemptés d'impôts, elle peut se permettre de racheter plusieurs compagnies automobiles de la région, pérennisant son avenir. | + | En 1913, le marché automobile simlandais reste marginal, et la '''QMC''' peine a rentabiliser ses récents investissements malgré des moteurs robustes et fiables. Elle s'engage alors contractuellement avec les forces militaires britanniques pour leur fournir des moteurs de camion, moyennant un crédit qui sauvera la société de la faillite. L'année suivante, la première guerre mondiale éclate, et la jeune société peine à honorer les livraisons à terme. Malgré tout, elle survit à la guerre et en ressort même grandie : grâce à ses échanges avec la couronne, qui sont exemptés d'impôts, elle peut se permettre de racheter plusieurs petites compagnies automobiles de la région, pérennisant son avenir. |
| − | Dès l'indépendance du [[Queens]] en 1917, la compagnie se lance dans la création de son tout premier camion : le QMC Docker | + | Dès l'indépendance du [[Queens]] en 1917, la compagnie se lance dans la création de son tout premier camion : le QMC Docker 5. D'une conception simple et à faible couts, il a été voulu modulable et accessible pour le client. Le succès est au rendez-vous, notamment dans les entreprises présentes dans l'état, bien qu'il fut plus tard exporté dans d'autres pays de [[Simland]]. Entre 1917 et 1920, quelques 16'000 véhicules furent assemblés dans l'usine de [[Lowell]]. Au fil des années, les ingénieurs firent de ce camion l'un de plus robustes et plus fiables de son époque à Simland. Il portèrent la charge utile jusqu'à 4 tonnes pour une vitesse de pointe de 28 km/h. |
En 1922, un camion QMC traverse le [[continent simlandais]] de [[New Amsterdam]] à [[Medrean City]] en 11 jours. | En 1922, un camion QMC traverse le [[continent simlandais]] de [[New Amsterdam]] à [[Medrean City]] en 11 jours. | ||
| − | Durant la deuxième guerre mondiale, l'entreprise fournit des camions aux forces armées britanniques, à l'armée du Queens et même aux forces militaires [[Papaya|papaïottes]]. Près de 90'000 camions QMC Lorry 10 furent construit. Ces camions, d'un poids total de 10 tonnes chargés et possédant six roues motrices, | + | Durant la deuxième guerre mondiale, l'entreprise fournit des camions aux forces armées britanniques, à l'armée royale du [[Queens]] et même aux forces militaires [[Papaya|papaïottes]]. Près de 90'000 camions QMC Lorry 10 furent construit. Ces camions, d'un poids total de 10 tonnes chargés et possédant six roues motrices, offrirent à la firme une renommée nationale. Ces commandes militaires vont entrainer chez QMC un travail à la chaîne très poussé et surtout l'acquisition de nouvelles machines que cette production de masse permet de rentabiliser. L'ancienne usine de [[Lowell]] est bombardée par les japonais en septembre 1944. |
| − | A l'issue de la guerre, la société, qui a tiré un grand bénéfice de la guerre, doit réparer ses infrastructures. En 1946 un terrain de 400 hectares d'un seul tenant est acheté [[Lowell]] pour ériger l'usine principale, reprenant une partie des structures existantes et en 1948 la nouvelle usine est achevée. | + | A l'issue de la guerre, la société, qui a tiré un grand bénéfice de la guerre, doit réparer ses infrastructures. En 1946 un terrain de 400 hectares d'un seul tenant est acheté à [[Lowell]] pour ériger l'usine principale, reprenant une partie des structures existantes et en 1948 la nouvelle usine est achevée. La compagnie emploie a cette époque près de 10'000 ouvriers. |
==Évolution== | ==Évolution== | ||
