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Queens Motor Company LLC

Logo de la QMC

Création	1912
Fondateurs	Francis Arthur Borton
Forme juridique	Société à responsabilité limitée (LLC)
Slogan	Moves everything
Siège social	Rivendale
Centre de production	Lowell
Direction	John Marsden
Activité	Automobile
Produits	Voiture, camions, moteurs
Effectif	6'430
Chiffre d'affaire	5,41 Mds de §
Résultats net	1,06 Mds de §
Portail Économique

La Queens Motors Company LLC, surtout connue sous son diminutif QMC, autrefois connue sous le nom de QMC Trucks, est une entreprise simlandaise de production automobile. Elle produit des véhicules utilitaires sport (SUV), des camionnettes (pickup), des fourgonnettes et ainsi que des camions lourds ou légers.

Les véhicules QMC sont vendus à Simland, en Amérique du Nord et du Sud et au Moyen-Orient. En 2007, QMC était la seconde marque de Simland la plus vendue, derrière Houdeland Wagen¹.

Histoire

Origines

A l'aube de la première guerre mondiale, le Queens et les autres pays de Simland en général, étaient dépendants des nations européennes en matière de moteurs automobiles. Il n'existait alors aucun producteur de mécanique, en dehors des manufactures classiques (moteurs de machine). La modernisation des armées et l'ouverture à un négoce mondial requérait la construction de moyens lourds : camions, bateaux et usines modernes notamment. Ainsi, la couronne britannique, dont dépendait encore le Queens à cette époque, ordonna au gouvernorat local de favoriser la création d'entreprises dans ce domaine précis. Les marchés métropolitains anglais et français étaient demandeurs de moteurs à explosion, et cette demande peinait à être satisfaite. De nombreuses primes furent créées dans à cette fin.

C'est à cette époque que nait un mouvement de création d'entreprises automobiles à Simland. Entre 1900 et 1915, le nombre de producteurs d'automobiles ou de moteurs pour véhicules explose, et cela partout dans le pays. Le Queens n'échappe pas à cette tendance et voit de nombreuses petites compagnies émerger. La Queens Motor Company est l'une d'entre elles. Elle fut fondée officiellement le 15 mai 1912 par Benjamin Whitehead, ingénieur en mécanique issu de l'Université de Cambridge, et Louis Ball, coureur automobile anglais. Profitant des structures existantes à l'époque, elle s'établit à Lowell, à une trentaine de kilomètres de Rivendale, bénéficiant ainsi des matériaux des mines de cuivre qui parsèment la région tout en restant à distance correcte d'un port de marchandises. Leur premier produit est un moteur essence deux temps de 4.5 litres offrant 12 chevaux. Bien que récent et malgré des défauts de jeunesse, sa conception est bonne, il est amélioré et connait un succès relatif dès la première année de commercialisation.

Le QMC Lorry 10 fut l'un des véhicules les plus vendus

En 1913, le marché automobile simlandais reste marginal, et la QMC peine a rentabiliser ses récents investissements malgré des moteurs robustes et fiables. Elle s'engage alors contractuellement avec les forces militaires britanniques pour leur fournir des moteurs de camion, moyennant un crédit qui sauvera la société de la faillite. L'année suivante, la première guerre mondiale éclate, et la jeune société peine à honorer les livraisons à terme. Malgré tout, elle survit à la guerre et en ressort même grandie : grâce à ses échanges avec la couronne, qui sont exemptés d'impôts, elle peut se permettre de racheter plusieurs petites compagnies automobiles de la région, pérennisant son avenir.

Dès l'indépendance du Queens en 1917, la compagnie se lance dans la création de son tout premier camion : le QMC Docker 5. D'une conception simple et à faible couts, il a été voulu modulable et accessible pour le client. Le succès est au rendez-vous, notamment dans les entreprises présentes dans l'état, bien qu'il fut plus tard exporté dans d'autres pays de Simland. Entre 1917 et 1920, quelques 16'000 véhicules furent assemblés dans l'usine de Lowell. Au fil des années, les ingénieurs firent de ce camion l'un de plus robustes et plus fiables de son époque à Simland. Il portèrent la charge utile jusqu'à 4 tonnes pour une vitesse de pointe de 28 km/h.

En 1922, un camion QMC traverse le continent simlandais de New Amsterdam à Medrean City en 11 jours.

Durant la deuxième guerre mondiale, l'entreprise fournit des camions aux forces armées britanniques, à l'armée royale du Queens et même aux forces militaires papaïottes. Près de 90'000 camions QMC Lorry 10 furent construit. Ces camions, d'un poids total de 10 tonnes chargés et possédant six roues motrices, offrirent à la firme une renommée nationale. Ces commandes militaires vont entrainer chez QMC un travail à la chaîne très poussé et surtout l'acquisition de nouvelles machines que cette production de masse permet de rentabiliser. L'ancienne usine de Lowell est bombardée par les japonais en septembre 1944.

A l'issue de la guerre, la société, qui a tiré un grand bénéfice de la guerre, doit réparer ses infrastructures. En 1946 un terrain de 400 hectares d'un seul tenant est acheté à Lowell pour ériger l'usine principale, reprenant une partie des structures existantes et en 1948 la nouvelle usine est achevée. La compagnie emploie a cette époque près de 10'000 ouvriers.

Évolution

Le QMC Transporter 60 avait de nombreuses qualités

Après la seconde guerre mondiale, la Queens Motor Company est dans une situation critique : les modèles sont vieux, la société perd plusieurs millions de simléons par mois. Tyler Law, nouveau président, entreprend alors de réorganiser et de centraliser la compagnie, pour lui permettre de faire face à une concurrence féroce. En 1950, la QMC sera le premier constructeur simlandais à commercialiser un moteur V8. Pour lui permettre de toucher un public toujours plus large, la gamme de véhicules est élargie en 1958. Elle ne possédait à cette époque que des véhicules lourds destinés aux marchés commerciaux. Des véhicules plus légers sont alors construits, de la camionnette (pickup) avec le modèle QMC Wheeler 20 à la fourgonnette avec le QMC Freighter 15, ancêtre du modèle encore produit aujourd'hui QMC Worker 1500. Les modèles se veulent tantôt utilitaires, tantôt sportifs, et rencontrent un très bon succès auprès des critiques.

Entre 1950 et 1975, la compagnie survit à plusieurs tentatives de rachat par des constructeurs étrangers, notamment Ford et Land Rover. Forte de sa nouvelle gamme de véhicules, la QMC se spécialise dans la conception de moteur diesel à forte puissance, prévu pour toutes les gammes de véhicules, mais plus spécialement pour les camions qu'elle revend à de nombreuses marques à travers le monde. Néanmoins, le choc pétrolier de 1979 rend cette politique lourde de conséquence pour l'entreprise qui se voit forcée de se diversifier pour survire. Des chaines de production sort le QMC Transporter 40, un bus urbain de 40 places, et le QMC Transporter 60, un bus intercité de 60 places en 1981 et 1982. Ces bus n'auront pas le succès escompté, et malgré de bonnes ventes pour le Transporter 60, le programme est arrêté et la QMC abandonne la production d'autocars.

La mythique QMC Vector 30 est maintenant un modèle de collection très prisé.

Confronté à des difficultés, la compagnie conçoit ses toutes premières voitures en 1984. La QMC Charger 25 est construite sur le modèle d'une berline (sedan) américaine, spacieuse et confortable, tandis que la QMC Vector 30 est un concentré de puissance basée sur les muscles-car américains. Ces voitures rencontrent un succès inattendu sur le marché local, ainsi qu'au Canada et pour une partie aux États-Unis. Reprenant certains éléments de la construction de camions, comme le moteurs suralimentés, ces modèles se voient affublés de plusieurs variantes qui voit leur durée de vie prolongée par l'ajout de diverses technologies au fil des ans. Les bonnes ventes de ces deux modèles, combiné à la reprise de la production de poids lourds, sauvent la compagnie de la banqueroute.

Actuellement

La dernière décennie a été employée par la Queens Motor Company pour rationaliser son travail et se moderniser. A ce titre, certains modèles parfois considérés comme historiques ou mythiques ont vus leur production cesser dans le courant des années 1990. En 1994, la société déménage de Lowell pour Rivendale, quelque 30 kilomètres plus au sud. En réalité, seul le siège social et les bureaux de conception ont changé de lieu, tandis que l'usine profite encore pour s'étendre. Cette période marque un renouveau certain pour la marque : de nombreux modèles sont remis au goût du jour, avec de nouvelles motorisations travaillés conjointement avec Ford USA et de nouvelles technologies issues d'un partenariat totalement simlandais avec Houdeland Wagen.