| + | Après la seconde guerre mondiale, la '''Queens Motor Company''' est dans une situation critique : les modèles sont vieux, la société perd plusieurs millions de simléons par mois. Tyler Law, nouveau président, entreprend alors de réorganiser et de centraliser la compagnie, pour lui permettre de faire face à une concurrence féroce. En 1950, la QMC sera le premier constructeur simlandais à commercialiser un moteur V8. Pour lui permettre de toucher un public toujours plus large, la gamme de véhicules est élargie en 1958. Elle ne possédait à cette époque que des véhicules lourds destinés aux marchés commerciaux. Des véhicules plus légers sont alors construits, de la camionnette (pickup) avec le modèle QMC Wheeler 20 à la fourgonnette avec le QMC Freighter 15, ancêtre du modèle encore produit aujourd'hui QMC Worker 1500. Les modèles se veulent tantôt utilitaires, tantôt sportifs, et rencontrent un très bon succès auprès des critiques. | ||
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| + | Entre 1950 et 1975, la compagnie survit à plusieurs tentatives de rachat par des constructeurs étrangers, notamment Ford et Land Rover. Forte de sa nouvelle gamme de véhicules, la QMC se spécialise dans la conception de moteur diesel à forte puissance, prévu pour toutes les gammes de véhicules, mais plus spécialement pour les camions qu'elle revend à de nombreuses marques à travers le monde. Néanmoins, le choc pétrolier de 1979 rend cette politique lourde de conséquence pour l'entreprise qui se voit forcée de se diversifier pour survire. Des chaines de production sort le QMC Transporter 40, un bus urbain de 40 places, et le QMC Transporter 60, un bus intercité de 60 places en 1981 et 1982. Ces bus n'auront pas le succès escompté, et malgré de bonnes ventes pour le Transporter 60, le programme est arrêté et la QMC abandonne la production d'autocars. | ||
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| + | Confronté à des difficultés, la compagnie conçoit ses toutes premières voitures en 1984. La QMC Charger 25 est construite sur le modèle d'une berline (sedan) américain, spacieuse et confortable, tandis que la QMC Vector 30 est un concentré de puissance basée sur les muscles-car américains. Ces voitures rencontrent un succès inattendu sur le marché local, ainsi qu'au Canada et pour une partie aux États-Unis. Reprenant certains éléments de la construction de camions, comme le moteurs suralimentés, ces modèles se voient affublés de plusieurs variantes qui voit leur durée de vie prolongée par l'ajout de diverses technologies au fil des ans. Les bonnes ventes de ces deux modèles, combiné à la reprise de la production de poids lourds, sauvent la compagnie de la banqueroute. | ||
==Actuellement== | ==Actuellement== | ||
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| + | La dernière décennie a été employée par la '''Queens Motor Company''' pour rationaliser son travail et se moderniser. A ce titre, certains modèles parfois considérés comme historiques ou mythiques ont vus leur production cesser dans le courant des années 1990. En 1994, la société déménage de [[Lowell]] pour [[Rivendale]], quelque 30 kilomètres plus au sud. En réalité, seul le siège social et les bureaux de conception ont changé de lieu. Cette période marque un renouveau certain pour la marque : de nombreux modèles sont remis au goût du jour, avec de nouvelles motorisations travaillés conjointement avec Ford USA et de nouvelles technologies issues d'un partenariat totalement simlandais avec [[Houdeland Wagen]]. | ||
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| + | La QMC Charger 50 sort des chaines de production en 1996 et connait un grand succès, notamment auprès des forces de police, tandis que le QMC Freighter 15 se voit grandement amélioré dans une version bien plus moderne et économe en carburant en étant remplacé par le QMC Worker 1500. La société est renommée en 2000 et abandonne dès lors le suffixe ''"Trucks"'' (camions) pour se montrer plus ouverte et moderne. L'activité se scinde en deux secteurs distincts : l'automobile et le transport lourd. Ce dernier secteur connait une conjoncture agréable, qui permet à la QMC de revoir ses modèles pour les moderniser et mieux répondre à la demande de la clientèle, notamment avec le QMC Tracker 2500. | ||