La QMC Charger 50 sort des chaines de production en 1996 et connait un grand succès, notamment auprès des forces de police, tandis que le QMC Freighter 15 se voit grandement amélioré dans une version bien plus moderne et économe en carburant en étant remplacé par le QMC Worker 1500. La société est renommée en 2000 et abandonne dès lors le suffixe "Trucks" (camions) pour se montrer plus ouverte et moderne. L'activité se scinde en deux secteurs distincts : l'automobile et le transport lourd. Ce dernier secteur connait une conjoncture agréable, qui permet à la QMC de revoir ses modèles pour les moderniser et mieux répondre à la demande de la clientèle, notamment avec le QMC Tracker 2500.

Dès 2005, la QMC lance une nouvelle gamme de véhicule, la 5e, et offre de nouveaux modèles inédits : pickup (QMC Mover 100) et SUV (QMC Family 150) se vendent très bien, comblant un manque dans cette catégorie de véhicules à Simland, tandis qu'une nouvelle berline plus moderne (et donc mieux adaptée au marché nord du pays) voit le jour ainsi qu'un nouvel utilitaire pensé pour les professionnels.

Malgré le succès de ses véhicules et des résultats nets en forte hausse sur 10 ans, la société n'a pu s'empêcher de licencier du personnel, notamment dans son programme de rationalisation lancé en 1992, et par l'automatisation toujours plus importante de l'assemblage. Le site de Lowell occupe aujourd'hui moins de 5'000 ouvriers, la moitié moins qu'en 1950, tandis que l'administratif couvre plus de 15% des postes avec 1'100 ouvriers.

En 2016, la compagnie délivre son tout premier moteur au gaz naturel, développé en étroite collaboration avec Eco Carb. Il équipe uniquement les véhicules construits après 2012 (rétrocompatibilité).

Identité visuelle

L'identité visuelle de la Queens Motor Company a longtemps été liée à la couronne d'Angleterre puis à la couronne du Queens. En effet, sur le tout premier logo, à la conception simple, l'élément central est une couronne dentée à 5 pics. Cet élément de décoration sera repris sur le bouchon de radiateur pendant longtemps, puis de manière détournée sur les pommeaux de vitesse dès 1958. La couronne finira par être abandonnée dès la restructuration de l'entreprise, en 1994, au grand dam des puristes qui estiment qu'il s'agit d'une perte d'identité.

Le premier logo comportait le nom de la compagnie découpé dans le cuivre apposé sur les calandres des premiers camions. Par la suite, avec la disparition ou la réduction de taille de ces dernières, seul le bouchon en forme de couronne subsiste. En 1958, l'identité visuelle est revue à l'occasion de la sortie des premiers véhicules légers. Le logo est simplifié, et pour la première fois le nom de la marque est abrégé, car d'usage maintenant courant. La forme et la taille du logo lui permet d'être plus facilement apposé sur les petites pièces. Ce logo restera longtemps la signature des véhicules QMC, représentant leur robustesse et leur fiabilité, tout comme leur simplicité d'utilisation.

En 1994, la grande restructuration entreprise par la compagnie change radicalement la structure de l'entreprise, ses objectifs ainsi que son identité visuelle. La couronne, jugée désuète, est abandonnée afin de permettre à la marque de s'exporter plus facilement. Ce logo est le plus travaillé et le plus recherché de l'histoire de l'entreprise : il a été développé pendant de longues années avant d'être définitivement validé, essuyant beaucoup de critiques lors de sa sortie. Sa couleur rouge et sa surface rainurée rappellent l'origine de la compagnie, le Queens, ainsi que la qualité des véhicules, qu'il s'agisse de véhicule commerciaux ou privés.

La couleur rouge a toujours été un emblème de la société. Issue à l'origine de l'Union Jack, puis par la suite du drapeau du Queens, elle a souvent été apposée aux véhicules de la marque, notamment les poids lourds. Bien que longtemps absente du logo ou du bouchon de radiateur, elle fut toujours présente soit sur les peintures extérieures soit sur la sellerie. Les cadrans de vitesse ainsi que, plus tard, les tableaux de bord ont toujours présenté une note de rouge.

Structure

Centre de production

L'usine de Lowell possède une histoire particulière. La première usine de la Queens Motor Company n'était qu'un simple hangar qui fut bâti en 1912, année de fondation de la société. Rapidement, pour faire face au succès de la QMC, des parcelles contigües sont achetées et l'usine s'étend sans réel planification à long terme. La signature d'un contrat avec les forces militaires britanniques en 1913 force la direction a construire un site plus grand et surtout mieux organisé. Durant la première guerre mondiale, les locaux seront si petits que les équipes doivent se relayer nuit et jour afin de fournir à la couronne ses moteurs. Après la guerre, elle rachète de nombreuses petites sociétés automobiles locales, et la production se certains éléments sera déplacée, ce qui soulagera le site sur lequel près de 10'000 ouvriers se pressent chaque jour.

L'emplacement a toujours été choisi avec soin : il se situe à proximité immédiate de la plus grand mine de cuivre à ciel ouvert de Simland, facilitant ainsi les échanges entre les deux compagnies. En 1944, l'aviation japonaise bombarde l'usine afin de freiner l'effort de guerre local. Une partie de l'usine est détruite, mais elle reste utilisable. Elle sera démolie dès la fin de la guerre pour laisser la place en 1948 au centre de production tel que nous le connaissons aujourd'hui.

L'entreprise profite depuis les débuts d'un réseau ferroviaire important, qui permet de transporter biens et marchandises nécessaire à la production depuis le port de Rivendale tandis que la majeure partie des véhicules sortent des chaines de production sur wagon. Le personnel lui aussi est dépendant du train car la ville de Lowell est bien trop petite pour loger à elle toute seule la totalité des employés de la compagnie. La QMC dispose ainsi d'une gare de fret qui lui est spécialement dédiée, où une grande partie du personnel transite en début et en fin de journée.

Depuis 1994, la société est séparée en deux domaines bien distincts, QMC Heavy et QMC Cars.De plus, la sous-traitance a été rapatriée dans la maison mère. Le centre de production comprend ainsi deux usines, l'une pour chaque domaine, séparées par un dépôt ferroviaire. La deuxième usine a été construite en 1991 en vue de la commercialisation de la QMC Charger 50, qui n'était qu'en projet à l'époque. L'automatisation et la rationalisation a réduit le nombre d'ouvriers à environ 5'000. L'usine, avec ses moyens actuels, peut produire 120 voitures par jour et 40 camions par jour, au maximum.

A ce jour, le site représente près de 600 hectares. Au total, près de 2'200'000 véhicules sont sortis des usines depuis la création de l'entreprise.

Siège social

Le siège social de la compagnie se situe au 146 North Beacon Street, dans le quartier de Malden, à Rivendale. La QMC Tower, d'une hauteur de 110m (360ft) pour 22 étages, a été construite entre 1993 et 1994 sur un ancien terrain vague, laissé à l'abandon entre le nouveau James Park Stadium et l'échangeur de Kenmore, revalorisant totalement le quartier et ses alentours. De plus, la tour profite d'une vue exceptionnelle sur le Charles Bay Bridge et sur le Downtown. On y retrouve de siège de la direction, la division administrative, la division marketing, la division service après-vente, et surtout la section de recherche qui regroupe plus de 250 ingénieurs pour la plupart issus de l'Université d'État du Queens et d'universités nord-américaines. Le site emploie près de 1'100 employés.

Produits

Moteurs

Modèles actuels

Voitures

Photo	Modèle	Type de carosserie	Production	Motorisation	Variantes
Voiture
	QMC Charger 50	Berline	1996	Essence V6 3.5lt EcoBoost	Version tout-terrain (Ranger)
	QMC Charger 75	Berline	2008	Essence V6 3.5lt EcoBoost et V8 5.0lt TunderSport	Version sport (V8 5.0lt ThunderSport)
	QMC Mover 100	Pick-up	2015	Essence V6 3.5lt EcoBoost et Diesel V8 4.0lt MoreMiles	Version sport (V8 5.0lt Tundersport)
	QMC Family 150	SUV	2013	Essence V6 3.5lt EcoBoost
	QMC Vector 55	Muscle car	2017	Essence V8 5.0lt Thundersport	Version eco (GreenTorque V6 3.2lt)

Utilitaires

Photo	Modèle	Type de carrosserie	Production	Motorisation	Variantes
Utilitaires
	QMC Worker 500	Camionnette	2008	Diesel V8 4.0lt MoreMiles	Version allongée (Wagoon)
	QMC Worker 1000	Fourgonnette	2011	Diesel V8 5.0lt Thundersport et Diesel V10 7.6lt BurnAll	Version frigorifique (Freezer), allongée (Wagoon)
	QMC Worker 1500	Fourgonnette	1995	Diesel V8 4.0lt MoreMiles

Camions

Photo	Modèle	Type de carrosserie	Production	Motorisation	Variantes
Camions
	QMC Tracker 2500	Camion Box-truck	2001	Diesel V8 6.2lt Gas&Pull	Version Flat-truck, et Tow-Truck
	QMC Tracker 5000	Camion semi-remorque	1993	Diesel V8 6.2lt Gas&Pull, Diesel V10 13.2lt MonsterMachine	Version cabine allongée (Premium)

Anciens modèles

Voitures

La QMC Wheeler 20 fut la première voiture de la marque, elle connut deux versions. La QMC Wheeler 50 dessous.