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| + | Dès 2005, la QMC lance une nouvelle gamme de véhicule, la 5e, et offre de nouveaux modèles inédits : pickup (QMC Mover 100) et SUV (QMC Family 150) se vendent très bien, comblant un manque dans cette catégorie de véhicules à Simland, tandis qu'une nouvelle berline plus moderne (et donc mieux adaptée au marché nord du pays) voit le jour ainsi qu'un nouvel utilitaire pensé pour les professionnels. | ||
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| + | Malgré le succès de ses véhicules et des résultats nets en forte hausse sur 10 ans, la société n'a pu s'empêcher de licencier du personnel, notamment dans son programme de rationalisation lancé en 1992, et par l'automatisation toujours plus importante de l'assemblage. Le site de [[Lowell]] occupe aujourd'hui moins de 5'000 ouvriers, la moitié moins qu'en 1950, tandis que l'administratif couvre plus de 15% des postes avec 1'100 ouvriers. | ||
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| + | * QMC Wheeler 20 (1958-1983) : Premier véhicule léger de la marque ; carrosserie pickup, moteur V8 | ||
| + | * QMC Charger 25 (1984-1999) : Première berline de la marque ; plutôt considérée comme une familiale large, elle réalisa des ventes respectables | ||
| + | * QMC Vector 30 (1985-1991) : Muscle-car, série limitée et puissance démesurée, devenue mythique pour son V8 | ||
| + | ===Camions=== | ||
| + | * QMC Docker 5 (1917-1929) : Premier véhicule automobile de la marque ; configuration variable, poids 5t | ||
| + | * QMC Lorry 10 (1931-1952) : Deuxième véhicule de la marque ; robuste et tout-terrain (6x6), poids 10t (plusieurs versions) | ||
| + | * QMC Lorry 35 (1951-1988) : Camion le plus vendu de la marque ; nombreuses variantes, poids jusqu'à 35t | ||
| + | * QMC Freighter 15 (1959-1986) : Véhicule de livraison, prévu pour la ville ; carrosserie ''box-truck'', poids jusqu'à 15t maximum | ||
| + | ===Bus=== | ||
| + | * QMC Transporter 40 (1981-1995) : Premier autobus de la marque, fonction urbaine, n'a jamais rencontré le succès malgré de bons atouts (40 places) | ||
| + | * QMC Transporter 60 (1982-1999) : Deuxième autobus de la marque, fonction interubaine, s'est relativement bien vendu (60 places) | ||
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Version du 5 janvier 2017 à 12:47
Queens Motor Company LLC
Logo de la QMC
| Création | 1912 |
|---|---|
| Fondateurs | Francis Arthur Borton |
| Forme juridique | Société Anonyme |
| Slogan | Moves everything |
| Siège social |  Rivendale
|
| Centre de production | Lowell
|
| Direction | John Marsden |
| Activité | Automobile |
| Produits | Voiture, camions, moteurs |
| Effectif | 6'430 |
| Chiffre d'affaire |  5,41 Mds de §
|
| Résultats net | 1,06 Mds de §
|
 Portail Économique
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La Queens Motors Company LLC, surtout connue sous son diminutif QMC, autrefois connue sous le nom de QMC Trucks, est une entreprise simlandaise de production automobile. Elle produit des véhicules utilitaires sport (SUV), des camionnettes (pickup), des fourgonnettes et ainsi que des camions lourds ou légers.
Les véhicules QMC sont vendus à Simland, en Amérique du Nord et du Sud et au Moyen-Orient. En 2007, QMC était la seconde marque de Simland la plus vendue, derrière Houdeland Wagen.
Sommaire
Histoire
Origines
A l'aube de la première guerre mondiale, le Queens et les autres pays de Simland en général, étaient dépendants des nations européennes en matière de moteurs automobiles. Il n'existait alors aucun producteur de mécanique, en dehors des manufactures classiques (moteurs de machine). La modernisation des armées et l'ouverture à un négoce mondial requérait la construction de moyens lourds : camions, bateaux et usines modernes notamment. Ainsi, la couronne britannique, dont dépendait encore le Queens à cette époque, ordonna au gouvernorat local de favoriser la création d'entreprises dans ce domaine précis. Les marchés métropolitains anglais et français étaient demandeurs de moteurs à explosion, et cette demande peinait à être satisfaite. De nombreuses primes furent créées dans à cette fin.