• QMC Wheeler 20 (1958-1971) : Premier véhicule léger de la marque ; carrosserie pickup, moteur V8
• QMC Wheeler 50 (1973-1989) : Deuxième version du Wheeler, il s'inscrit dans la continuité et fait de QMC un constructeur de choix pour les pickups.
• QMC Charger 25 (1984-1999) : Première berline de la marque ; plutôt considérée comme une familiale large, elle réalisa des ventes respectables
• QMC Vector 30 (1985-1991) : Muscle-car, série limitée et puissance démesurée, devenue mythique pour son V8

Camions

• QMC Docker 5 (1917-1929) : Premier véhicule automobile de la marque ; configuration variable, poids 5t
• QMC Lorry 10 (1931-1952) : Deuxième véhicule de la marque ; robuste et tout-terrain (6x6), poids 10t (plusieurs versions)
• QMC Lorry 35 (1951-1988) : Camion le plus vendu de la marque ; nombreuses variantes, poids jusqu'à 35t
• QMC Freighter 15 (1959-1986) : Véhicule de livraison, prévu pour la ville ; carrosserie box-truck, poids jusqu'à 15t maximum

Bus

• QMC Transporter 40 (1981-1995) : Premier autobus de la marque, fonction urbaine, n'a jamais rencontré le succès malgré de bons atouts (40 places)
• QMC Transporter 60 (1982-1999) : Deuxième autobus de la marque, fonction interubaine, s'est relativement bien vendu (60 places)

Ventes

Ventes annuelles

Ce tableau résume les ventes des 10 dernières années de la QMC.

Notes :

• L'année 2008 est marqué par la sortie de la QMC Charger 75
  
• En 2013, la sortie tardive de la QMC Family 150 fausse les chiffres, les ventes étant reportées sur 2014
  
• En 2015, la QMC réalise sa meilleure année en terme de chiffres avec la sortie du QMC Mover 100, pickup au succès fulgurant

Ventes par modèle

Ce tableau résume le ventes totales des modèles encore sur le catalogue.

Notes :

• Le véhicule le plus vendu, hors guerres mondiales, est le QMC Lorry 35 qui a été vendu a plus de 550'000 exemplaires en plus de 35 ans de carrière
  
• Le véhicule le plus vendu, hors flottes commerciales, ces 10 dernières années est le QMC Mover 100, avec plus de 130'000 ventes en 2 ans, augurant un bon avenir pour ce modèle.
• Le QMC Charger 50 est le véhicule le plus vendu en flotte commerciale. Il englobe notamment de nombreuses forces de polices, comme la police de Campton, ainsi que de nombreuses compagnies de taxi.
  

Meilleures ventes

Ce tableau résume les meilleures ventes des 5 meilleures modèles de la compagnie, hors guerres mondiales.

Notes :

• Le modèle qui a eut le plus de succès à l'international est le QMC Vector 30 qui est aujourd'hui un modèle de collection prisé.
  
• Le QMC Lorry 35 a grandement profité de la construction des autoroutes pour améliorer ses chiffres.

Fournisseurs

L'entreprise a toujours siégé dans la municipalité de Lowell, connue pour ses gisements cuivreux et ferreux. Elle a ainsi toujours profité d'un rapport privilégié avec ses voisins de palier, pour qui elle constitue un client d'importance, notamment SIG. De plus, par son importance locale et régionale, elle profite aussi des industries métallurgiques de Campton et de Zeroing City.

Depuis 1994, un échange de technologies est en place entre la compagnie et Houdeland Wagen, principal constructeur simlandais, avec qui elle échange des accessoires notamment (pommeaux de vitesse, éléments de selleries). Pour survivre face à la concurrence internationale, des composants technologiques ont été conjointement développés et sont maintenant partagés entre les deux marques. Le technopole des Les Ulysses fournit quant à lui de la technologie embarquée, de plus en plus importante depuis les années 2000. Des modules de télémétrie et de suivi cartographique sont notamment développés par la ville voisine de Rivendale.

Dès 2016, des nouveaux moteurs sont élaborés en collaboration avec Eco Carb, fournisseur de carburants alteratifs imoportant.

Notes et références

• Lien vers le site de vente²

Articles connexes

• Lowell
• Houdeland Wagen

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