C'est à cette époque que nait un mouvement de création d'entreprises automobiles à Simland. Entre 1900 et 1915, le nombre de producteurs d'automobiles ou de moteurs pour véhicules explose, et cela partout dans le pays. Le Queens n'échappe pas à cette tendance et voit de nombreuses petites compagnies émerger. La Queens Motor Company est l'une d'entre elles. Elle fut fondée officiellement le 15 mai 1912 par Benjamin Whitehead, ingénieur en mécanique issu de l'Université de Cambridge, et Louis Ball, coureur automobile anglais. Profitant des structures existantes à l'époque, elle s'établit à Lowell, à une trentaine de kilomètres de Rivendale, bénéficiant ainsi des matériaux des mines de cuivre qui parsèment la région tout en restant à distance correcte d'un port de marchandises. Leur premier produit est un moteur essence deux temps de 4.5 litres offrant 12 chevaux. Bien que récent et malgré des défauts de jeunesse, sa conception est bonne, il est amélioré et connait un succès relatif dès la première année de commercialisation.
En 1913, le marché automobile simlandais reste marginal, et la QMC peine a rentabiliser ses récents investissements malgré des moteurs robustes et fiables. Elle s'engage alors contractuellement avec les forces militaires britanniques pour leur fournir des moteurs de camion, moyennant un crédit qui sauvera la société de la faillite. L'année suivante, la première guerre mondiale éclate, et la jeune société peine à honorer les livraisons à terme. Malgré tout, elle survit à la guerre et en ressort même grandie : grâce à ses échanges avec la couronne, qui sont exemptés d'impôts, elle peut se permettre de racheter plusieurs petites compagnies automobiles de la région, pérennisant son avenir.
Dès l'indépendance du Queens en 1917, la compagnie se lance dans la création de son tout premier camion : le QMC Docker 5. D'une conception simple et à faible couts, il a été voulu modulable et accessible pour le client. Le succès est au rendez-vous, notamment dans les entreprises présentes dans l'état, bien qu'il fut plus tard exporté dans d'autres pays de Simland. Entre 1917 et 1920, quelques 16'000 véhicules furent assemblés dans l'usine de Lowell. Au fil des années, les ingénieurs firent de ce camion l'un de plus robustes et plus fiables de son époque à Simland. Il portèrent la charge utile jusqu'à 4 tonnes pour une vitesse de pointe de 28 km/h.
En 1922, un camion QMC traverse le continent simlandais de New Amsterdam à Medrean City en 11 jours.
Durant la deuxième guerre mondiale, l'entreprise fournit des camions aux forces armées britanniques, à l'armée royale du Queens et même aux forces militaires papaïottes. Près de 90'000 camions QMC Lorry 10 furent construit. Ces camions, d'un poids total de 10 tonnes chargés et possédant six roues motrices, offrirent à la firme une renommée nationale. Ces commandes militaires vont entrainer chez QMC un travail à la chaîne très poussé et surtout l'acquisition de nouvelles machines que cette production de masse permet de rentabiliser. L'ancienne usine de Lowell est bombardée par les japonais en septembre 1944.
A l'issue de la guerre, la société, qui a tiré un grand bénéfice de la guerre, doit réparer ses infrastructures. En 1946 un terrain de 400 hectares d'un seul tenant est acheté à Lowell pour ériger l'usine principale, reprenant une partie des structures existantes et en 1948 la nouvelle usine est achevée. La compagnie emploie a cette époque près de 10'000 ouvriers.
Évolution
Après la seconde guerre mondiale, la Queens Motor Company est dans une situation critique : les modèles sont vieux, la société perd plusieurs millions de simléons par mois. Tyler Law, nouveau président, entreprend alors de réorganiser et de centraliser la compagnie, pour lui permettre de faire face à une concurrence féroce. En 1950, la QMC sera le premier constructeur simlandais à commercialiser un moteur V8. Pour lui permettre de toucher un public toujours plus large, la gamme de véhicules est élargie en 1958. Elle ne possédait à cette époque que des véhicules lourds destinés aux marchés commerciaux. Des véhicules plus légers sont alors construits, de la camionnette (pickup) avec le modèle QMC Wheeler 20 à la fourgonnette avec le QMC Freighter 15, ancêtre du modèle encore produit aujourd'hui QMC Worker 1500. Les modèles se veulent tantôt utilitaires, tantôt sportifs, et rencontrent un très bon succès auprès des critiques.
Entre 1950 et 1975, la compagnie survit à plusieurs tentatives de rachat par des constructeurs étrangers, notamment Ford et Land Rover. Forte de sa nouvelle gamme de véhicules, la QMC se spécialise dans la conception de moteur diesel à forte puissance, prévu pour toutes les gammes de véhicules, mais plus spécialement pour les camions qu'elle revend à de nombreuses marques à travers le monde. Néanmoins, le choc pétrolier de 1979 rend cette politique lourde de conséquence pour l'entreprise qui se voit forcée de se diversifier pour survire. Des chaines de production sort le QMC Transporter 40, un bus urbain de 40 places, et le QMC Transporter 60, un bus intercité de 60 places en 1981 et 1982. Ces bus n'auront pas le succès escompté, et malgré de bonnes ventes pour le Transporter 60, le programme est arrêté et la QMC abandonne la production d'autocars.
Confronté à des difficultés, la compagnie conçoit ses toutes premières voitures en 1984. La QMC Charger 25 est construite sur le modèle d'une berline (sedan) américain, spacieuse et confortable, tandis que la QMC Vector 30 est un concentré de puissance basée sur les muscles-car américains. Ces voitures rencontrent un succès inattendu sur le marché local, ainsi qu'au Canada et pour une partie aux États-Unis. Reprenant certains éléments de la construction de camions, comme le moteurs suralimentés, ces modèles se voient affublés de plusieurs variantes qui voit leur durée de vie prolongée par l'ajout de diverses technologies au fil des ans. Les bonnes ventes de ces deux modèles, combiné à la reprise de la production de poids lourds, sauvent la compagnie de la banqueroute.
Actuellement
La dernière décennie a été employée par la Queens Motor Company pour rationaliser son travail et se moderniser. A ce titre, certains modèles parfois considérés comme historiques ou mythiques ont vus leur production cesser dans le courant des années 1990. En 1994, la société déménage de Lowell pour Rivendale, quelque 30 kilomètres plus au sud. En réalité, seul le siège social et les bureaux de conception ont changé de lieu. Cette période marque un renouveau certain pour la marque : de nombreux modèles sont remis au goût du jour, avec de nouvelles motorisations travaillés conjointement avec Ford USA et de nouvelles technologies issues d'un partenariat totalement simlandais avec Houdeland Wagen.
La QMC Charger 50 sort des chaines de production en 1996 et connait un grand succès, notamment auprès des forces de police, tandis que le QMC Freighter 15 se voit grandement amélioré dans une version bien plus moderne et économe en carburant en étant remplacé par le QMC Worker 1500. La société est renommée en 2000 et abandonne dès lors le suffixe "Trucks" (camions) pour se montrer plus ouverte et moderne. L'activité se scinde en deux secteurs distincts : l'automobile et le transport lourd. Ce dernier secteur connait une conjoncture agréable, qui permet à la QMC de revoir ses modèles pour les moderniser et mieux répondre à la demande de la clientèle, notamment avec le QMC Tracker 2500.
Dès 2005, la QMC lance une nouvelle gamme de véhicule, la 5e, et offre de nouveaux modèles inédits : pickup (QMC Mover 100) et SUV (QMC Family 150) se vendent très bien, comblant un manque dans cette catégorie de véhicules à Simland, tandis qu'une nouvelle berline plus moderne (et donc mieux adaptée au marché nord du pays) voit le jour ainsi qu'un nouvel utilitaire pensé pour les professionnels.
Malgré le succès de ses véhicules et des résultats nets en forte hausse sur 10 ans, la société n'a pu s'empêcher de licencier du personnel, notamment dans son programme de rationalisation lancé en 1992, et par l'automatisation toujours plus importante de l'assemblage. Le site de Lowell occupe aujourd'hui moins de 5'000 ouvriers, la moitié moins qu'en 1950, tandis que l'administratif couvre plus de 15% des postes avec 1'100 ouvriers.
Structure
Centre de production
Siège social
Produits
Moteurs
| Nom | Type de moteur | Cylindrée | Puissance | Poids | Production | Classe énergétique |
|---|---|---|---|---|---|---|
| | ||||||
| EcoBoost 3.5lt | V6 Moteur à injection directe | 3300 cm3 | 325ch à 5500 tr/min | 405 kg | 1995 | D |
| ThunderSport 5.0lt | V8 Moteur à injection directe, turbocompressé | 5100 cm3 | 405ch à 5100 tr/min | 510 kg | 2001 | E |
| | ||||||
| MoreMiles 4.0lt | V8 Moteur à injection directe, turbocompressé | 4350 cm3 | 385ch à 3900 tr/min | 460 kg | 1992 | D |
| BurnAll 7.6lt | V10 Moteur à injection séquentiel, turbocompressé | 8550 cm3 | 510ch à 4500 tr/min | 690 kg | 2010 | G- |
| Gas&Pull 6.2lt | V10 Moteur à injection séquentiel, turbocompressé | 7600 cm3 | 465ch à 4700 tr/min | 710 kg | 1993 | E |
| MonsterMachine 13.2lt | V10 Moteur à injection séquentiel, turbocompressé (2x) | 12'500 cm3 | 840ch à 5000 tr/min | 1180 kg | 2004 | E- |
Modèles Actuels
Voitures
| Photo | Modèle | Type de carosserie | Production | Motorisation | Variantes |
|---|---|---|---|---|---|
| | |||||
|
QMC Charger 50 | Berline | 1996 | Essence V6 3.5lt EcoBoost | Version tout-terrain (Ranger) |
|
QMC Charger 75 | Berline | 2008 | Essence V6 3.5lt EcoBoost et V8 5.0lt TunderSport | Version sport (V8 5.0lt ThunderSport) |
|
QMC Mover 100 | Pick-up | 2015 | Essence V6 3.5lt EcoBoost et Diesel V8 4.0lt MoreMiles | Version sport (V8 5.0lt Tundersport) |
|
QMC Family 150 | SUV | 2013 | Essence V6 3.5lt EcoBoost |
Utilitaires
| Photo | Modèle | Type de carrosserie | Production | Motorisation | Variantes |
|---|---|---|---|---|---|
| | |||||
|
QMC Worker 500 | Camionnette | 2008 | Diesel V8 4.0lt MoreMiles | Version allongée (Wagoon) |
|
QMC Worker 1000 | Fourgonnette | 2011 | Diesel V8 5.0lt Thundersport et Diesel V10 7.6lt BurnAll | Version frigorifique (Freezer), allongée (Wagoon) |
|
QMC Worker 1500 | Fourgonnette | 1995 | Diesel V8 4.0lt MoreMiles |
Camions
| Photo | Modèle | Type de carrosserie | Production | Motorisation | Variantes |
|---|---|---|---|---|---|
| | |||||
|
QMC Tracker 2500 | Camion Box-truck | 2001 | Diesel V8 6.2lt Gas&Pull | Version Flat-truck, et Tow-Truck |
|
QMC Tracker 5000 | Camion semi-remorque | 1993 | Diesel V8 6.2lt Gas&Pull, Diesel V10 13.2lt MonsterMachine | Version cabine allongée (Premium) |
Anciens Modèles
Voitures
- QMC Wheeler 20 (1958-1983) : Premier véhicule léger de la marque ; carrosserie pickup, moteur V8
- QMC Charger 25 (1984-1999) : Première berline de la marque ; plutôt considérée comme une familiale large, elle réalisa des ventes respectables
- QMC Vector 30 (1985-1991) : Muscle-car, série limitée et puissance démesurée, devenue mythique pour son V8
Camions
- QMC Docker 5 (1917-1929) : Premier véhicule automobile de la marque ; configuration variable, poids 5t
- QMC Lorry 10 (1931-1952) : Deuxième véhicule de la marque ; robuste et tout-terrain (6x6), poids 10t (plusieurs versions)
- QMC Lorry 35 (1951-1988) : Camion le plus vendu de la marque ; nombreuses variantes, poids jusqu'à 35t
- QMC Freighter 15 (1959-1986) : Véhicule de livraison, prévu pour la ville ; carrosserie box-truck, poids jusqu'à 15t maximum
Bus
- QMC Transporter 40 (1981-1995) : Premier autobus de la marque, fonction urbaine, n'a jamais rencontré le succès malgré de bons atouts (40 places)
- QMC Transporter 60 (1982-1999) : Deuxième autobus de la marque, fonction interubaine, s'est relativement bien vendu (60 places)
Notes et références
Articles connexes
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|---|---|---|
| Houdeland Wagen (HW) • Nyokö Motors Company • Queens Motor Company (QMC) • Wakete Motion Company (WMC) • Hanovrier Autos Konzession (HAK) | ||
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